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Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida;

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sábado, 3 de dezembro de 2011

Dix ans de la fin de l'Union Sovietique, 1991: colloque a Paris


COLLOQUE
Le moment 1991 : la fin de l'URSS au regard des transformations politiques, culturelles et sociales 1970-1991
Paris, 12-14 décembre 2011

Colloque international co-organisé par Sciences Po (Centre d'histoire, CERI), Université Paris-Ouest la Défense (CRPM), FMSH, CERCEC, Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine, FSP/ULB. 
Vingt ans après l’effondrement de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (1918-1991), il semble pertinent de s’interroger sur l’année 1991. La question de l’effondrement de l’Union soviétique a certes été étudiée dans une grande partie de ses composantes dès le début des années 1990.
Mais au cours des vingt dernières années, des travaux novateurs, en particulier en histoire sociale et en histoire culturelle, ont pu établir de nouveaux liens entre les processus politiques et sociaux des décennies qui ont précédé la Perestroïka et l’effondrement du système soviétique.

Twenty years after the collapse of the Soviet Union (1918-1991), it seems relevant to ask whether 1991 can be singled out as a crucial date in the
history of the Soviet Union and if we have new things to say about this major event of the end of the XXth Century.
The collapse of the Soviet Union has been widely studied since the beginning of the 1990s. Over these years, increasingly innovative work has been done,
particularly in the field of social and cultural history, which has allowed researchers to link the social and political processes happening before Perestroïka and the collapse of the Soviet Union.

Lieu/Location :
Sciences Po, les 12 et 13/12/2011, 56 rue Jacob 75006 Paris et à l'Hôtel
National des Invalides, Auditorium Austerlitz, le 14/12/2011

Colloque organisé en lien avec l'exposition "URSS : fin de parti(e). Les années
Perestroïka" à la BDIC, du 2 décembre 2011 au 26 février 2012.


Lundi 12 décembre, 9h :
Accueil des participants
Jean-François Sirinelli, Directeur du Centre d'histoire de Sciences Po, Gabrielle Costa de Beauregard, Directrice exécutive du CHSP,
Michel Wieviorka, Administrateur de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme

9h15 - 12h45
Introduction, par Marc Ferro, historien
Les transformations politiques

Présidence  : Gilles Favarel-Garrigues, CNRS/Sciences Po - CERI
Discutant : Alain Blum, directeur du CERCEC (CNRS/EHESS)
·    Alexei Yurchak, Associate Professor, Université de Berkeley
Everything Was Forever Until it was no more. Late Socialism as an object of social analysis.
·    Rudolf G. Pikhoïa, Ancien directeur des archives d'Etat de la Fédération de Russie
Du pouvoir à la propriété 
·    Nikolaï Mitrokhine, Centre d'études et de recherches est-européennes, Université de Brême
Former Staff Members of Central Committee Apparatus and the Demise of the Soviet Union
·    Sergueï V. Zakharov, Institut de démographie, Haut collège d'économie, Moscou
Mounting crisis of the demographic system and public policy in the Era of 'Developed socialism': a narrative story with sad end."

14h - 16h30 :
Les sources et l’information. Revues, journaux, radio, télévision
Présidence : Yves Hamant, CRPM/Université de Paris Ouest Nanterre-La Défense
Table ronde animée par Jean-Robert Raviot, CRPM/Université de Paris Ouest Nanterre-La Défense
Avec la participation de Carole Ajam (BDIC), Hélène Kaplan (RIDECO), Elena Stroukova (Bibliothèque publique historique de Russie), Sergueï Bountman, rédacteur en chef adjoint de la radio Les échos de Moscou, Annette Melot (BDIC-MHC), Boris Belenkine (Memorial)
17h - 19h30 : Projection de film
La table ronde sera suivie de la projection du film « Le Repentir » de Tenguiz Abuladze (1984), présenté par Gabrielle Chomentowski, chargée d'enseignement à Sciences Po

Mardi 13 décembre
9h15 - 12h45 :
Les nouveaux acteurs et enjeux de la Glasnost
Présidence : Anne Le Huérou, CERCEC, (CNRS/EHESS)
Discutant : Alexis Berelowitch, CERCEC, (CNRS/EHESS)
·    Carole Sigman, chargée de recherche au CNRS, Institut des Sciences Sociales du Politique
De nouvelles formes de mobilisation : les clubs politiques informels
·    Olessia Kirtchik, Institut de démographie, Haut Collège d'Economie, Moscou
Les économistes comme auteurs et acteurs de la Perestroïka
·    Luc Duhamel, Université de Montréal
La bureaucratie du commerce de détail et le KGB
·    Alexandra Goujon, Université de Bourgogne et CERCEC, (CNRS/EHESS)
Les Fronts populaires d'Ukraine et de Biélorussie

14h – 17h30
Les transferts culturels

Présidence : Brigitte Krulic, Directrice du CRPM, Université de Paris Ouest Nanterre
Discutant : Pierre Grosser, Centre d'histoire de Sciences Po
·    Myriam Désert, Université de Paris IV - Sorbonne et CERCEC, (CNRS/EHESS)
La quête d'un modèle étatique : réinvention de l'empire et de la démocratie
·    Sophie Lambroschini, doctorante, CRPM, Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Les mutations intervenues dans la télévision soviétique et l'audiovisuel en URSS
·    Anna Zaytseva, doctorante, Université de Paris IV - Sorbonne et CERCEC, (CNRS/EHESS)
Le rock et la contestation
·    Kathy Rousselet, Sciences Po - CERI
Le religieux au cœur des bouleversements politiques
17h30 - 20h : Projection de film 
L'après-midi sera prolongée par la projection du film « Assa » de Serguei Soloviev (1988), présenté par Gabrielle Chomentowski, chargée d'enseignement à Sciences Po

Mercredi 14 décembre 
9h15 – 12h45

Présidence : Jean-Michel de Waele, Directeur du CEVIPOL, ULB
Discutante : Anne de Tinguy, Professeur des universités, INALCO et CERI
Ruptures et fragmentation 
·    Marc Elie et Marie-Hélène Mandrillon, CERCEC (CNRS/EHESS)
La "glasnost" écologique
·    Tatiana Hlukhava - Kasperki, doctorante, Sciences Po
Les "retombées" politiques de l'accident nucléaire de Tchernobyl. Le cas de la Biélorussie.
·    Taline Ter Minassian, INALCO
La revendication du Karabagh et le nationalisme arménien : formes et évolution  du mouvement de protestation (1987-1991)
·    Silvia Serrano, Université d'Auvergne et CERCEC  (CNRS/EHESS)
Mutations de l’espace public en Géorgie
·    Ioulia Shukan, Université de Paris Ouest Nanterre - La Défense et CERCEC (CNRS/EHESS)
Les cadres communistes dans la tourmente de la perestroïka en Ukraine et en Biélorussie

Après-midi : 14h15 - 17h30
Le moment 1991

Présidence : Pascal Cauchy, Centre d'histoire de Sciences Po
Discutant : Jean Radvanyi, Directeur du Centre franco-russe, Moscou
·    Nikolaï Petrov, Académie des sciences, Institut de géographie et Fondation Carnegie, Moscou
Russian regions as subjects of politics in 1991
·    Aude Merlin, ULB/CEVIPOL
Les ressorts de la "révolution tchétchène"
·    Françoise Daucé, Université Blaise-Pascal, CHEC et CERCEC (CNRS/EHESS)
Les militaires en 1991 : les ressorts de l’inaction
Témoignages :
Andreï Kovalev, Ancien conseiller auprès de M Gorbatchev,
Sergueï Mironenko, Directeur du GARF (Archives d'Etat de la Fédération de Russie)

16h30 : Conclusions du colloque : Anatoli Vichnievski, Directeur de l'Institut de démographie, Haut Collège d'Economie, Moscou, et Mikhaïl Afanassiev, Directeur de la bibliothèque historique de Russie, Moscou

Brazil in King's College - London


MA Brazil in Global Perspective
King's Brazil Institute, King's College London
Deadline:7 September 2012 for 2012 entry

Description:
The programme provides high quality postgraduate teaching and research training for students wishing to specialise on Brazil, either out of academic interest or as preparation for a career related to Brazil.
Contact information:
Jacqueline Armit, brazil-institute@kcl.ac.uk, +44 (0)20 7848 2542

Additional information:
The MA offers students a distinctive approach to understanding recent changes in Brazil and the causes and impact of its social, cultural, economic and political development. It includes examination of issues such as industrialisation, urbanisation, economic growth and globalisation; oscillation between military
and civilian rule; mass movements demanding a variety of civil, political, and economic rights; complicated and contested constitutional, legal and political reforms; and cultural and social change. In addition to broadening and deepening students' understanding of modern Brazil, the programme demonstrates the value of a variety of different theoretical perspectives and research methods used in the analysis of the country. The programme also allows students to study Brazil in global and comparative perspective: on the one hand, it will be possible to compare Brazil with the emerging powers China and India by taking modules offered by King's China and India Institutes; on the other, it will be possible to situate Brazil within its regional context, by taking optional modules on Latin America.

The programme is offered by the King's Brazil Institute, which seeks to promote an understanding of Brazil and develop the profile of Brazilian studies at university level in the UK, whilst also building links with Brazilian organizations in education, the cultural and creative sectors, business and government.

sexta-feira, 2 de dezembro de 2011

O racismo em construcao: genocidio da juventude negra?; por brancos?


Ou muito me engano, ou a mão que pratica o genocídio contra a juventude negra é branca, o que já denota um viés racial que só poderia advir de pessoas racistas, ou então de gente absolutamente inconsciente, ou de má-fé, quanto às verdadeiras causas desse pretenso genocídio.
Como políticas e atividades desse tipo, o governo e seus militantes da causa negra só podem querer estimular o racismo antibranco.
Revelador, em todo caso.
Paulo Roberto de Almeida 

II Espaço de Diálogo Estratégico da Juventude Negra

II Conferência Nacional de Políticas Públicas para Juventude Convite à participação

Dialogar sobre a conjuntura da juventude negra, a participação e incidência em políticas, ações e programas voltados para a juventude negra, são os eixos principais do II Diálogo Estratégico da Juventude Negra, que será realizado no próximo dia 09 de dezembro em Brasília – DF.

Com o objetivo de articular a juventude sobre as principais agendas de participação política no país, a segunda edição deste evento será celebrada no marco da II Conferência Nacional de Políticas Públicas para Juventude, que acontecerá na cidade de Brasília, no período de 9 a 12 de dezembro, e discutirá três temas principais: Juventude – Democracia, Participação e Desenvolvimento Nacional; Plano Nacional de Juventude: prioridades 2011-2015; e Articulação e Integração das Políticas Públicas de Juventude.
A idéia central do II Diálogo visa proporcionar uma participação qualificada da juventude negra nas proposições e encaminhamentos da Conferência, compartilhando bandeiras de luta, definindo prioridades e estratégias de ação.
O I Diálogo Estratégico aconteceu na cidade de Salvador, Bahia, em ocasião do afroxxi: Encontro Ibero-americano do Ano Internacional dos Afrodescendentes, e possibilitou um espaço de análises sobre as principais questões da juventude negra brasileira, apontando diretrizes para a agenda de participação e incidência nos espaços de tomada de decisão, além de dialogar sobre os temas de combate a violência e fortalecimento das organizações de juventude negra, reunindo organizações de juventude negra das cinco regiões brasileiras. A primeira edição contou com o apoio do Fundo de População das Nações Unidas (UNFPA) e da Secretaria de Políticas de Promoção da Igualdade Racial (SEPPIR).
O Espaço de Diálogo Estratégico da Juventude Negra Brasileira afirma e reconhece a autonomia das organizações juvenis e suas agendas de incidência, com o propósito de promover análises, debates e acordos que favoreçam a intervenção e as conquistas a favor das juventudes, sempre que houver agendas nacionais e internacionais que dialoguem temas étnico-raciais e geracionais realizadas no país.
Convocam a segunda edição do Espaço de Diálogo Estratégico: Articulação Política de Juventudes Negras, Associação da Comunidade Remanescente de Quilombo Morro do Fortunato, Coletivo de Entidades Negras, Coletivo Kilombagem, Instituto Cultural Steve Biko, Instituto Mídia Étnica, Movimento Negro Unificado, Movimento Pela Paz na Periferia-MP3, Negra Sim, Negras Ativas, ONG Criola, Rede Mulheres Negras do Paraná e UJIMA – Trabalho Coletivo e Responsabilidade. Apóia: Fundo de Populações das Nações Unidas (UNFPA, Secretaria Nacional de Juventude e Secretaria Especial de Políticas de Promoção da Igualdade Racial.

quinta-feira, 1 de dezembro de 2011

Um debate-lancamento: agradecimento aos que foram...


Tive o prazer de fazer o lançamento, nesta noite de 1/12/2011, de dois de meus livros mais recentes: 
Globalizando: ensaios sobre a globalização e a antiglobalização (Rio de Janeiro: Lumen Juris Editora, 2011; link: http://www.pralmeida.org/01Livros/2FramesBooks/107Globalizando.html

Relações internacionais e política externa do Brasil: a diplomacia brasileira no contexto da globalização (Rio de Janeiro: LTC, 2012; link: http://www.pralmeida.org/301Livros/2FramesBooks/RelaIntPExt2011.html),

O evento, realizado na Livraria Cultura, do Casa Park, se deu enriquecido por debate sobre a “Inserção internacional do Brasil: agendas e desafios”, com a participação dos professores José Roberto Novaes de Almeida (Eco-UnB) e Amado Luiz Cervo (UnB, apos.).


Minha avaliação da soirée literária (plutôt acadêmica) desta noite é suspeita, mas ainda assim posso dizer que foi um sucesso, pelo menos para mim.
Meu ex-aluno Antonio Navega fez uma foto circular, a 180 graus, do evento, que pode ser vista neste link: 360 View: http://360.io/Fdp7ZL


Gostaria de agradecer aos professores José Roberto Novaes de Almeida e Amado Luiz Cervo por terem aceito participar deste debate lançamento, agradecer também a meus alunos, colegas de carreira e a todos os demais que se prontificaram a assistir um debate sobre os temas da globalização e das crises financeiras.
Gostei bastante, e penso fazer mais debates deste tipo, sempre quando possível.
Tenho um livro sobre blocos regionais no pipeline de edição.
Quem sabe eu faço por ele, quando voltar de Paris?
Paulo Roberto de Almeida 

L'Etique C'est Moi (et je m'en fous d'un tas de vieillards...)

Pois é, tem gente que acha que, por ocupar cargos públicos, tudo e todos devem circular em volta de si, comme le Roi Soleil, quoi!
Como se dissessem: "Se eu não aprovei, não vale..."


Petroleo, Royalties e economia brasileira - Blog Jose Roberto Afonso


N°475 - 02/12/2011 - Royalties & Federação Brasileira

Olá ,
Por que o governo tributa cada vez menos a produção de petróleo enquanto tributa cada vez mais os demais setores da economia? artigo de José R. Afonso publicado no blog Brasil, economia e governo do Instituto Fernand Braudel. "É curioso como um setor fundamental para a geração de receita tributária não tem sido objeto de análises mais criteriosas, de maior debate público...apesar de toda atenção que despertou o recente conflito federativo em torno da divisão da receita de royalties de petróleo e gás. ...Controlar inflação manipulando preços de uma empresa estatal e, ainda, estatizar investimentos e produção de um insumo estratégico da economia pode ser uma opção da política econômica, mas tal escolha deve ser feita de forma aberta e assumida à sociedade. A democracia moderna cobra cada vez mais transparência na formulação e na execução das políticas públicas, especialmente das econômicas." http://bit.ly/t8dJZs

Royalties do Petróleo - As regras do jogo livro do Senador Lindbergh Farias publicado pelas Editoras Agir e Timbre, "O Pacto Federativo, muito mais do que uma expressão quase banalizada pelo inócuo jargão político, reflete o compromisso de centenas de milhões de brasileiros, ao longo de séculos de história, com a construção de um país. Um país que escolha e estimule as diferentes características de cada uma de suas regiões, fruto da multiplicidade exuberante do nosso povo, mas que se una sob uma só bandeira, uma só esperança, um só futuro." O lançamento do livro ocorrerá na Livraria Timbre no Shopping da Gávea - Rio de Janeiro no dia 05/12/2011 às 19h.  Ver PDF Anexado

Mar de Riqueza, Terras de Contrastes - O petroléo no Brasil livro organizado por Rosélia Piquet, reúne artigos de vários pesquisadores e autores, como Sérgio W. Gobetti, Paula Nazareth, Denise Terra, Eduardo Rappel, Helder Q. Pinto Jr., Jorge Salles, José Gutman, Laís Almada, Nina Quintanilha, Rodrigo Valente Serra e Rosélia Piquet, publicado pela MAUAD Editora o lançamento acontecerá no dia 06/12/2011 na Livraria Museu da República no Rio de Janeiro. Ver PDF Anexado

The intergovernmental assignment of revenue from natural resources: a difiicult balance between centripetal and centrifugal tendencies preliminary version for comments by Giorgio Brosio and Juan Pablo Jimenez. "This paper analyzes the allocation of rents from non-renewable natural resources, hydrocarbons and minerals, among levels of government in Latin America. This is a crucial issue not only from the point of view of ensuring good governance at the subnational level, but also from the necessity of avoiding political conflict and strains on national unity."  http://bit.ly/tlsorj

Oil revenue and Fiscal Federalism by Giorgio Brosio - chater 10 of the book Fiscal Policy Formulation and Implementation in oil-producing countries - available only in the internet, published by IMF. "Descentralization expands the bargaining power of subnational governments forces are in action. These demands have been strengthened by frequent disregard of the problems created to local communities by exploration and exploitation activities. In fact, sound theoretical principles and technical arguments stressing the merits of national governance of natural resources are not easily expendable among local politicians when the central government neglects their problems." http://bit.ly/roTO5T

O Rio vai ficar nu? artigo publicado na Revista Época. "Dono de 80% da produção nacional de petroléo, o Estado luta para não perder dinheiro com a aprovação de novas regras para a distribuição de royalties. O Brasil passaria a ser o único país do mundo onde Estados que produzem petróleo - e sofrem com danos ambientais e explosão populacional - recebem menos que o conjunto dos que nada produzem. Isso não ocorre em nenhum dos 13 países pesquisados pelo professor de finanças públicas italiano Giorgio Brosio."  http://bit.ly/uyMtGqhttp://bit.ly/rA0AGL

As consequências artigo de Merval Pereira publicado no Globo. "O acidente na exploração do petróleo na costa do Estado do Rio provocado por uma das maiores companhias petrolíferas do mundo, a americana Chevron, reacende a discussão sobre a distribuição dos royalties e participações especiais da exploração do petróleo."   http://bit.ly/uIP7Cc -   http://bit.ly/uMo5Ex

Descentralização das receitas do petróleo e gás natural: riscos e oportunidades para os governos locais do Rio de Janeiro trabalho de Paula Alexandra Nazareth, Jorge E. Salles e Nina Quintanilha Araújo. "O presente trabalho discute brevemente as mudanças no marco legal do setor de petróleo e gás natural do Brasil e avalia possíveis impactos decorrentes das alterações dos critérios de distribuição federativa das receitas de participações governamentais decorrentes da exploração desses recursos naturais, sobre as finanças públicas dos municípios do Rio de Janeiro." Ver PDF Anexado

Federalismo fiscal e petróleo no Brasil e no mundo por Sérgio W. Gobetti publicado no Texto de Discussão do IPEA. "Este texto busca contribuir com o debate atual sobre as regras de distribuição dos royalties no Brasil a partir de reflexões teóricas e empíricas sobre o federalismo fiscal e de uma análise comparativa das experências dos diversos países produtores de petróleo que, a exemplo do nosso, se organizam como federações." http://bit.ly/w3QTl9

A evolução da arrecadação de Royalties do petróleo no Brasil e seu impacto sobre o desenvolvimento econômico do Estado do Rio de Janeiro por Camila Formozo Fernandes. "Os resultados obtidos mostraram que o crescimento dos royalties beneficiou os orçamentos municipais, possibilitando às localidades beneficiadas ampliar seus gastos em educação e saúde e, portanto, melhorar as condições de vida da população. Por outro lado, não foram verificados investimentos na direção da diversificação produtiva, fundamental para um desenvolvimento sustentável nesses municípios."  Ver PDF Anexado

Minerals taxation regimes -  A review of issues and challenges in their design and application - The challenge of mineral wealth by ICMM. "This study complements previous work for ICMM´s Resource Endowment initiative (REi), by reviewing current and past thinking on mining taxation. The REi work emphasized macroeconomic and governance challenges and pointed out that the links between natural resource extraction and development are neither automatic nor direct." http://bit.ly/rWn403

Pausa para... situacoes inusitadas: morar dentro do carro

Vejo a manchete:


Crise e desemprego nos EUA obrigam famílias a viver dentro de carros

VÍDEO: Na Flórida, pelo menos 15 famílias moram em veículos, algumas com animais domésticos

E penso comigo: bem, sair para passear com o cachorro, em lugar de corveia, sempre é um alívio..
Sempre devemos ver o lado bom das coisas...
Paulo Roberto de Almeida 


O mito e a fraude: a doenca como arma politica...

Nota liminar: mais um post que tinha ficado escondido na seção de rascunho do meu blog. Muitas vezes, seja por absoluta falta de tempo, seja por problemas de conexão, uma postagem não vai levada a termo. Estou revisando as que ficaram no estoque dos rascunhos, eliminando as puramente conjunturais, e postando as que merecem divulgação, por sua atualidade permanente, se ouso dizer.
Esta aqui é sobre a exploração da doença pelo ex-presidente, como sempre explorada politicamente, como ele sempre fez com tudo, no seu exacerbado oportunismo e caráter mais do que duvidoso.
O comentário abaixo, tinha sido feito à época, e o mantenho tal qual.
Paulo Roberto de Almeida 


Já tínhamos a mentira, a propaganda enganosa, o autoengano, a mistificação, a fraude, numa só palavra, encarnadas num personagem exemplar de tudo o que existe ... na política brasileira (os três pontinhos ficam para cada leitor preencher segundo suas conveniências, crenças, preferências, etc.). 
Agora teremos tudo isso em dose dupla, tripla, multiplicadas por "n" vezes, com a ajuda da imprensa, dos médicos, dos colunistas a soldo, das almas piedosas, dos oportunistas e carreiristas, enfim, do próprio personagem, que não vai se eximir, um único segundo, de explorar suas novas virtudes de sobrevivente de uma doença ela mesma mítica.
Ele já era um símbolo de alguma coisa mitificada e mistificada pela imprensa e pelos partidos e militantes de certa esquerda fraudulenta. Depois se tornou um mito, alimentado a milhões de propaganda oficial, paga com nosso dinheiro, claro.
Agora está a caminho de se converter em semideus. Imbatível.
Teremos a fraude por mais alguns anos, e o Brasil vai ficando o que é graças a ele e a personagens como ele, e toda a sua tribo de seguidores e crentes ingênuos (e muitos menos ingênuos).
Paulo Roberto de Almeida 

NA POLÍTICA E NA DOENÇA

Lula vai virar o novo Padim Ciço?

Lula não se fará de rogado para usar a sua luta contra o câncer para tentar fazer aumentar a devoção à sua figura? Por Hugo Souza

Opinião e Notícia, 1/12/2011 
Uma observação nada sutil do articulista do jornal O Estado de S.Paulo José Nêumanne sobre a doença do ex-presidente Lula feita na última segunda-feira, 28, está causando grande ronrom. Participando de um evento intitulado “Liberdade de Imprensa vs. Politicamente Correto”, em São Paulo, Nêumanne profetizou: “O câncer vai fazer Lula se tornar o Padre Cícero”.
Talvez entusiasmado com o tema do seminário do qual participava, José Nêumanne colocou de uma forma mais, digamos, midiática, ou pelo menos politicamente incorreta, o que muito já se comentou na imprensa nacional e internacional sobre o efeito que o tumor na laringe do ex-presidente terá sobre a vida política brasileira.
Vide a recente reportagem da principal revista de econômica e política do mundo, a The Economist, sobre as implicações políticas do diagnóstico de Lula, na qual se diz que “as palavras que ele proferir serão difíceis de ignorar. O sentimento de solidariedade com ele dará mais peso às suas indicações de candidatos e pedidos de unidade na coalizão”.
Devoção e mistificação
“Ele vai fazer o que quiser com o PT e com o Brasil”, disse ainda José Nêumanne, prevendo que Lula se tornará um colosso político ainda maior depois da cura, desfecho bastante provável do tratamento do ex-presidente, segundo os médicos.
Tais afirmações de José Nêumanne têm como substrato a suspeita de que Lula e seu círculo político não se farão de rogados para usar a sua luta contra o câncer a fim de tentar fazer aumentar a devoção à sua figura. Para alguns, o estratagema já está em curso, tendo começado mais exatamente quando o ex-presidente apareceu em um vídeo gravado no hospital Sírio-Libanês após a primeira sessão de quimioterapia para agradecer “a solidariedade e o carinho do povo brasileiro” e para dizer que a luta contra a doença “não é a primeira nem última batalha” que ele irá enfrentar.
No vídeo sobre o câncer, falou o político messiânico: “Não existe espaço para pessimismo, para ficar lamentando que o dia não foi bom. Sem perseverança, sem muita persistência, sem muita garra, a gente não consegue nada. Nós temos que lutar. Foi para isso que eu vim, para lutar, para melhorar a vida de todo mundo”.
O mistério do mindinho
A dita devoção a Lula foi construída, sim, com um carisma que o faz quase que imantado, mas também com boas doses de mistificações que foram se criando em torno de sua história de vida e de sua vida política.
Acerca de tais mistificações, o próprio Nêumanne questiona a história que Lula conta sobre a perda do dedo mindinho da sua mão esquerda. Segundo o ex-presidente, ele estaria trabalhando no torno quando um colega bêbado chegou e prensou seu dedo. Lula teria sido obrigado a seguir trabalhando porque o patrão não o teria deixado ir ao médico. Quando finalmente chegou ao pronto-socorro, depois do expediente, o plantonista teria amputado seu dedo por puro comodismo.
“Aí, eu pergunto: quem era esse bêbado? Quem era o patrão? Quem eram esses amigos? Quem era o médico? Ninguém sabe!”, disse Nêumanne em sua noite politicamente incorreta em São Paulo. A mesma noite na qual ele levantou a bola de que o Lula de câncer curado, será o novo “Padim Ciço”, como diz a gente pobre do sertão. E completou: “É a mesma história das outras contadas pelo Lula: ele sempre é o herói e sempre tem um filho da p… para atrapalhar”.
Caso se confirme o cenário de uso político do câncer de Lula pelo próprio doente, algo como uma volta por cima “como nunca antes na história deste país”, o ex-presidente estará legitimando por completo as campanhas que surgiram desde o seu diagnóstico pedindo que ele trate seu tumor pelo SUS, e não no Sírio-Libanês – campanhas diante das quais muita gente se escandalizou exatamente por não admitir a mistura de Lula com Luis Inácio, ou seja, da política com a doença.

Entao ficamos assim: "Corruptos, refestelai-vos"...

Apenas uma sugestão, que não chega a ser um conselho, aos "velhinhos decrépitos" (apud Paulinho da Força Sindical, Paulo Pereira da Silva) da Comissão de Ética:

Demiti-vos em bloco...

Paulo Roberto de Almeida

Venezuela: uma contabilidade esquizofrenica das estatais

Meu leitor habitual Paulo Araujo me envia a seguinte mensagem:


Boa tarde, Paulo

Li ontem no blog o post a respeito da novela "Abreu Lima".  Como de costume, a imprensa não se dá ao trabalho de informar como está o parceiro da Petrobras.

Recentemente caiu nas mãos de um deputado da oposição um documento (Punto de Cuenta) que revela bastante o modus operandi chinês na Venezuela. 
O deputado da oposição Miguel Ángel Rodríguez perguntou na semana passada por que a PDVSA teve de pedir ao BANDES (Banco de Desarrollo) U$S 1,381 bilhão para cobrir «pagos de regalía e impuestos, costos de producción y refinación de los volúmenes de crudo y productos derivados despachados». Isto é, mesmo com o preço do barril a U$S 100, a PDVSA está com sérios problemas de fluxo de caixa. Chávez, como de costume, respondeu que Rodriguez é um esquálido. 

Assim, não se sabe ainda de onde a empresa vai tirar os US$ 1,1 bilhão que a Petrobrás quer receber, além do financiamento do BNDES. Parece que o nó está nesse pagamento que Chávez não quer fazer. O problema das fianças parece já ter resolvido com o BNDES, conforme noticiaram o ESP, em 6 de novembro,  e o Globo de hoje:



Juntando as partes e tentando entender o modus operandi dos negócios da China na Vezuela:

1. A terceira maior siderúrgica da China, Wuhan Iron & Steel Group (WISCO) revelou que fechou um contrato de longo prazo (7 anos) para compra de mineral de ferro da estatal Corporación Venezolana de Guayana (CVG) a um preço de 20 dólares por tonelada inferior ao fixado pela Vale (o preço Vale seria o marcador no contrato) para o terceiro trimestre de 2010.

"WISCO and Venezuela agree iron ore contract price for 2010"


2. Desde 2008 até o final de 2011 deveriam ter ingressado na Venezuela, em troca de petróleo, US$ 28,252 bilhões. O deputado fez essa conta com base em preços de mercado, embora o Punto de Cuenta revele que o preço fixado foi US$ 40, o que, aliás, o governo nega. Em declaração recente o Ministro do Planejamento Jorge Giordani deixou escapar que desses ingressos foram gastos, até hoje, US$ 6 bilhões. A pergunta do deputado Rodrigues: 
“Eso indica que hay un faltante de US$ 22.251.769.000 millones. ¿Dónde están? ¿Esta es la cifra que nos dio un servicio eléctrico de calidad, carreteras de primera, producción soberana de alimentos para no depender de las importaciones? ¿Es la cifra que nos dio un país seguro donde se respetan los DDHH? Si ese monto faltante no fue al desarrollo nacional, ¿dónde está?

Há um bom resumo da denúncia de Rodrigues. Procurar na página:

“Aló Ciudadano
(Resumen) Miguel Ángel Rodríguez
El diputado y  periodista Miguel Ángel Rodríguez, hizo en el programa una nueva denuncia relacionada con el fondo chino – venezolano.

E novembro os jornais repercutiram as denúncias de Rodrigues. Para saber o que são de fato essas denúncias, há estes dois bons artigos: 

"El Punto de Cuenta del presidente de Pdvsa"

"Pdvsa hipotecada"

O texto original do Puento de Cuenta do presidente da PDVSA e ministro de Chávez, Rafael Ramírez, pode ser lido na íntegra aqui:

PS: As estatizações ocorridas na Venezuela, em nome do  festejado “socialismo do século XXI”, prejudicaram a tal ponto as siderúrgicas e empresas de mineração que hoje o governo Chávez não vê outra saída a não ser submeter a soberania venezuelana aos interesses chineses.

"A China fornecerá financiamento de US$ 20 bilhões para ajudar no desenvolvimento da Venezuela, em condições que em nada têm a ver com as leoninas de organismos multilaterais de crédito como o Fundo Monetário Internacional", ressaltou o chefe de Governo venezuelano, sem detalhar as condições desse desembolso, que ia assinar em Caracas com o presidente Hu Jintao.

Abraços
Paulo Araujo

Maria Yedda Leite Linhares (1921/2011): homenagem a uma historiadora - Francisco Carlos Teixeira


Maria Yedda Leite Linhares – 1921/2011

Poucas pessoas conseguiram em uma só vida viver tanto. Maria Yedda Leite Linhares foi, acima de tudo, uma formadora de gente. E tinha a vocação irresistível de participar, de viver no mundo e fazer a mudança, Para ela tenho como lembrança, um título de Pablo Neruda: “confesso que vivi”!


Maria Yedda Leite Linhares foi acima de tudo uma formadora de gente. Sua alegria, a grande satisfação, era ter em seu redor jovens com quem dialogasse – sempre de forma igual, buscando em cada um deles, um talento, uma vocação. Em torno de sua sala de aula e de seus gabinetes de pesquisas passaram gerações. A primeira delas com nomes como Arthur e Hugo Weiss, Valentina Rocha Lima, Francisco Falcon e Helena Lewin. A estes se agregou uma segunda turma, formada pelos jovens Ciro Cardoso, Barbara Levy, José Luis Werneck da Silva, Berenice Brandão. E então veio a sua integral participação nas lutas do seu tempo a levaria, em 1964, a viver a cada dia no coração da crise do Brasil moderno.

Contra todos os conselhos, inclusive do bom-senso e sabedoria do Dr. José Linhares, ou “o José” simplesmente, ela insistira. Não havia conserto, era da sua natureza. Nascera assim. Lá no Ceará, em 3 de novembro de 1921, nascera - para usar a expressão do poeta que ela tanto amaria - “gauche na vida”. Meninota, contra a vontade dos pais, colocara um imenso laço vermelho nos cabelos para ver a passagem das tropas revolucionárias que adentravam o Calçamento de Messejana para conquistar Fortaleza em 1930. Aí consolidara sua vocação: rebelde, teimosa, voluntariosa, humana e generosa. 

Com a família, seguindo o rastro da crise mundial que derrubara os preços do algodão, mudou-se para Porto Alegre. Lá ficou pouco tempo. Sofreu uma infecção no ouvido, que mais tarde martirizaria a vida e a vaidade. Mudaram-se para o Rio. Aqui, na capital federal, abriu-se o espaço e as redes sociais que permitiriam a Maria Yedda ser a mulher que marcou seu tempo. Autodidata, com uma letra incompreensível, adaptou-se mal ao colégio de freiras. Estudou ainda mais, em especial português – que se tornou uma obsessão e quase a nos rouba para o jornalismo – e história. Na maratona de educação alcançou o primeiro lugar, tendo como prêmio o único livro que jamais emprestou: a História Geral de Varnhagen. 

A criação da UDF facilitou sua ascensão ao curso de “filosofia” – entendida bem mais como um curso humanista para a formação de professores. Lá conheceu os amigos que marcariam sua vida: o Dr. Anísio Teixeira, uma marca poderosa. Com o Dr. Anísio apreendeu, e acreditou, por toda vida que somente a educação para todos, laica e pública, mudaria o país. Aí encontrou também seu amigo de vida, Darcy Ribeiro – o que não quer dizer, de forma alguma, que não brigassem como cão e gato. Conviveu como jovem estudante, em sala de aula ou em reuniões e debates, com homens como Hermes Lima, Brochado da Rocha, San Thiago Dantas - todos jovens professores e oponentes da ditadura varguista. Yedda ouvia, apreendia e preparava-se também para participar.

Por fim assistiu a derrocada da UDF, o golpe do Estado Novo e a prisão de Pedro Ernesto e de seus jovens professores. 

Sua excelência em português, já naquele momento conhecida de todos, a aproximou de uma severa senhora americana encarregada da formação de quadros do Dasp. Era a chegada da política de boa vizinhança. Maria Yedda foi para os Estados Unidos, jovem, corajosa e sozinha. Um fenômeno em sua época. Estudou no Barnard College, na Universidade de Columbia.

Nada seria igual depois disso. Creio que mesmo o amor, e gratidão, que viria a ter pela França, não igualariam jamais a admiração pelos Estados Unidos. Sozinha, e precisando viver, tornou-se, ainda uma vez, professora de português para americanos e, depois, em inglês, locutora da rádio universitária.

Travou laços de amizade com uma geração de exilados da guerra civil espanhola, odiou Franco e ouviu os relatos das atrocidades dos fascismos em ascensão. Conheceu a poesia americana, espanhola e a arte deslumbrante de um México insurgente. Amava Lorca. Freqüentou o Radio City Hall e apaixonou-se pelo jovem Frank Sinatra. O inglês tornou-se uma língua fluente, na qual amava dizer poesias. Todas modernas, nunca amou Shakespeare, mas ficaria para sempre fascinada pela sonoridade de Walt Whitman.

Então veio guerra e a decisão de voltar ao Brasil. Três dias de avião, porto por porto, até mesmo no Caribe com o piloto perseguindo um submarino alemão. O Rio mudara, o Brasil se cansava da ditadura nativa. Voltava para universidade, agora a UB, a gloriosa universidade da qual seria a mais jovem mulher catedrática. 

Travava amizade com Delgado de Carvalho, o decano da história moderna e contemporânea. Mais do que tudo: conhecia José, jovem rábula, que a traria, ainda mais, para o coração da crise, casando-se e convivendo com os atores do poder. Data daí a amizade e o respeito por Alzira Vargas – o que importava que fosse oposição, tratava-se de “Alzirinha”, tão somente. Jamais esqueceria a desobediência do Comandante Amaral Peixoto, o pai da nossa “França Livre”, Niterói!

Tornou-se fundadora da UNE e sua primeira diretora do “Departamento Cultural”: o teatro, incluindo o jovem teatro negro, as revistas culturais e dos debates. Talvez fosse sempre isso do que Yedda mais gostava. O debate. Quente. Vivo. Múltiplo. Formou-se a frente pela entrada do Brasil na guerra mundial. Lá estava ela, na primeira fila, de braços com Marighela! O escritório da Reuters, na Cinelândia, tornar-se-ia seu própio escritório, lendo em primeira mão os telegramas que relatavam a guerra. Tornar-se-ia, para sempre e do fundo do seu coração, botafoguense. Os chamados rapazes do Botafogo, com João Saldanha à frente, seriam parceiros de caminhadas na então estreita calçada de Copacabana.

O casamento deveria ter equilibrado sua vocação revolucionária, creio, contudo, que foi o Dr. José que se acostumou ao sobressalto. Aconselhava, pedia e sempre, sempre, punha-se ao seu lado. Em toda crise repetia a mesma coisa: “Minha filha, não diga nada, espere para ouvir...” Inútil, Yedda não era mulher de esperar. Agia. Muitas vezes na direção certa, guiada por seu instinto contrário a toda injustiça. Outras vezes era precipitada, nunca, contudo, injusta. No mais das vezes prejudicava a si mesma.

Do casamento teve Maria Teresa, “Teca”, e José, “Zequinha”! Havia orgulho nos filhos, via-se neles, sentia por eles. Uma das maiores revoltas foi vê-los envolvidos na insidiosa e malsã campanha da imprensa golpista nos idos de março de 1964. Creio também que ambos pagaram algum preço – o preço de serem filhos de Yedda, o preço das horas roubadas, o preço de partilhá-la com todos nós, comigo, com Ciro Cardoso e principalmente com Francisco Falcon. Temos que pedir perdão por isso, perdão por tê-la tanto tempo conosco! A tudo se juntava a presença de Yonne Leite, outro motivo de orgulho de Yedda, que a via, com tudo que isso encerra, bem mais como filha do que irmã.

Na casa, a velha Virgínia cuidava de todos, incluindo alimentar os famintos assistentes, como o insistente Falcon.

Vieram os concursos, provas, cerimônias, becas e arminhos. Substituía Delgado de Carvalho como catedrática: foi o dia que mais chorou na vida. Não queria a cátedra, ao menos não queria “aquela cátedra” – lutaria todo o resto de sua vida para mudar a universidade. Falcon seria seu principal companheiro de trabalho, de lealdade e de debates intelectuais. Livros inteiros eram lidos e resenhados pelo telefone, todas as noites.

Os tempos eram de chumbo, o ar era arenoso e o chão fugidio. Yedda namorava com o PCBR, respeitava e ouvi a Apolônio de Carvalho, tinha Renée como amiga. Apoiara o ministro da educação, assumia a direção da Radio MEC. Desesperada, sem tempo, negociando e montando uma equipe de trabalho, pediria a Eduardo Portella que escrevesse seu discurso de posse, dizendo pelo telefone o que queria dizer. Ao seu lado estaria como fiel escudeira a nossa Sandra Ribeiro da Costa, forte, sem sutilezas e capaz de protegê-la, inclusive dela mesma.

Usou seu espaço para fazer cultura, afastou-se do ambiente malsão da FNFi daqueles dias. Adorava as óperas e a música erudita, da qual se tornou aficionada, muitas vezes tendo Ciro Cardoso como interlocutor. Só detestava o Bolero de Ravel. Deu a Roberto Carlos seu primeiro emprego no Rio, na própria rádio. Então vieram rostos novos, em especial Alberto Coelho, um amigo que será um consolo e uma fonte permanente de atualização e de novidades.

Então veio o pior: as forças alarmadas, como dizia “o José”, tomaram o poder. A “Revolução Brasileira em curso”, como diziam os amigos do ISEB, era feita de papel. As conseqüências seriam terríveis. Prisões, cassassões, aposentadorias compulsórias. Maria Yedda seria inculpada em 11 IPMs; seria acusada na mídia, seria espezinhada por muitos. Pouco importava, sabia o que fazer.

Queria proteger amigos – advertia Falcon, em razão do projeto da história nova. Passaria uma temporada no exterior e por fim tomaria à frente da resistência. No apartamento da Cinco de Julho organizava-se a Passeata dos Cem Mil. Em fim, o ar tornou-se irrespirável. As prisões se sucederam... Tirada do hospital foi levada para o 1º. RCC. Fernand Braudel e Jean-Paul Sartre escreveriam ao presidente-general exigindo sua liberdade. 

O exílio seria na França. Primeiro Paris, onde encontraria Ciro Cardoso, e todos que estavam, e depois Toulouse-Le Mirail, onde Jacques Godechot e Bartolomé Benassar a aceitariam com carinho e respeito. Travaria conhecimento e angariaria respeito de todos: Albert Soboul, o amigo Mauro.

Por fim, o casamento de Maria Teresa e o nascimento de Patrícia, a primeira neta seriam de mais. Forçava seu retorno, antes do decreto da anistia. A pressão seria tremenda, obrigando-a a um exílio interno, em Vassouras e impossibilitando toda pesquisa e docência em entidades públicas.

Com a volta reorganizavam-se as redes de sociabilidade, os amigos e os projetos. Em principio o CPDA, no Horto Florestal, depois a UFF e. em fim, o retorno à casa, a UFRJ. Formava-se em torno dela uma nova geração, dos quais João Fragoso e Hebe Mattos são os mais amados.

Enfim a redemocratização: Yedda ainda uma vez aceita os desafios. Primeiro é a secretaria municpal de educação, depois, por duas vezes, seria secretaria estadual de educação. Então, ao lado de Darcy Ribeiro, lançariam mão da herança do Dr. Anísio Teixeira. Os cieps, brizolões – a mais generosa e igualitária proposta de educação que o país produziu – é em verdade a versão moderna da escola-parque. 

Outros amigos vieram: Laurinda, Lia Faria, Edilberto, Maria Lucia kamache – todos embalados pelo mesmo sonho: “A educação para todos, pública, laica e de qualidade. Ao seu lado, como amparo, crítico e amigo, teria a presença de Paulo Sérgio Duarte, mais um filho muito amado.

Isto é um pouco de Maria Yedda, só um pouco, porque tão poucas pessoas conseguiram em uma só vida viver tanto. Hoje não estou triste, não quero estar triste. Para Yedda tenho apenas uma lembrança, um título de Pablo Neruda: “confesso que vivi”!

(*) Professor na Universidade do Brasil.

Debate-lancamento livros PRA: Hoje, Livraria Cultura-Casa Park, 19h30


Paulo Roberto de Almeida convida para o lançamento de seus dois livros mais recentes: 
Globalizando: ensaios sobre a globalização e a antiglobalização (Rio de Janeiro: Lumen Juris Editora, 2011; link: http://www.pralmeida.org/01Livros/2FramesBooks/107Globalizando.html

e Relações internacionais e política externa do Brasil: a diplomacia brasileira no contexto da globalização (Rio de Janeiro: LTC, 2012; link: http://www.pralmeida.org/301Livros/2FramesBooks/RelaIntPExt2011.html),

em debate sobre a “Inserção internacional do Brasil: agendas e desafios”, com a participação dos professores José Roberto Novaes de Almeida (Eco-UnB) e Amado Luiz Cervo (UnB, apos.).
Livraria Cultura, Casa Park:
Dia 1° de Dezembro de 2011, às 19:30hs.

Monde - uma revista global francesa: chamada de artigos

APPEL A CONTRIBUTIONS
Revue Monde(s), Histoire, espace, relations
Première revue française d’histoire globale 

Articles en français et anglais (Articles can be submitted in French or in English)

La revue Monde(s), Histoire, Espace, Relations est la première revue française d’histoire globale. Elle encourage la production d’analyses historiques fondées sur l’étude de  phénomènes internationaux par une perspective décentrée, tenant compte de la diversité des points de vue et pas seulement du monde Occidental. Lieu dédié aux recherches novatrices provenant de l’ensemble des champs historiographiques, la revue Monde(s) entend représenter un espace d’échange et de débat entre des approches méthodologiques et géographiques variées. 
Toutes les thématiques de l’histoire globale comme les circulations (idées, usages, hommes, marchandises et capitaux), les réseaux, les conflits ou les régulations (institutionnelles ou informelles) ont vocation à être traité par la revue. 

Editée chez Armand Colin, la revue Monde(s) commencera sa publication en avril 2012. Chaque numéro est organisé autour d’un dossier spécial, ainsi que de trois articles de Varia. 

Le premier numéro portera portera sur « Le débat transnational » (coord. : Sabine Dullin et Pierre Singaravélou). Le second numéro sortira à l’automne 2012 et comprendra un dossier sur « Les Empires » (coord. : Pierre Boiley et Antoine Marès).
Chaque numéro comprend un dossier spécial, plusieurs articles de varias indépendants du dossiers, ainsi qu’un débat autour d’un livre marquant de l’historiographie. Tous les numéros comprendront des articles en français et en anglais.

Le comité de rédaction encourage la soumission d’articles d’histoire globale portant sur la période contemporaine (XIXe-XXe). Chaque article est soumis à un processus de double relecture anonyme. Après approbation par le comité de rédaction, l’article sera publié dans la partie ‘varia’.
Merci d’envoyer votre article de 40.000 signes (ou 6500 mots) environ à : gisele.borie (at) univ-paris1.fr.

Plus de précisions (chartes, normes aux auteurs, comité de rédaction) sur notre site web : www.Mondes.com
Le comité de rédaction.

2/ CALL FOR PAPERS
Monde(s), Histoire, espace, relations
The first French journal of global history

The historical journal Monde(s), Histoire, Espace, Relations, is the first French journal of global history. It encourages innovative historical research on international phenomena from a global perspective, rather than an exclusively Western vision of the world. Its ambition is to serve as a catalyst for new historical research on global history covering all areas of historiography, providing a forum for debate between different methodological and geographical approaches. All areas of global history, such as circulations (of ideas, culture, people, goods, money), networks, conflicts or conflict resolution (institutional or informal), are concerned. 

Published by Armand Colin, Monde(s)’s first issue will be released in April 2012. Each issue has a thematic section and a varia section. The first issue’s thematic section will deal with “The Transnational Debate” (edited by Sabine Dullin and Pierre Singaravélou). The second issue’s thematic section will analyse the notion of “Empire” (edited by Pierre Boiley and Antoine Marès).
Each issue will be divided into three parts: a long thematic section,  a‘varia’ section of articles concerning various topics, and a debate on an outstanding book. Articles will be published in French and in English.

The Editorial Committee welcomes the submission of articles on contemporary global history since the 19th century. Each article will be evaluated by an anonymous peer-review process. Once accepted, articles will be published in the ‘varia’ section of the journal.

Proposals (6.500 words or 40.000 characters) in French or in English may be submitted to: gisele.borie (at) univ-paris1.fr.

For more information (instructions for authors, Editorial Committee members), please consult our website: www.Mondes.com

The Editorial Committee.

Diplomacia companheira - Editorial de O Globo




O destino de aliados do Itamaraty
Editorial O Globo, 1/12/2011

Já é da História que Lula e o PT foram sensatos em manter a rota da política econômica, ao assumirem em 2003. O governo e o país escaparam de grave crise. Mas, talvez para compensar o “conservadorismo”, uma manobra radical foi executada na política externa.
Instituiu-se a “diplomacia companheira”, inspirada na ideologia nacionalista e terceiro-mundista das décadas de 60 e 70 do século passado, quando Unctad era sinônimo de independência. Ressuscitou-se um antiamericanismo juvenil, importado do passado, do mundo bipolar da Guerra Fria. O primeiro grande feito da diplomacia companheira foi rejeitar a proposta americana da Alca (Área de Livre Comércio das Américas). Aplausos foram ouvidos na Casa Rosada, ocupada pelos Kirchner, e no Palácio Miraflores, do caudilho Hugo Chávez. Cumpriu-se um ritual de conferências apenas para sacramentar a decisão prévia de não se fazer acordo com os “gringos”. Todas as fichas foram apostadas na Rodada de Doha, no âmbito da Organização Mundial do Comércio (OMC), para uma profunda liberação do comércio mundial. Não deu certo. Doha se frustrou, está congelada na OMC, a Alca foi esquecida, e Brasil/Argentina e parceiros do Mercosul não assinaram qualquer acordo bilateral relevante para alavancar as exportações. Ao contrário de vários outros países.
Se a China houvesse rateado nos últimos nove anos, o Brasil não teria resgatado a dívida externa com divisas das exportações. O fracasso da diplomacia companheira no plano comercial está expresso no estado perene de crise no Mercosul e no fato de o Brasil continuar com uma parcela ínfima das exportações mundiais (entre um e dois por cento).
No plano político, o Itamaraty dos tempos lulopetistas não foi melhor. O avanço da Primavera Árabe já despejou na lata de lixo da História um dos parceiros escolhidos pela política externa instituída em 2003, Muamar Kadafi, “amigo e irmão”, no entender de Lula. Ao menos, já com Dilma no Planalto, o Itamaraty foi coerente com o passado de profissionalismo e, na ONU, condenou as atrocidades do ditador. Mas fraquejou diante da ditadura dos Assad, em fase de implosão, mesmo quando as ruas das cidades sírias já estavam manchadas de sangue. Parece ter havido uma recaída na tosca ideia de que ser independente é estar do outro lado em que se encontram os Estados Unidos, mesmo que, para isso, se tenha a companhia de ferozes ditadores. Mas, diante da escalada da violência do regime, a ponto de causar reação da própria Liga Árabe e de antigos aliados como a Turquia, o Itamaraty recuou. Antes tarde.
O processo acelerado de mudanças no Norte da África aconselha coerência no compromisso com princípios e cuidados com alianças descabidas, seladas apenas por caprichos ideológicos. O Irã de Ahmadinejad, outro ungido pela diplomacia companheira, ruma célere para voltar a ser um estado pária, como depois da revolução islâmica de Khomeini. A tresloucada depredação da embaixada britânica, um videoteipe do cerco à representação diplomática americana em 1979, é sugestiva.
O momento deveria ser de revisão da política de alianças exóticas. Por enquanto, esta diplomacia de varejo tem sido contestada por fatos que ocorrem em regiões distantes. O Itamaraty precisa estar preparado para quando companheiros geograficamente mais próximos caírem em desgraça.

A arte de enganar os incautos - Cesar Maia

Certos governos vivem de propaganda. Alguns mais do que outros. Alguns até só vivem de propaganda, tanto que a propaganda em si, de si mesmos, virou a própria arte de governar, se é que se pode chamar de arte as coisas servidas ao distinto público, envelopadas em efeitos visuais modernosos, apenas para dar a impressão de que se está fazendo alguma coisa, quando na verdade a única coisa que existe é mesmo a propaganda, e os pagamentos feitos a marqueteiros e agências de publicidade.
Nunca antes neste país, antes de 2003, quero dizer, se tinha feito tanta propaganda em torno do nada.
Nada, literalmente nada, e no entanto com todo o suporte visual e auditivo dessas peças bonitas de publicidade onde o que se vê é gente contente com o governo, como nos cenários Potemkim.
O governo é um governo Potenkim (quem quiser saber o que é, vá na wikipédia).
Com vocês, um que também já fez muita publicidade de si mesmo, mas que não deixa de ter razão em seus argumentos.
Paulo Roberto de Almeida


PROMESSAS COMO PUBLICIDADE: QUEM ENGANA QUEM?
Cesar Maia, 1/12/2011
          
1. Agora, se tornou técnica de comunicação governamental -generalizada pelos marqueteiros dos governos, prefeitos de grandes cidades, governadores, ministros e presidente- dar declarações, entrevistas coletivas, atos formais declaratórios, inaugurar pedras fundamentais e coisas no estilo, transformando intenções e promessas em fatos no imaginário popular, através da cobertura da imprensa e publicidade posterior. Tem até croquis realistas, com adaptação digital de fotos e desenhos animados em computação gráfica. E há intenções e promessas que são lançadas para cinco anos na frente e que não poderão ser cobradas na próxima eleição, nem seu andamento.
            
2. No Rio e em todo Brasil -PAC, por exemplo- essa é uma prática rotineira e generalizada. A imprensa, por crédito, ingenuidade, para não perder a notícia para concorrentes, ou mesmo por boa vontade, dá destaque. Colunas colocam até as fotos digitais e destacam. O eleitor registra e às vezes guarda na memória. Na imensa maioria das vezes, dá crédito e imagina que tudo está andando. Em muitos casos, quando a obra ou intervenção é localizada numa determinada região, só os moradores dessa região sabem que a promessa é falsa. Os demais, que nunca vão naquele bairro, ficam pensando que as coisas estão caminhando.
            
3. E os marqueteiros sublinham os lançamentos com slogans do tipo "um governo que trabalha"..., e os comerciais na TV vão mostrando as intenções como realidade. Um exemplo recente é a publicidade da prefeitura do Rio com 'Rio-Cidade Olímpica'. A única obra andando é o túnel da Grota Funda ou Transoeste, que nada tem a ver com as Olimpíadas. Basta checar no projeto entregue ao COI. Mas até a comissão do COI foi enganada e visitou a única obra em andamento, sem saber que nada tem a ver com os JJOO.
            
4. Este jogo de ilusão, promessas e, em boa parte das vezes, mentiras, é intensificado pelos candidatos à reeleição ou para os candidatos, da sua turma, à sucessão. E o que se diz é que só ele pode garantir a continuidade das obras. Outro dia, foi publicado que o túnel da 'perimetral' não vai ser mais o projetado, mas vai até a Praça XV, no Rio. Nada se falou de projeto, de valores e do financiamento para isso, já que os recursos da CEF, transformados em certificados e entregues aos empreiteiros, não têm essa previsão. Um pouco antes, se disse que esses recursos da CEF, via certificados, iriam bancar a construção do Museu do Amanhã. Isso seria totalmente irregular. Claro, os responsáveis não se meteriam nesse 'imbróglio', tendo depois que responder ao MP e ao TCU.
           
5. O novo Museu da Imagem e do Som, lançado a fins de 2007, 4 anos depois, não saiu do chão. Agora, há uma fórmula boa para ganhar tempo: lançar concursos de projetos, debater preliminares, coisa e tal e, com isso, 'ganhar' um ano. A lista, aqui no Rio -prefeitura e estado-, é extensa. Pelo menos 20 destaques de obras importantes não foram para valer e outras tantas são obras de outdoor em canteiros de obras-fake. Certamente, um tempo depois, a imprensa, se sentindo fraudada, faz a cobrança colocando imagens e calendário do dia das promessas e mostrando que nada foi feito, ou quase. Mas também há um ou outro caso em que a ampla publicidade paga pelos governos, da promessa ou intenção, inibe essa cobrança.
          
6. Um vídeo de 2 minutos a respeito, "Quero Morar na Propaganda"..., foi muito divulgado e ainda faz sucesso. Assista.