Temas de relações internacionais, de política externa e de diplomacia brasileira, com ênfase em políticas econômicas, em viagens, livros e cultura em geral. Um quilombo de resistência intelectual em defesa da racionalidade, da inteligência e das liberdades democráticas.
O que é este blog?
Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida;
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quarta-feira, 15 de janeiro de 2020
Jornalista revela segredos do primeiro ano do governo - Thais Oyama
Livro sobre o primeiro ano do governo Bolsonaro - Thais Oyama
Paranoia de Bolsonaro emerge em livro que esmiúça crises do 1º ano de governo
Obra da jornalista Thaís Oyama expõe um político dado a decisões repentinas e com 'raciocínio binário' sobre aliados e inimigos
terça-feira, 3 de dezembro de 2019
A ONU e a epidemia de cólera no Haiti - Ricardo Seitenfus (livro)
Um dos casos mais tristes da história da Saúde Global é relatado por Ricardo Seitenfus, grande conhecedor do Haiti, que há anos abraçou a causa das vítimas da epidemia de cólera causada por uma desafortunada operação das Nações Unidas. O livro que conta esta história será lançado em São Paulo no dia 17 de dezembro. Trata-se de uma versão atualizada e ampliada da edição francesa. Transcrevo abaixo os textos de contracapa e orelhas da obra que estará na bibliografia dos meus cursos daqui para a frente, por seu caráter fundamental.
Ricardo Seitenfus presta um serviço histórico às vítimas da cólera do Haiti e a todos que se preocupam com a justiça internacional ou que creem no potencial das Nações Unidas para combater as doenças e promover os direitos humanos e o Estado de Direito no mundo. Esta obra é o testemunho mais eloquente do respeito devido ao povo haitiano e à consciência universal. Em um estilo simples e claro, mas erudito, o autor narra a importação da doença, identifica as artimanhas da ONU para contornar a verdade científica e, deste modo, não se responsabilizar. Com esta obra, o processo está lançado. As Nações Unidas estão condenadas. As incontáveis vítimas aguardam reparação.
Mario Joseph - Representante legal das vítimas da cólera
quinta-feira, 14 de novembro de 2019
Os novos autoritários: livro de Michel Duclos
EUROPE / MONDE
Les nouveaux autoritaires - portraits des nouveaux "hommes forts"
Par Michel Duclos
CONSEILLER SPÉCIAL - GÉOPOLITIQUE, ANCIEN AMBASSADEUR
BLOG Institut Montesquieu, 12 NOVEMBRE 2019
Nous avions demandé l’année dernière à un certain nombre de bons auteurs de dresser pour nos lecteurs, en deux séries successives, les portraits de toute une galerie d’"hommes forts", autocrates, chefs populistes et dictateurs caractéristiques de notre temps. Ces textes, dûment actualisés, et complétés par un avant-propos substantiel de notre conseiller spécial géopolitique, Michel Duclos, sont devenus un livre Le monde des nouveaux autoritaires publié conjointement par l’Institut Montaigne et les éditions de l’Observatoire. Ce livre est disponible en librairie à partir du 14 novembre. Nous avons demandé à Michel Duclos de nous en faire une présentation en répondant à trois questions.
Qui sont les nouveaux autoritaires ?
Le président de la République, dans son interview à The Economist mentionne les "autoritaires de notre voisinage" : la Russie et la Turquie. Il se réfère aussi souvent à la Chine. M. Poutine, M. Erdogan, M. Xi figurent naturellement en bonne place dans le livre Le monde des nouveaux autoritaires de même qu’ils étaient centraux dans les deux séries de portraits que nous avions publiées sur le blog de l’Institut Montaigne l’année dernière.
Pour nous cependant, ces trois personnages s’inscrivent dans un panorama plus général. Ils illustrent, ainsi que l’avait noté de son côté la revue Foreign Affairs dans son édition de septembre-octobre, la prévalence d’un nouveau type de dirigeants politiques emblématiques de notre époque : les "hommes forts", qui exercent un pouvoir personnel en écartant le plus possible tout contrepoids à leur autorité. En présentant les portraits de 19 de ces "nouveaux autoritaires" - Bolsonaro, Kaczynski, Modi, Netayahou, Salvini, Trump, Duterte, Erdogan, Kagame, Khamenei, Maduro, Orban, Assad, MbZ et MbS, Kim Jong-un, Poutine, Sissi, Xi Jinping - nous faisons apparaître trois traits caractéristiques de l’air de notre temps :
Ils illustrent [...] la prévalence d’un nouveau type de dirigeants politiques emblématiques de notre époque : les "hommes forts", qui exercent un pouvoir personnel en écartant le plus possible tout contrepoids à leur autorité.
• Ces personnages viennent d’horizons très différents : les uns se conforment au rôle de dictateurs assumés (Poutine ou Xi, mais aussi Sissi en Egypte, Mohamed ben Salman en Arabie saoudite, Mohamed Ben Zayed pour les Emirats arabes unis), d’autres sont des dirigeants populistes opérant dans des démocraties anciennes et fortes (le cas le plus frappant étant Donald Trump bien sûr), d’autres encore, également souvent qualifiés de populistes, dirigent des démocraties en voie de régression(Erdogan, Orban, Bolsonaro, Modi pour la Turquie, la Hongrie, le Brésil et l’Inde) ;
• À des degrés évidemment divers, les nouveaux autoritaires partagent un logiciel antilibéral qui transcende les différences de régimes. Et aussi une boîte à outil antilibérale, où l’on retrouve – encore une fois dans des proportions variables – le nationalisme, la kleptocratie, le dédain pour l’état de droit, la personnalisation du pouvoir qui prétend incarner le peuple, la mise à l’écart des corps intermédiaires etc.
• Ce sont des personnages modernes en ce sens que les "vrais autoritaires" ont rafraîchi leur modèle(respect de certaines formes de la démocratie en Russie, adoption du capitalisme en Chine) tandis que les "populistes" glissant vers l’autoritarisme ne contestent pas la démocratie mais, dans un étonnant renversement, se prétendent plus démocrates que les autres en se voulant les représentants du peuple contre le "système" (ou les "élites").
L’autoritarisme est-il le "nouveau totalitarisme", c’est-à-dire l’équivalent de ce que fut le totalitarisme à l’époque de la guerre froide ?
L’émergence des nouveaux autoritaires a d’abord des conséquences géopolitiques :
• Le nationalisme qui est leur commun dénominateur affaiblit la coopération internationale (le "multilatéralisme") ;
• Des liens de connivence existent entre eux, là aussi indépendamment des camps en présence, générant de nouvelles alliances plus ou moins occultes : la Russie soutient les populistes européens (financements, cyber-attaques) tandis que ceux-ci sont tentés de favoriser l’influence chinoise (5G) ;
• Il y a de surcroît un style de diplomatie "néo-autoritaire" comme on le voit pour le Nord-Est syrien : un coup de fil d’Erdogan à Trump scelle le sort des Kurdes de Syrie, après quoi le président turc rencontre Poutine à Sotchi pour finir le travail.
L’émergence des nouveaux autoritaires ne fait pas disparaître les lois de la géopolitique classique : la Chine et l’Inde resteront dans une situation de rivalité historique, les Russes ne vont pas se départir de leur méfiance à l’égard de la Chine etc. Cependant une géopolitique de l’ère des nouveaux autoritaires se met en place. Sa donnée de base est la suivante : la crise interne aux démocraties libérales, sous l’effet de la vague populiste, accentue l’effet du déplacement du rapport de forces dans le monde au détriment de l’Occident, que l’on observe depuis quelques années avec la montée en puissance de la Chine et d’autres émergents.
Sur un plan plus strictement idéologique, les défenseurs de la démocratie libérale se trouvent confrontés, avec les nouveaux autoritaires, à un triple défi :
• La crise populiste, qui est endogène à nos sociétés démocratiques et qui implique de réinventer un modèle libéral adapté à notre temps (alors que les classes moyennes perdent pied depuis le triomphe de la globalisation) ;
Pour la première fois, le progrès économique, incontestable, époustouflant même, ne va pas de pair avec le progrès des libertés.
• La crypto-idéologie véhiculée par le courant anti-libéral mondial et que Poutine, dans son interview au Financial Times a bien résumé : dans un monde beaucoup plus dur qu’autrefois, les valeurs traditionnelles, l’autorité, la nation rassemblée autour d’un chef, tout cela constitue (selon le "message poutinien") un viatique beaucoup plus protecteur des simples citoyens que les idées libérales ;
• Le défi philosophique que constitue le succès de la Chine : pour la première fois, le progrès économique, incontestable, époustouflant même, ne va pas de pair avec le progrès des libertés. Un aspect du défi chinois retient particulièrement l’attention : l’exportation par la Chine dans des pays dirigés par des autoritaires de techniques de contrôle social de haute technologie.
Comment l’Europe – du moins l’Europe qui reste attachée à la démocratie libérale – peut-elle réagir ?
D’abord, une prise de conscience est nécessaire. Notamment en France, où il ne fait pas partie de nos traditions diplomatiques de tenir compte des différences de régimes politiques. Or aujourd’hui le courant antilibéral global – incarné par les nouveaux autoritaires - a atteint une masse critique telle qu’une réaction est nécessaire si nous voulons rester ce que nous sommes.
Ensuite, le plus important est sans doute de "tenir", de rester fidèles à nos principes : bien des événements dans le monde (en Algérie, au Liban, en Irak, à Hong-Kong, à Moscou, au Chili etc.) traduisent sans doute un malaise social planétaire ; ces événements indiquent aussi, comme cela a été aussi le cas des récentes élections en Turquie, que le modèle autoritaire n’offre ni protection contre la colère des peuples ni solutions aux problèmes qui provoquent cette colère. Une "crise du modèle autoritaire" est devant nous.
Enfin, l’Europe peut-être à la fois le laboratoire où s’élabore un nouveau libéralisme et une plateforme pour soutenir les sociétés civiles dans les pays de notre voisinage. Ce sont les sociétés civiles – comme d’ailleurs cela avait été le cas en Europe centrale dans les années précédant la chute du mur de Berlin – qui peuvent le mieux construire, au moins dans certains pays, des alternatives aux pouvoirs autoritaires.
L’ouvrage publié par l’Institut Montaigne et les éditions de l’Observatoire, Le monde des nouveaux autoritaires, ne développe pas ces pistes d’action (il y faudrait un autre livre). Il présente en revanche les pièces du dossier "nouveaux autoritaires" dont une bonne compréhension est un point de départ indispensable. La collection de portraits qu’il offre au lecteur est saisissante et ouvre, croyons-nous, des perspectives nouvelles à la réflexion.
quinta-feira, 31 de outubro de 2019
PCdoB ainda não se livrou do trauma do Araguaia: autor do livro sobre a guerrilha, Hugo Studart, novamente atacado pelo partido
Um comentário, por Paulo Roberto de Almeida
Dois anos atrás, o jornalista Hugo Studart procurou-me na direção do IPRI – onde eu me divertia intelectualmente, antes de ser defenestrado por um chanceler sem qualquer senso de humor – para mostrar-me sua tese de doutorado em História, na UnB, sobre a guerrilha do Araguaia.
Imediatamente constatei a qualidade da pesquisa, o rico conteúdo descritivo, objetivo, factualíssimo, embora recheada, a tese, de inúmeros academicismos supérfluos, que atrapalhavam a leitura de uma excelente história sobre uma das grandes tragédias da luta armada no Brasil, a insana aventura "maoísta" do PCdoB nas selvas do Araguaia, e a terrivelmente cruel operação (em três fases) das FFAA para extirpar completamente aquele "quisto" do território brasileiro, mesmo ao custo de execuções sumárias, assassinatos a frio, equivalentes a crimes contra a humanidade, pelos quais os verdadeiros chefes da contra-guerrilha, não apenas seus simples operadores, nunca foram punidos.
Recomendei a "limpeza" da tese de suas superfluidades acadêmicas e a publicação como um simples, mas poderoso livro de história. Já antecipava a contrariedade do PCdoB, o promotor daquela tragédia, junto com o Exército, que nunca fez autocrítica, nem sequer se explicou, por ter enviado à morte um punhado de jovens idealistas, além de alguns militantes e guerrilheiros profissionais. Expliquei isso ao autor, que caberia adicionar um texto sobre a responsabilidade política do PCdoB, que o partido sempre se recusou a fazer.
Ele então me convidou para escrever algo a respeito, o que fiz, de forma displicente, ou seja, um texto puramente opinativo, no estilo "falta alguém em Nuremberg", mas que ainda assim ele insistiu por colocar em posfácio ao livro já planejado.
Eis o meu registro de minha colaboração ao livro, sendo que o posfácio publicado apenas resumia meu texto original, razão pela qual eu disponibilizei a versão integral em meu blog:
1285. “Uma tragédia brasileira: a loucura amazônica do PCdoB”, Posfácio a Hugo Studart: Borboletas e Lobisomens: vidas, sonhos e mortes dos guerrilheiros do Araguaia (Rio de Janeiro: Editora Francisco Alves, 2018, 660 p.; ISBN: 978-85-265-0490-5; pp. 503-507). Versão original publicada no blog Diplomatizzando (9/07/2018; link: https://diplomatizzando.blogspot.com/2018/07/golpes-revolucoes-e-movimentos-armados.html).
Agora, depois de muitos ataques do PCdoB ao livro e ao seu autor, e ainda querendo esconder a verdade, o "historiador oficial" – esse título parece um escárnio, mas combina com as mentalidades ainda stalinistas do partido – vem com mais pedras na mão protestar contra o fato de que o livro entrou na lista dos finalistas do prêmio Jabuti. É seu direito.
Como também é direito do autor expor claramente o que está acontecendo, depois de todas as campanhas que o PCdoB fez contra a obra (que eu julgo uma excelente ajuda involuntária em termos de marketing, o que vale um exemplar grátis para o partido sortear entre os seus aguerridos e stalinistas membros).
Transcrevo, pois, o texto que me foi enviado por Hugo Studart, e não recomendo a leitura da "resenha" do stalinista, ops, historiador oficial do PCdoB, mas cada um é livre para escolher suas melhores leituras.
Paulo Roberto de Almeida
São Paulo, 31 de outubro de 2019
Nota de Hugo Studart sobre mais um ataque do PCdoB ao seu livro:
O Partido Comunista do Brasil, PCdoB, publicou manifesto violento em seu site oficial, o Vermelho.com.br, protestando contra a indicação a finalista do Prêmio Jabuti de Literatura 2019 do livro "Borboletas e Lobisomens - Vidas, sonhos e mortes dos guerrilheiros do Araguaia", de minha autoria.
Trata-se do 25º artigo-manifesto do partido contra a obra, resultado de minha Tese de Doutorado em História pela Universidade de Brasília. Assinado pelo historiador oficial do partido, Osvaldo Bertolino, são usados mais de 20 xingamentos ou adjetivos desqualificativos contra a obra, o autor e jornalistas que porventura tenham escrito artigos elogiosos (ou neutros): "livro farsa", "caluniador", "mentiras cabeludas", "crápula", "poço de imundice", "vazio de inteligência" e "pastel de camarão".
Eis um trecho do manifesto:
O autor optou por mobilizar um séquito de figurões moralmente subqualificados da mídia para defendê-lo. As palavras mentirosas surgiram das bocas e mãos de gente como — entre tantos outros — Alexandre Garcia (ex-Globo e ditadura militar), José Nêumanne Pinto (O Estado de S. Paulo), José Roberto Guzzo (revista Veja) e Augusto Nunes (Rádio Jovem Pan). Eles se esforçaram para tentar salvar a obra farsesca de Studart, mas o que saiu foi a velha semântica anticomunista, esvaziada por frases retorcidas e intelectualmente indigentes.
O partido também já organizou quatro atos de escracho públicos; piquete contra o lançamento no Rio de Janeiro; além de publicar 5 horas de gravações no YouTube (quase uma minissérie). Um grupo de militantes procurou a reitora da UnB pedindo para que cassasse meu título de Doutor e, sobretudo, cancelasse o Prêmio UnB de Teses de Doutorado, do qual fui vencedor. Obviamente, ela jamais cometeria tamanha sandice, nem poderia.
Em outro trecho, o manifesto do PCdoB compara "Borboletas e Lobisomens" à obra "A Terra", de Emile Zola:
"Ele tentou escrever um livro que impressionasse pela brutalidade dos detalhes, pelas cenas de vulgaridades que beiram a lascívia e chegam à fronteira do mau gosto. Seu séquito teve uma reação contrária à dos cinco discípulos mais fiéis de Emile Zola, que lançaram um manifesto de repúdio ao seu livro La Terre (A Terra), no qual se diziam escandalizados. Supomo-nos, ao lê-lo, diante de um tratado de escatologia: o mestre desceu ao fundo do poço da imundície. Anatole France também se pronunciou: “Escrevendo A Terra, o senhor Emile Zola nos deu as geórgicas da crápula.” “Jamais um homem fez tamanho esforço para aviltar a humanidade”, completou.
"Na verdade, a obscenidade alegada na obra de Emile Zola pode ser vista na produção do séquito de Studart. Não pela lascívia, mas pela libertinagem política e ideológica. Eles são mestres na arte de burlar os fatos para roubar a cena".
O jornalista Alexandre Garcia foi especialmente atacado no manifesto -- aliás, tanto quanto este autor. Assim, peço desculpas públicas a Alexandre por ter sido o indutor (ainda que involuntário) de tamanha covardia.
Os amigos podem optar por ler o artigo na íntegra, no link abaixo) Contudo, prefiro que avaliem o conteúdo lendo "Borboletas e Lobisomens":
A obra pode ser adquirida pelo site guerrilhadoaraguaia.com.br (envio com dedicatória)
... ou nas principais redes de livrarias do país, tais como as Livrarias da Vila, Cultura, Martins Fontes, Leitura, Travessa e Argumento. Desde já, grato pela leitura.
Hugo Studart
https://www.vermelho.org.br/noticia/323929-1?fbclid=IwAR1Yq70VfeNU9vgtnEj7VkkYHVKOnhQowwa3KiUZDsbIW8d9otS5sbH08RY
terça-feira, 15 de outubro de 2019
Governabilidade: livro online - Humberto Dantas (KAS)
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Organizador: Humberto Dantas | |||
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