sábado, 31 de março de 2012

Revue Monde(s), Histoire, Espace, Relations - appel a contributions

Revue Monde(s), Histoire, Espace, Relations

Présentation

MONDE(S). Histoire, Espaces, Relations

La création de la revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations entend combler un vide éditorial et fournir un lieu d’expression et de publication pour des tendances neuves de l’histoire internationale, déjà largement représentées à l’étranger mais encore peu développées en France: histoire transnationale, histoire connectée, histoire globale, histoire mondiale.

Même si plusieurs revues d’histoire ou de sciences sociales, telles que la Revue d’Histoire moderne et contemporaine, Vingtième siècle, Genèses ou Relations internationales, ont consacré ces dernières années plusieurs articles ou numéros, souvent à caractère théorique et historiographique, à ces approches novatrices de la recherche, il n’existe pas de publications dont les problématiques s’en réclament spécifiquement.

Le projet Monde(s) est né de la rencontre d’historiens des relations internationales, autour de Robert Frank et de l’UMR-IRICE (Identités, Relations internationales et civilisations de l’Europe, http://irice.univ-paris1.fr), regroupant des chercheurs de Paris I, Paris IV et du CNRS, et des africanistes du CEMAf (Centre d’études des mondes africains, http://www.cemaf.cnrs.fr) de Paris I, autour de Pierre Boilley. De ces échanges est née la conviction qu’il fallait repenser l’histoire des phénomènes transnationaux en l’enrichissant des réflexions propres aux spécialistes de l’ensemble des aires géographiques, bouleversant ainsi les chronologies et les points de vue trop européocentrés ou prisonniers du «nationalisme méthodologique » (trop centrés sur un seul continent).

Cette initiative s’appuie sur des bases institutionnelles d’importance : l’IRICE et le CEMAf mobilisent à eux seuls 553 chercheurs (215 membres et 338 doctorants), essentiellement de Paris I, Paris IV et du CNRS, mais aussi des chercheurs associés d’Universités françaises et de nombreuses Universités et centres de recherches étrangers, qui peuvent constituer autant de relais assurant une diffusion réellement internationale de la revue.
La revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations est la propriété de l’association (loi 1901) : Association de la revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations.
Elle est publiée sur papier et en ligne (2 numéros par an) par les éditions Armand Colin

L’équipe éditoriale

La revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations est la propriété de l’association (loi 1901) : Association de la revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations, dont les statuts ont été déposés. Elle est publiée sur papier et en ligne par les éditions Armand Colin.
Site de la revue : http://www.monde-s.com

Contact
Institut Pierre Renouvin – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
1 rue Victor Cousin
75005 Paris
mail : Stanislas jeannesson
jeannesson@wanadoo.fr

secrétaire de rédaction :
gisèle Borie : gisele.borie@univ-paris1.fr

Comités de la revue
Directeur de la publication : Robert Frank

Equipe de rédaction
Directeur de la publication : Robert Frank (professeur, Paris 1)
Rédaction en chef : Stanislas Jeannesson (maître de conférences, Paris IV) Sabine Dullin (professeur, Lille 3), Jean-Michel Guieu (maître de conférences, Paris I) Pierre Singaravélou (maitre de conférences, Paris I) Laurent Warlouzet (maître de conférences, université d’Artois)
Secrétariat de rédaction : Gisèle Borie (CNRS, UMR-IRICE).

Comité de rédaction
Laurence Badel (Strasbourg), Philippe Beaujard (CNRS, EHESS), Pierre Boilley (Paris I), Gisèle Borie (CNRS, IRICE), Jean-Pierre Chrétien (CNRS), Thomas David (Lausanne), Corine Defrance (CNRS, IRICE), Sabine Dullin (Lille 3), Anne-Laure Dupont (Paris IV), Robert Frank (Paris I), Jean-Michel Guieu (Paris I), Hélène Harter (Rennes II), Catherine Horel (CNRS, IRICE), Stanislas Jeannesson (Paris IV), Dzovinar Kevonian (Paris-Ouest), Antoine Marès (Paris I), Philippe Norel (Poitiers), Claire Sanderson (Reims), Pierre-Yves Saunier (CNRS, IRICE), Pierre Singaravélou (Paris I), Isabelle Surun (Lille 3), Hugues Tertrais (Paris I), Ludovic Tournès (Paris-Ouest), Geneviève Verdo (Paris I), Laurent Warlouzet (Université d’Artois).

Comité scientifique
Gareth Austin (IHEID Suisse),  Eric Bussière (Paris IV), William Gervase Clarence-Smith (School of Oriental and African Studies – SOAS, Londres), Frederick Cooper (NYU, New York), Matthew Connelly (Columbia, New York), Sebastian Conrad (Freie Universität, Berlin), Carol Fink (Ohio State University),  Madeleine Herren (Université d’Heidelberg), Andrea Komlosy (Université de Vienne),  Kristina Koulouri (Panteion, Athènes), Pieter Lagrou (ULB, Bruxelles), Annick Lempérière (Paris I), Matthias Middell (Leipzig universität), Jürgen Osterhammel (université de Constance), Kiran Patel (université de Maastricht), Kenneth Pomeranz (California, Irvine), Krzysztof Pomian (CNRS-CRH-Université Copernic, Pologne), Silvio Pons (Roma 2), Emma Rothschild (Harvard), Susan Solomon (Toronto), Dariusz Stola (Collegium Civitas, Varsovie), Ibrahima Thioub (Dakar), Odd Arne Westad (LSE, London), Annette Wieviorka (CNRS, IRICE).


Appel à contributions


APPEL A CONTRIBUTIONS
Revue Monde(s), Histoire, espace, relations
Première revue française d’histoire globale
Article en français ou en anglais.

La revue Monde(s), Histoire, Espace, Relations est la première revue française d’histoire globale. Elle publie des articles historiques fondés sur l’étude de phénomènes internationaux dans une perspective décentrée, tenant compte de la diversité des points de vue et pas seulement du monde Occidental. Lieu dédié aux recherches novatrices provenant de l’ensemble des champs historiographiques, la revueMonde(s) entend représenter un espace d’échange et de débat entre des approches méthodologiques et géographiques variées.
Toutes les thématiques de l’histoire globale comme les circulations (idées, usages, hommes, marchandises et capitaux), les réseaux, les conflits, ou les régulations (institutionnelles ou informelles) ont vocation à être traitées par la revue.

Éditée chez Armand Colin, la revue Monde(s) commence sa publication en mai 2012 avec un premier numéro consacré au thème « Le débat transnational » (sous la direction de Sabine Dullin et Pierre Singaravélou). Le second numéro sortira à l’automne 2012 et comprendra un dossier sur « Les Empires » (sous la direction de Pierre Boilley et Antoine Marès). Les numéros à venir paraîtront fin mai et fin novembre de chaque année.
Chaque numéro comporte un dossier spécial de Varia indépendants du dossier, ainsi qu’un débat autour d’un livre marquant de l’historiographie.
Les articles paraissent en français et en anglais.

Le comité de rédaction encourage la soumission d’articles d’histoire globale portant sur la période contemporaine (xixe-xxie). Chaque article est soumis à un processus de double relecture anonyme. Après approbation par le comité de rédaction, l’article est publié dans la partie Varia.
Merci d’envoyer votre article de 40 000 à 50 000 signes à : gisele.borie(at) univ-paris1.fr

Plus de précisions (charte, normes aux auteurs, comité de rédaction) sur notre site web :http://www.monde-s.com/
Le comité de rédaction.

CALL FOR ARTICLES
Revue Monde(s), Histoire, espace, relations
The First French Journal of Global History
Articles can be submitted in French or in English

The Journal Monde(s), Histoire, Espace, Relations is the first French Journal in Global History. It fosters innovative historical research on international phenomena based on a global perspective, which avoids the pitfalls of an exclusive Western vision of world. The Journal has the ambition to serve as a catalyst for new historical researches on global history coming for the whole span of historiography, in terms of methodology or of geographical focus.
All approaches of global history such as the study of circulations (of ideas, culture, people, goods and money), of networks, of conflicts and or regulations (institutional or informal) are covered.

Published by the renowned company Armand Colin, the Journal Monde(s)’s first issue is released in May 2012. Its thematical part will deal with “The transnational debate” (edited by Sabine Dullin and Pierre Singaravélou). The second issue’s thematical part will analyse the notion of “Empire” (By Pierre Boilley and Antoine Marès, eds.). Future issues will be published late May and late November each year.
Each issue is divided in three parts: a long thematical part, several articles with various topics in the Varia section, and a debate on an outstanding book.
Articles are published in French and in English.

The editorial committee welcomes the submission of article of global history (since the XIXth Century). Each article will be evaluated by an anonymous peer-review process. After approbation, the article will be published in the Varia part.
You can send your proposal (40.000 / 50.000 characters) to: gisele.borie (at) univ-paris1.fr

More information (instructions for authors, editorial committee) on:
The editorial committee.


Le numéro en cours




N° 1 Le débat  transnational
réalisé par Sabine Dullin et Pierre Singaravélou

Présentation
Ce numéro est consacré aux origines internationales des grands débats publics de l’époque contemporaine (citoyenneté et intégration, colonisation et décolonisation, droit d’ingérence et souveraineté territoriale, promotion de la santé publique, etc.). Ces nouvelles préoccupations ont en effet émergé par le biais de réseaux transnationaux de savants, de réformateurs et de militants et à la faveur de moments d’émotion ou de prise de conscience à l’échelle internationale. Ces réseaux se sont pour la plupart institutionnalisés dans les années 1880-1920 et ont produit de nouveaux savoirs, expertises et catégories qui circulent au-delà des frontières.


Sommaire
Monde(s). Histoire, Espaces, Relations

Le Débat transnational n°1
-
Robert Frank
Avant-propos

Sabine Dullin et Pierre Singaravélou
Introduction – Le débat public : un objet transnational ?

Pierre-Yves Saunier
La secrétaire générale, l’ambassadeur et le docteur. Un conte en trois épisodes pour les historiens du « monde des causes » à l’époque contemporaine, 1800-2000

Robert Frank
Émotions mondiales, internationales et transnationales

Hervé Mazurel
« Nous sommes tous des Grecs ». Le moment philhellène de l’Occident romantique, 1821-1830

Sunil S. Amrith
L’internationalisation de la santé publique en Asie du Sud et du Sud-Est, entre 1919 et 1939

Todd Shepard
À l’heure des « grands ensembles » et de la guerre d’Algérie. L’« État-nation » en question

Pierre Singaravélou
Les stratégies d’internationalisation de la question coloniale et la construction transnationale d’une science de la colonisation à la fin du XIXsiècle

Débat autour d’un livre
Matthew Connelly, L’arme secrète du FLN. Comment de Gaulle a perdu la guerre d’Algérie, traduit de l’anglais par Françoise Bouillot, Paris, Payot, 2011

Robert Frank
Niek Pas
Sylvie Thénault
Matthew Connelly
Varia
Robert S. DuPlessis
What did Slaves Wear? Textile Regime in the French Caribbean

Douglas Howland
An Englishman’s Right to Hunt: Territorial Sovereignty and Extraterritorial Privilege in Japan

Guillemette Crouzet
“A Sea of Blood and Plunder”. Lutte contre la traite et politique impériale britannique, vers 1820-1880

Les auteurs de ce numéro
=========

Consignes aux auteurs

Contact
Université Paris 1 Panthéon Sorbonne – Institut Pierre Renouvin
Revue Monde(s) – M. Stanislas Jeannesson
1 rue Victor-Cousin
75005 Paris
> mail
Secrétariat de rédaction
Gisèle Borie : gisele.borie@univ-paris1.fr

La revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations est la propriété de l’association (loi 1901) : Association de la revue Monde(s). Histoire, Espaces, Relations, dont les statuts ont été déposés.
Semestrielle (parution fin mai et fin novembre de chaque année), elle est publiée par Armand Colin, sous forme papier et en ligne, à la fois sur le site de l’éditeur et celui de la revue (www.monde-s.com).

Pour des questions particulières, contacter la rédaction

• Votre article doit comporter 40 000 signes, intertitres, notes de bas page, résumés, mots-clés et  espaces compris.
Les 2 résumés (en français et en anglais) ne doivent pas dépasser 800 signes chacun.  Le titre de l’article doit être indiqué dans les 2 langues. Fournir également 5 mots-clés (en français et en anglais).
• Si vous rédigez un article dans la rubrique « Autour d’un livre », vous disposez de 15 000 signes.
• Transmettre vos illustrations, cartes ou graphiques en format Jpeg (300 dpi), si possible.
• Travailler de préférence dans la police Cambria, en corps 11. Les notes sont en corps 9.
• Les références bibliographiques figurent en bas de page (sous forme de notes en continu) et doivent indiquer le prénom complet de l’auteur (prénom, nom, titre, ville d’édition, éditeur, date).
• Les notes sont réservées de préférence à des indications bibliographiques ou à l’ajout de précisions, et non à des développements d’idées.
• Les citations en langue étrangère doivent être traduites.

Quelques exemples de disposition de références bibliographiques :

Elles sont  insérées dans les notes et se disposent ainsi :
[toujours développer les prénoms des auteurs]
[les notes se terminent toujours par un point final]

Ouvrages :
• Jacques Semelin, La liberté au bout des ondes. Du coup de Prague à la chute du mur de Berlin, Paris, Belfond, 1997.
• Maryline Crivello et Thierry Fabre, Regarder la guerre, Arles, Actes Sud, coll. « La pensée de midi », n° 9, Hiver 2002-2003.
Plusieurs éditions :
• Lucien Febvre, La terre et l’évolution humaine, Paris, Albin Michel, 1970 (1re éd. 1922), p. 363-364.
Articles dans livre ou revue :
• Franck Costigliola, « L’image de la France aux États-Unis », in Robert Frank (dir.), « Images et
imaginaire dans les relations internationales depuis 1938 », Cahiers de l’Institut d’Histoire du TempsPrésent (IHTP), n° 28, 1994, p. 93-109.
• Jean-Michel Ganteau, « Clôture et représentation de la foi dans les romans de David Lodge », Étudesbritanniques contemporaines,  décembre 1996, n° 10, p. 99-117.
• Philippe Pochet, « Les conséquences sociales de l’UEM : une vue d’ensemble des débats nationaux », in Philippe Pochet et Bart Vanhercke (dir.), Les enjeux sociaux de l’Union économique et monétaire,Bruxelles, PIE Pter Lang, 1998, p. 10 sq.
• Claude Roy, « Les fous de Venise », Le Nouvel Observateur, 19-25 décembre 1977.

Les références en anglais (dans un texte publié en français ou en anglais)
(voir aussi le paragraphe en bas de page : Articles rédigés en anglais)
  • Roland Robertson, Globalization: Social Theory and Global Culture (London : SAGE, 1992).
  • Michael D. Bordo, Alan M. Taylor, J.G. Williamson, eds., Globalization in Historical Perspective(Chicago: University of Chicago Press, 2003).
  • Rogers Brubaker, Frederick Cooper, “Beyond ‘Identity’”, Theory and Society 29 (2000), p. 1-47.
  • Frederick Cooper, “What is the Concept of Globalization Good For? An African Historian’s Perspective”, African Affairs, vol. 100, 399 (2001), p. 189-213.
  • Lennox Honeychurch, “Chatoyer’s Artist: Agostino Brunias and the Depiction of St Vincent”,Journal of the Barbados Museum and Historical Society 50 (2004), p. 104-28.
  • Jonathan Perraton, “What are Global Markets: The Significance of Networks of Trade?”, in Randall Germain, ed., Globalization and Its Critics. Perspectives from Political Economy (New York: St. Martins, 2000), p. 164-182.
  • Jerome S. Handler, Michael L. Tuite Jr., “The Atlantic Slave Trade and Slave Life in the Americas: A Visual Record”, http://hitchcock.itc.virginia.edu/Slavery/index.php [site consulté le 19 juillet 2011].
Une référence sur internet :
• Clara Royer, « L’engagement politique des écrivains hongrois de 1928 à 1938 », Bulletin de l’Institut
Pierre Renouvin, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, n° 19, été 2004, [consulté le 17 mars 2009] : http://ipr.univ-paris1.fr/spip.php?article194
Un film…
• Rue Santa Fe, film documentaire de Carmen Castillo, distribué en 2007 (durée 2h43).
Usage de l’italique
• – tous les termes en latin, même leur abréviation (par exemple op. cit. – id. – ibid.), à l’exception de
« etc. », « in » « cf. » « art. cit. » qui s’écrivent maintenant en romain.
• – les citations en langues étrangères (sauf si elles sont mises entre guillemets, où elles restent en
romain) ;
• – les titres d’ouvrages publiés, les titres de périodiques, les titres de films et d’émissions.
• – ne pas utiliser l’italique pour les noms d’institutions, même étrangères (laisser en romain : British
Library ; Bundesarchiv Koblenz ; Museu Picasso de Barcelona, etc.).
Répétition de références
La première fois :
• Jacques Semelin, La liberté au bout des ondes. Du coup de Prague à la chute du mur de
Berlin, Paris, Belfond, 1997.
La seconde fois si la référence est proche :
• Ibid., p. 43.
si la référence est exactement identique à la note qui précède  :
• Id.

Plus loin dans le texte, rappeler les premiers éléments de la référence  :

• Jacques Semelin, La liberté…, op. cit., p. 43.
Et encore …
• – Accentuer les capitales en début de phrase (À) – État.
• – L’espace insécable précède tous les signes de ponctuation double (: ; ! ?). Il suit le guillemet
français ouvrant («) et précède le guillemet français fermant (»). Il sépare le numéro des
siècles et le terme « siècle » : XVIe siècle ; le numéro (n° 3) ; la page (p. 5).
• – Les siècles s’écrivent en chiffres romains, et en petites capitales : XXe siècle.
• – Les crochets servent à indiquer un passage coupé dans une citation : […].
• – Le tiret (–) [demi-cadratin] est utilisé pour les énumérations, et, dans le corps du texte, pour
indiquer une séparation sans que la coupure soit trop marquée.
• – Utiliser le trait d’union pour séparer deux dates ou deux nombres : 1914-1918 ; p. 35-42
(pour les pages multiples, utiliser uniquement : p. et non pas pp.).

Articles rédigés et paraissant en anglais
Les références bibliographiques rédigées en anglais respectent les normes bibliographiques des revues anglophones. Les références des ouvrages cités en français dans les articles en anglais sont disposées selon les normes françaises.

References
Books, chapters in books
• Carole Fink, Mark Bloch,  A Life in History (Cambridge: Cambridge University Press, 1989), p. 4. Thereafter: Fink, Bloch, p. 16.
• Pascal Ory, Jean-François Sirinelli (dir.), Les intellectuels en France, de l’Affaire Dreyfus à nos jours, 2 vols., 2e éd., Paris, Armand Colin, 1986. Thereafter: Ory and Sirinelli, Intellectuels.
• Paul Kennedy, “A. J. P. Taylor and ‘Profound Forces’ in History”, in Chris Wrigley, ed., Warfare, Diplomacy and Politics: Essays in Honour of A. J. P. Taylor (London: Hamish Hamilton, 1986), p. 14-28. Thereafter:  Kennedy, “Taylor”, p. 21.

Articles in journals and newspapers
• Martin Ceadel, “The First Communist ‘Peace Movement’: The British Anti- War Movement, 1932–1935”, Twentieth Century British History, 1, 1 (1990), p. 21–42. Thereafter Ceadel, “First Communist ‘Peace Movement’”, p. 39.
• W. Lipgens, “Innerfranzösische Kritik an der Aussenpolitik de Gaulles 1944– 1946”, Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, 24, 4 (1976). Thereafter Lipgens, “Innerfranzösische Kritik”.
• Christopher Coker, “Women on the Verge”, Times Literary Supplement, 17 Nov. 2006, p. 26. Thereafter: Coker, “Women on the Verge”.

Official documents
• Derby to Reading, 5 Apr. 1918, no. 60987, FO 371/3488, Foreign Office Records, The National Achives, London. Thereafter: Derby to Reading, 9 Apr. 1918, no. 63901, TNA, FO 371/3488.
• Hansard, Parliamentary Debates, 5th series, 469 House of Commons Debates, cols. 2041–3. Thereafter: 469 H. C. Deb. 5s, cols. 245–246.
• United States Senate, 74th Congress, 2nd Session, Special Committee on Investigation of the Munitions Industry, Munitions Industry, Report no. 944, 7 vols. (Washington: US Government Printing Office, 1936), VI, p. 71. Thereafter: US Senate, Munitions Industry, VI, p. 97–98.

Unpublished material
• Karen Bernstein, “The International Monetary Fund and Deficit Countries: The Case of Britain 1974–1977”, Ph.D. thesis, Stanford University, 1983, 46–73. Thereafter: Bernstein, “Case of Britain”, p. 46–53.
• Mark Pittaway, “Making Peace in the Shadow of War: The Austrian– Hungarian Borderlands, 1945–1956’, paper presented at “Imagining Peace in Twentieth-Century Europe”, workshop held at the Norwegian Nobel Institute, Oslo, August 2007. Thereafter: Pittaway, “Making Peace”.

Appel de note dans le texte
-  En anglais, l’appel de note suit la ponctuation (le chiffre de la note est placé après le point, dans une phrase) : …rédiger en anglais.5
Nombre
- En anglais :  1,253,976.
-  En anglais, un point introduit les décimales. Le nombre s’écrit : 7.5.
Espace (en anglais)
- Pas d’espace avant les signes de ponctuation ; ! ? : . ni devant les guillemets  (“To be or not to be…”)
Majuscule
Dans les textes, les mots suivants prennent la majuscule :  noms propres, toponymes, organismes, institutions, événements historiques,  titres d’œuvres, titres d’articles, etc.,  sauf les articles, and, as et des prépositions usuelles comme of, to, at, by.
Exemples :
- the United Nations Organization
- the British Prime Minister
- Mary Douglas and Baron Isherwood, The World of Goods: Toward an Anthropology of Consumption,rev. ed.  (New York: Routledge, 1996), 54-67.

Millor Fernandes: frases definitivas (e como...)

Eu andava sentindo falta do Millor, e sabia que ele andava doente, há muito tempo.
Pois bem, devemos lamentar que ele não esteja mais aqui para inventar essas suas frases definitivas...
E talvez nos alegremos pelo fato de que algum editor mais inteligente (o que é raro, hoje em dia) se dedique a republicar suas obras, a juntar todos os seus textos e frases "definitivas" e nos ofereça em novas edições...
Paulo Roberto de Almeida


Concurso do Itamaraty: confusao na certa (e já sei o que vai dar...)

Lamento terrivelmente, e me solidarizo com os candidatos prejudicados.
Lamento também ter de lhes dar uma triste notícia: conhecendo o serviço público como eu conheço, burocratas jamais vão reconhecer o erro, e vão deixar o prejuízo com os prejudicados.
Esse é o Brasil, esqueceram?
Transcrevo abaixo mensagem muito bem escrita por um candidato, que me foi remetida anonimamente.
Minha solidariedade e meus agradecimentos ao seu autor...
Paulo Roberto de Almeida 



Mensagem enviada pelo formulário de Contato do SITE.
Nome: Anônimo
Cidade: 
Estado: 
Email: xxxxxxxxx@gmail.com
Assunto: Opiniao

Mensagem: Na prova da primeira fase do concurso do IRBr, no último domingo, havia, em vários modelos de provas, entre 1 e 4 questões com alterações na ordem dos itens (a saber, são as questões 7, 8, 15 e 55, mas no site do CESPE, obviamente, a ordem está correta no caderno modelo). Em algumas provas, apenas uma questão tinha problema. Em outras, as quatro estavam problemáticas. Por exemplo, os itens no caderno de provas poderiam estar na ordem “1 4 2 3”, enquanto no gabarito a ordem estava correta, “1 2 3 4”. Além disso, em uma questão de múltipla escolha (questão 24) estavam, em alguns cadernos, constando itens com as letras “a b c a b”, em vez da ordem natural, “a b c d e”.

Pois bem, a confusão aumentou quando os fiscais, após um tempo considerável de prova, começaram a receber reclamações de candidatos que perceberam os erros. Daí em diante, enquanto em algumas salas os fiscais ignoraram o problema, calando-se, em outras eles disseram para preencher de acordo com a ordem da prova; em mais outras salas, diziam para responder de acordo com a ordem no gabarito, enquanto, talvez os piores casos, fiscais asseguravam em outras salas que as questões seriam todas anuladas, e que os candidatos deveriam tranquilizar-se e ignorar aquelas questões. Enfim, instruções contraditórias em cada local, causadas por falta de coordenação do CESPE. Como resultado, houve completa quebra de isonomia do concurso, com claro comprometimento de toda a prova, com alguns candidatos ignorando as questões, enquanto outros desesperaram-se buscando quais questões estariam com erro, e outros tantos sequer sabiam o que se passava – marcando o gabarito de maneir!
a errada, por sua vez. Mais grave ainda, as instruções, por pior que fossem, foram passadas no momento em que vários candidatos já haviam marcado o gabarito definitivo. Isso tudo foi na parte da manhã. Na parte da tarde da prova, os candidatos foram recepcionados com uma mensagem padrão, novamente ambígua, escrita nos quadros de cada sala, a respeito de como proceder caso houvesse mais erros (nessa segunda etapa, “apenas” a questão 55 apresentou problema). Como a mensagem não era clara, vários procuraram os fiscais pedindo maiores explicações e, novamente, as instruções em cada sala foram contraditórias.

Então chegamos à terça-feira, ontem, dia da divulgação do gabarito provisório da primeira fase. Embora tantos candidatos já cogitassem até a possibilidade de anulação do concurso, devido a toda a confusão no dia da prova, o gabarito simplesmente ignorou quase todos os problemas. Apenas a questão problemática de múltipla escolha (24) veio anulada. Todas as outras tiveram gabarito divulgado, como se nada tivesse acontecido. Como se não tivessem dito a vários candidatos que deveriam ter marcado de outra forma. Como se outros tantos não tivessem sido instruídos a ignorar as questões, já que lhes asseguraram que seriam anuladas.

O fato é que, já no dia, alguns candidatos chegaram a protocolar reclamações por escrito no próprio local de prova; outros solicitaram inclusão de relato sobre o problema em ata exarada pelos fiscais. Outros, ainda, estão encaminhando processo judicial.

Concurso do Itamaraty: requisitos - SOS Concurseiro

Não costumo frequentar blogs de concursos, e na verdade acho essa mania nacional deplorável, mas já estou na área, e já postei algo a respeito, vamos sintetizar o que se sabe...


Como conquistar uma das 30 vagas para o Itamaraty

Letícia Nobre e Carlos Bafutto
SOS Concurseiro, sábado, 14 de janeiro de 2012
como-conquistar-uma-das-30-vagas-para-o-itamaraty
A diplomacia é uma daquelas carreiras dos sonhos. Além de trabalhar em diferentes países, em contato com culturas diversas, e representar o Brasil pelo mundo, quem segue a carreira diplomática tem a oportunidade de atuar em iniciativas que podem fazer a diferença para muita gente em projetos de cooperação e políticas internacionais. Os candidatos mais experientes sabem, no entanto, que este é um dos concursos mais exigem em termos de conteúdo. Eles também estão cientes de que a aprovação depende de muita dedicação e preparação, o que pode levar anos. Em 2012, o Itamaraty abrirá somente 30 oportunidades para o Instituto Rio Branco com remuneração inicial de R$ 12.962. O concurso será organizado pelo Cespe/UnB.



Apesar do glamour que faz brilhar os olhos dos mais inexperientes, o conteúdo cobrado e o nível de exigência nas seleções representam um grande filtro de candidatos. Nos últimos três anos, o número de concorrentes não passou dos 9,2 mil em cada concurso. Em 2011, a concorrência foi de 276,15 inscritos por vaga (veja edital do último concurso). Uma disputa muito mais acirrada, por exemplo, do que a registrada no último vestibular para o curso de medicina da Universidade de Brasília (UnB), no qual cada candidato concorreu com outros 82 pelas vagas disponíveis.

A seleção é feita todos os anos e o número de postos em missões diplomáticas brasileiras vem crescendo. De acordo com o Itamaraty, o governo federal abriu 20 novos postos somente no continente africano entre 2003 e 2011.  As regras que vão nortear o próximo concurso foram divulgadas na semana passada. Foram mantidas as quatro fases de provas bem como as disciplinas exigidas, o que não significa que as avaliações serão mais simples. Uma das fases mais temidas, porém, já não é realizada há algumas seleções: a prova oral.

Longa batalha

Luiz de Andrade Filho, de 29 anos, sabe bem como a preparação é longa: desde 2009 está estudando para conquistar uma das vagas para diplomatas. Além do curso preparatório específico para área, ele dedica de 20 a 25 horas semanais aos livros, exercícios e apostilas. Ele admite que os investimentos, até agora, foram elevados. “Já gastei o equivalente a um carro popular usado”, explica. No entanto, segundo o candidato, os investimentos e os anos de dedicação têm sido válidos. “Sinto que, a cada ano, estou mais perto. Já cheguei até as últimas fases em concursos anteriores, e espero ser aprovado em breve”, anima-se.

A escolha pela carreira no Ministério das Relações Exteriores foi pensada quando Luiz optou por se graduar em Relações Internacionais. “Tinha isso em mente, mas não como a única opção. Acabei percebendo que era uma excelente opção de carreira, por poder me proporcionar o que chamo de ‘estabilidade instável’: ser servidor público e estar em constantes mudanças de país e fazendo novos amigos”.

Confiante, o candidato já pensa em como será o trabalho após o curso de formação, que dura dois anos. “Será ótimo acompanhar a atual emergência do nosso país como um pólo importante de poder e, ao mesmo tempo, defender as ideias de um corpo diplomático reconhecido como um dos melhores do mundo”, afirma.

Confira as etapas que Luiz e os demais candidatos devem passar para fazer parte do corpo diplomático brasileiro:
Requisitos e etapas do concurso para diplomatas

Concurso do Itamaraty: que vergonha, o CESPE errou feio, muito feio

O mal parece que está feio, e a confusão vai ser grande.
Não tenho a menor ideia do que ocorreu, pois estou fora do país e não tomei conhecimento da prova -- que sempre é maluca, em pelo menos um terço das perguntas -- e acho lamentável erros desse tipo. Sinal de desmazelo, rotina burocrática, ausência de controles de qualidade, enfim, tudo, sobretudo desrespeito aos candidatos.
Acho que pode parar na justiça.
Solidarizo-me com os atingidos.
Vou tentar ver a prova.
Paulo Roberto de Almeida

Erro gráfico prejudica candidatos a diplomataerro-grafico-prejudica-candidatos-a-diplomata

Letícia Nobre

Nem o glamoroso concurso do Itamaraty está a salvo de denúncias de irregularidade. Um erro de impressão em quatro questões na prova de diplomatas, aplicadas no último domingo, provocou confusão e informações desencontradas. A seleção prevê o preenchimento de 30 vagas para terceiro secretário, cargo que tem remuneração inicial de R$ 12,9 mil. A concorrência foi uma das maiores dos últimos anos: 214,1 inscritos por vaga.

As provas foram divididas nos turnos matutino e vespertino. De acordo com relato de candidatos ao SOS Concurseiro/Congresso em Foco, quatro perguntas tinham ordem errada de impressão das opções. Ou seja, ao invés da ordem alfabética “a, b, c, d”, os itens estavam aleatórios “a, c, d, b”, por exemplo. Houve casos também de questões foram da ordem número: em vez de "1, 2, 3, 4", as questões estavam numeradas como "1, 3, 4, 2", por exemplo. Ao perceber o equívoco, ainda pela manhã, muitos inscritos se manifestaram e solicitaram explicações aos fiscais de prova que responderam com alternativas desencontradas.

“Uns informaram que nada poderiam fazer, que todas as instruções estavam no caderno de questões; outros disseram para ignorar o erro e preencher as respostas conforme aparecem os itens; e, ainda, houve fiscais que, para nos tranquilizar, garantiram que perguntas seriam anuladas”, comenta um candidato de 24 anos que fez prova no Rio de Janeiro e prefere o anonimato.

Ao chegarem para a segunda etapa de provas, no período vespertino, os concorrentes encontraram avisos escritos nos quadros das salas de aula informando que houve um erro de impressão na questão 55. Novamente, as explicações mais confundiram que solucionaram o impasse.

Nem todos os 6,5 mil inscritos concurso passaram por esse transtorno. Com a mescla de itens feita pelo sistema que criou cinco tipos de cadernos, houve variação na quantidade de questões com problemas de impressão. “No meu caso, apenas uma questão tinha problema. Em outros, as quatro estavam problemáticas”, relatou uma das concorrentes, que preferiu não se identificar. Ela realizou a prova “sequencial: 021” no Colégio Leonardo da Vinci, na Asa Norte, em Brasília e encontrou incoerência na questão 15, de Política Internacional.
Na prova do Itamaraty, as questões estavam fora da ordem numérica

Quebra de isonomia

As reclamações dos candidatos em Brasília e no Rio de Janeiro configuram quebra de isonomia, segundo o professor Rodrigo Francelino. Para ele, o ideal seria a reaplicação das provas para todos os candidatos. “Estamos falando de um dos cargos mais importantes do Poder Executivo. Quando há uma discriminação na aplicação das provas motivada por um erro na gráfica, tem-se um problema, a quebra do princípio de isonomia”, explica.

A melhor solução talvez fosse anular o concurso, mas o custo poderia ser muito alto. “Um concurso como este tem um alto custo. Desconheço os detalhes no contrato do MRE com o Cespe, mas reaplicar as provas poderia gerar um alto custo para o Governo”. Como alternativa para reestabelecer a igualdade de competição, ele sugere a anulação das questões que apresentaram desordem nos itens para todos os candidatos. ”É a opção mais coerente”.

Investigação

O Cespe/UnB, organizadora responsável pelo concurso garante que está investigando os relatos. Em nota, a empresa informou que “está averiguando as atas de sala de aplicação das provas da primeira fase do concurso [...] em busca de registros de incidentes durante a aplicação. Caso seja constatada alguma anormalidade, serão tomadas as devidas providências para evitar prejuízos aos candidatos”.
A organizadora também esclareceu que “os candidatos contaram com período de interposição de recursos, das 9h do dia 28 às 18h do dia 29, relativos às questões da prova objetiva. A avaliação dos recursos será feita por banca competente, que analisará a necessidade de anulação de alguma questão”.