Muita gente já sabe, mas para quem não sabe anuncio agora: vou passar o primeiro semestre de 2012 na França, dando aulas de mestrado e doutorado na Universidade de Paris 3, Sorbonne (Institut de Hautes Etudes de l'Amérique Latine), no segundo semestre do ano acadêmico 2011-2012, que vai de Fevereiro a Maio. Serão dois cursos simultâneos, um comparando as políticas externas de FHC e Lula, o outro tratando da inserção do Brasil na globalização. Já estão prontos, estou apenas separando o material de leituras, para não dar virtudes dormitivas aos alunos...
Nada mau ficar quatro meses em Paris, com uma eleição presidencial no meio de tudo, e a crise econômica subjacente a todos os movimentos políticos e econômicos. Tudo o que eu gosto de fazer: ler, dar aulas, escrever, passear, descansar, viajar, enfim,
flâneries à Paris, en France, ailleurs.
Por isso pretendo iniciar uma série especial, dentro deste blog, exclusivamente dedicada a esse
séjour francês (não exclusivamente, pois pretendo viajar, cada vez que puder). Aqui colocarei material de imprensa e textos próprios, de cunho informativo, analítico ou simplesmente de interesse acadêmico ou turístico, até gastronômico (pois ninguém é de ferro).
Começo com as notícias do momento: crise econômica e medidas de política econômica do governo francês, o que também vai servir de reflexão, para saber o que se pode, se deve, ou não, fazer, em termos de ajustes ao quadro de crise econômica e financeira internacional, especificamente europeia, e um pouco francesa também (já que o país é impossível a reformar, e não consegue deixar de amar o Estado, um pouco como no Brasil).
Veremos como a conjuntura evolui, aqui e lá, com destaque para as ações e iniciativas dos governantes, que, aqui como lá, fazem demagogia política e só tomam medidas quando pressionados pelos eventos.
Paulo Roberto de Almeida
Plan de rigueur : une deuxième journée de solidarité serait à l'étude
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 04.11.11 | 18h05 • Mis à jour le 05.11.11 | 15h20
François Fillon devrait annoncer, lundi 7 novembre, les nouvelles mesures d'économies promises par Nicolas Sarkozy pour boucler le budget 2012. Les derniers arbitrages seront réalisés samedi lors d'une réunion à l'Elysée.
Selon une source parlementaire, le premier ministre tiendra lundi une conférence de presse à l'issue du conseil des ministres, prévu à 10 heures. Ce conseil des ministres remplace celui de mercredi, annulé pour
préparer le G20, a confirmé vendredi
Nicolas Sarkozy à Cannes.
François Fillon avait déjà annoncé un plan d'économies le 24 août. La prévision de croissance pour 2012 ayant été abaissée la semaine dernière de 1,75 % à 1 %, les pouvoirs publics ont dû
trouver six à huit milliards d'euros pour
permettre à Paris de
respecter ses objectifs de réduction de déficits.
"Le budget 2012 sera l'un des budgets les plus rigoureux que la France ait connu depuis 1945. Grâce à ces efforts, nous restons l'un des dix pays au monde avec la meilleure crédibilité financière", a déclaré le premier ministre à l'occasion de l'assemblée générale des maires de Haute-Savoie, à Morzine.
UNE DEUXIÈME JOURNÉE DE SOLIDARITÉ ENVISAGÉE
Bercy a laissé
entendre à plusieurs reprises qu'un
relèvement de la TVA dans certains secteurs qui bénéficient d'un taux réduit à 5,5 %, comme la restauration, la construction ou les services à la personne notamment, était à l'étude.
Selon les informations du
Journal du dimanche, confirmées de sources gouvernementales à l'AFP, une nouvelle journée de solidarité serait à l'étude. Elle s'ajouterait à celle mise en place en 2004 après la canicule de l'été 2003. Cette journée consiste en un jour de travail non rémunéré, dont les fruits financent la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Initialement fixée au lundi de Pentecôte, la journée de solidarité, qui a rapporté 2,4 milliards d'euros en 2010, est depuis 2008 organisée
"à la carte".
La ministre du budget,
Valérie Pécresse, a toutefois récemment
souligné que le gouvernement privilégierait les économies de dépenses. Le ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, a laissé
entendre pour sa part que les personnes aux revenus les plus modestes seraient épargnées.
Le plan de rigueur en France