O que é este blog?

Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida.

sábado, 1 de outubro de 2011

Pausa para... Diana Krall (puro deleite, pura musica...)


Diana Krall - Look of Love 

(From "Live In Paris" DVD)

http://www.youtube.com/watch?v=it1NaXrIN9I

http://www.youtube.com/watch?v=Yr8xDSPjII8&feature=list_related&playnext=1&list=AVGxdCwVVULXfUZHPUwy--05MQhJz7eXXQ


UnB homenageia o responsavel pelo atraso educacional brasileiro...

A UnB faz uma semana universitária toda ela dedicada a homenagear Paulo Freire.
Trata-se de um caso extraordinário de homenagem prestada ao principal responsável pelo atraso educacional brasileiro.
Enfim, combina com a UnB atual: cultivar o atraso, a ideologia, o besteirol.
Tem tudo a ver com seus atuais dirigentes.
Enfins, como diria uma professorinha de Letras da UnB, está totalmente conforme ao que ela representa hoje, no panorama (des)educacional brasileiro: cultivar a mediocridade, para continuar caminhando para trás.
Estou sendo muito pessimista?
Paulo Roberto de Almeida

Europeus querem solucao facil aos problemas de divida publica

Sempre tem alguém com um plano genial para salvar os irresponsáveis. Este plano é interessante, mas coloca imediatamente o problema da soberania grega: a Grécia vai entregar suas joias da Coroa para serem administradas por um comitê europeu?
Pode ser que sim, no desespero. Mas os gregos vão continuar saindo às ruas, inutilmente aliás...
Paulo Roberto de Almeida


Eureca, le "plan secret" pour venir en aide à la Grèce

LEMONDE.FR | 28.09.11 | 19h54   •  Mis à jour le 28.09.11 | 21h17
Lors des manifestations contre la politique d'austérité, à Athènes, au printemps dernier.
Lors des manifestations contre la politique d'austérité, à Athènes, au printemps dernier.AFP/ARIS MESSINIS
Le casse-tête grec n'en finit pas de faire réfléchir les économistes. Cette fois, c'est le cabinet allemand Roland Berger Consultants qui propose un nouveau plan pourvoler au secours de la Grèce et de la zone euro. Baptisé "Eureca", ce projet vise àalléger la dette grecque sans nuire aux créanciers, et à relancer l'économie du pays pour stabiliser l'euro. Un programme ambitieux, dont le mécanisme est calqué sur la Treuhand, le système mis en place en Allemagne au moment de la réunification, en 1990, pour restructurer et privatiser près de huit mille cinq cents entreprises de l'ex-RDA.
D'après le quotidien La Tribunequi en publie les grandes lignes, l'élément central de ce ce "plan secret" est en effet la création d'une société holding reprenant les actifs de l'Etat grec (ports, aéroports, banques, autoroutes, téléphonie, immobilier...). Au total, la valeur de ces actifs est estimée à 125 milliards d'euros par l'influent cabinet allemand. Ce holding serait ensuite vendu à une institution européenne "financée par les Etats, dont le siège pourrait être situé au Luxembourg, proche de celui du Fonds européen de stabilisation financière".
Grâce à ces fonds dégagés, la Grèce pourrait alors rembourser une partie de sa dette auprès des pays de la zone euro. Selon les évaluations des experts, cette opération aurait pour effet immédiat de ramener à 88 % son ratio dette/PIB, au lieu de 145 % aujourd'hui. De plus, "l'exposition de la BCE à la dette grecque serait réduite à zéro, ce qui ne peut qu'exercer un effet apaisant sur les contribuables européens".
ÉVITER DE "BRADER" LES ACTIFS GRECS
Le holding européen, de son côté, pourrait restructurer ces actifs grecs avant de les privatiser. Ils seraient privatisés et non plus bradés, ce qui serait le cas s'ils devaient être vendus maintenant, dans l'urgence. C'est ce qui fait toute la force de ce projet, pour l'économiste Jean-Paul Fitoussi, directeur de recherche à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) : "On a poussé la Grèce à effectuer un vaste plan de privatisations, et ce que l'on sait, c'est quevendre des actifs à l'heure actuelle serait une catastrophe tant les marchés financiers ne savent pas à quel saint se vouer, et ne savent pas apprécier ces actifs", analyse-t-il. Vendre ces actifs aujourd'hui reviendrait donc à "les brader".Dans cette perspective "si un système est inventé qui permet de différer leur vente, c'est une excellente chose".
Pour maximiser la valeur des actifs privatisés de l'Etat grec, l'institution fiduciaire européenne devrait investir environ 20 milliards d'euros supplémentaires pour lesrestructurer. Une partie des recettes réalisée grâce à ces privatisations serait alors réinjectée dans l'économie grecque pour relancer la croissance et créer des emplois. Un vaste stimulus qui représenterait 8 % du PIB du pays, et qui permettrait "d'améliorer les recettes fiscales, de créer deux cent cinquante mille emplois, et de relancer la Grèce dans une spirale où elle peut aller vers une réduction de sa dette", selon Charles-Edouard Bouée, membre du comité exécutif du cabinet de stratégie Roland Berger, interrogé par France Info.
"LA DETTE REDESCENDRA SOUS LES 70 % DU PIB"
Les experts allemands tablent ainsi sur une reprise de la croissance grecque"d'environ 5 % par an au cours des trois ou quatre prochaines années, au lieu des 5 % de récession qu'elle affronte aujourd'hui." Une reprise de la croissance "qui permettrait également de faire en sorte d'augmenter les recettes fiscales de l'Etat",selon Bruno Colmant, associé chez Roland Bergercité par le webmagazine économique belge Express.be.
Le holding serait chargé de piloter la privatisation de ces actifs, avec une échéance fixée à 2025 pour "déboucler" (clore) les opérations. Un horizon beaucoup plus long que la durée de vie de la Treuhand, créée en 1990 et fermée en 1994"même si un certain nombre d'opérations se sont finalisées au cours des années 2000", note La Tribune. Les économistes de Roland Berger Consultants ont calculé que, même si aucune privatisation n'était réalisée – hypothèse peu probable, souligne le quotidien économique – "la dette de la Grèce redescendra mécaniquement sous les 70 % du PIB, ce qui est une amélioration notable par rapport à la situation d'aujourd'hui".
RÉTICENCE DES BANQUES ET DES MARCHÉS
Ce nouveau plan pourrait apporter une bouffée d'oxygène à une économie grecque asphyxiée par la pression des marchés. "C'est une solution qui pourrait êtreextrêmement attractive pour les Grecs, car il s'agit d'une relance économique, et en même temps cela permettrait d'arrêter la spéculation", analyse Charles-Edouard Bouée. Les spéculateurs devraient en effet encaisser leurs pertes, ce qui devraitfreiner la spéculation sur d'autres dettes et limiter la casse dans la zone euro.
Toutefois, ce plan ne fait pas l'unanimité. Le gouvernement allemand et certains responsables de la troïka (l'Union européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international) se sont prononcés en faveur d'une telle mesure. Mais le projet risque de se heurter à l'opposition des banques et des marchés financiers, "les premières parce qu'elles ont probablement leur idée sur la privatisation des actifs grecs, les seconds parce que la situation d'incertitude actuelle permet des jeux multiples et rémunérateurs", analyse La Tribune. D'autant que de nombreux acteurs financiers doutent déjà des estimations de base retenues par le cabinet pour développer leur plan. Notamment celles concernant le montant de la dette grecque, qui aurait aujourd'hui dépassé les 145 % évoqués dans le rapport.
Charlotte Chabas

Educacao brasileira: nao esta' tao ruim que nao possa piorar mais um pouco...

Já disse várias vezes que sou moderadamente pessimista quanto à marcha da economia brasileira. Acho apenas que estamos num ciclo -- que pode durar muitos anos -- de mediocridade, feito de baixo crescimento, de problemas ocasionais, de tapa-buracos e de expedientes improvisados porque o governo fica tergiversando, em lugar de atacar o principal: a absurda carga de impostos e os gastos governamentais excessivos (que mantêm os juros altos, etc...).
Agora, quanto à educação, sou ABSOLUTAMENTE PESSIMISTA. Tudo vai continuar piorando pelo futuro indefinido, sem qualquer chance de melhorar. Não existe NENHUM RISCO de que possa melhorar. Tudo será feito para que piore cada vez mais...
Paulo Roberto de Almeida 



Reinaldo Azevedo, 
30/09/2011 08:35:23

Ah, como é cheia de indignação a razão dos tolos! Escrevi na terça-feira um texto intitulado O Brasil precisa de menos sociólogos e filósofos e de mais engenheiros que se expressem com clareza, comentando uma proposta estúpida do secretário de educação de São Paulo, Herman Voorwald, que quer reduzir a carga horária de português e matemática do ensino médio público de São Paulo. Em seu lugar, a depender do currículo (haveria três), entrariam aulas de sociologia, filosofia, espanhol, artes e física.
Pra quê!!! Foi um deus-nos-acuda! Alguns, creio, filósofos e sociólogos ficaram indignados, achando que quero banir a sociologia e a filosofia do país. Houve até quem indagasse: “E o que diria seu queridinho FHC?” FHC não é meu “queridinho”. É um ex-presidente da República, o mais importante que o país já teve. Achei que tinha ficado claro que ia lá um tanto de ironia, como em toda generalização. E até citei duas obras de Marx — o dos furúnculos no traseiro (isso, então, gerou alguns comentários engraçados, como se eu tivesse ofendido uma divindade!) — que, com absoluta certeza, boa parte dos cretinos que me atacaram não leu. Se soubessem do que falo, teriam percebido o tal viés irônico. Eu nada tenho a fazer com esse grau de estupidez.
Ainda ontem, no Estadão acho, Voorwald, o insaciável, comentava que, a despeito do número de aulas, que ele certamente considera grande, de português e matemática, os alunos têm um mau desempenho nas provas oficiais. O governador Geraldo Alckmin deveria demiti-lo. Há o risco de este senhor fazer uma grande bobagem na educação paulista porque é incapaz de pensar com lógica e porque parece tendente a transformar inação em categoria de pensamento. Ora, segundo o gigante, se o desempenho dos estudantes é ruim com a carga que temos, então por que não reduzi-la? Não é estupendo? Mais: se há sinais de que essas aulas não estão funcionando, qual é seu dever funcional? Atuar para que funcionem. Ele prefere cortar e ministrar outras disciplinas que também não funcionam… Se as medidas que propõe forem implementadas, haverá certamente uma queda no desempenho dos alunos do estado nas provas oficiais — isso é certo como dois mais dois são quatro; ou eram, antes de ele chegar à Secretaria. Percebo, um tanto estarrecido, que o homem não está sozinho nesse pensamento. Muitos dos que me escreveram acham a mesma coisa: “Já que os resultados são ruins, então que se corte a carga…” Deus do céu!
Nove entre dez pessoas que me atacaram — não publiquei as ofensas; vão ofender a vovozinha! — vêm com aquela conversa horripilante de que sociologia, filosofia e artes ensinam o aluno “a ter espírito crítico”. Infelizmente, chama-se “espírito crítico” o proselitismo ideológico vagabundo, ignorante, pilantra, vigarista, picareta, bucéfalo (acrescentem aí quantos adjetivos desse paradigma quiserem) que hoje grassa nas escolas, inclusive, e muito especialmente, nas particulares, “de elite”. Está cheio de comunista (ainda há isso no Brasil; na China, já acabou!) de meia-tigela que não quer saber de fazer pregação no Capão Redondo, sem ar condicionado. Prefere os Jardins, o Morumbi e o Alto de Pinheiros porque é mais tranqüilo pregar as virtudes do socialismo para os filhos da Dona Zelite. O efeito positivo insuspeitado, nessa camada social ao menos, é que os alunos ficam com o saco cheio de conversa mole. Uma boa forma de combater o comunismo (sim, a escola brasileira é um parque dos dinossauros ideológicos) é deixar que os comunistas falem o que pensam…
Mas é claro que também fazem um mal imenso aos alunos. Tomam o seu tempo. Essa gente tem o topete, a ousadia e o mau-caratismo de querer substituir a família na construção dos valores dos indivíduos. Cumpre, sim, ao corpo docente ser procurador do regimento da instituição a que pertence e das leis do país — estamos, afinal, numa democracia. É pura mistificação esse negócio de que seu papel é “ensinar o aluno a pensar” — como se esse “pensamento” a ser ensinado fosse neutro e não estivesse eivado por valores ideológicos. Seria, sim, de todo desejável que a escola, HOUVESSE TEMPO PARA ISSO, ministrasse um bom curso de história da filosofia e contrastasse o entendimento das várias correntes da sociologia. Mas não é isso o que se vê porque boa parte dos cretinos, repetindo os alemães que o próprio Marx esculhambava em “A Ideologia Alemã”, estão menos ocupados em formar os estudantes do que em transmitir os seus valores.
Há, sim, uma perda enorme de tempo e energia. Querem um exemplo escandaloso? O currículo de geografia é o samba-do-submarxista-ignorante-e-doido. Há nele, e os livros da disciplina o demonstram, um pouco de tudo: sociologia, filosofia, economia, política, ecologia… Há até geografia!!! Aquele professor de antigamente, do qual se faz caricatura, que dava chamada oral para saber se o estudante havia decorado os afluentes da margem direita do Amazonas, era intelectualmente mais honesto. O currículo se perdeu. Tudo é possível! E o mesmo acontece, com raras exceções, nas aulas de filosofia e sociologia.
Sim, eu fiz uma generalização um tanto irônica para chamar a atenção para o gosto que a escola brasileira tem pela conversa mole, pelo discurso, pela retórica vazia, pela saliva. Isso está patente nos livros didáticos. Há autores que analisam a sociedade em Roma Antiga segundo os critérios com que Marx, o furunculoso, analisava o capitalismo inglês do século 19. Eu poderia dizer que o “fazem na maior cara-de-pau”. Mas é coisa pior do que isso: é burrice mesmo, falta de formação, falta de inteligência.
É escandaloso que esse pensamento da escória esquerdista tenha de ser combatido em 2011? É, sim! Isso dá conta do nosso atraso — daqui a pouco vou escrever um texto sobre a Faculdade de Direito da USP, a lendária São Francisco, só para deixar claro que a demagogia e a estupidez atingem o alto escalão do ensino universitário também. Muito se reclama da falta de verba da educação, das condições precárias do ensino, dos baixos salários… Sim, tudo sempre pode ser melhorado. Mas o dinheiro não é tão pouco que justifique tanta ruindade. O que há mesmo é falta de gestão.
Querem mais filosofia, artes e sociologia no ensino médio? Muito bem! Então, primeiro, será preciso aumentar o tempo de permanência do estudante na escola — como fazem, aliás, alguns estabelecimentos privados que ministram essas disciplinas sem prejuízo do português e da matemática, que são, na verdade, duas linguagens, duas ferramentas que organizam as demais áreas do saber. Se, hoje, são ministradas de forma precária, não será reduzindo a carga que se vai chegar a algum lugar. O estado oferece essa alternativa? Ainda que oferecesse, os estudantes — muitos deles trabalhadores — têm como ficar mais tempo na escola?
Não, senhores! Uma coisa não pode ser feita em prejuízo da outra! Mais: é preciso definir o repertório dessas aulas de filosofia e sociologia. O que vai ser ensinado? Quais são os textos de referência? A cascata de que “o aluno precisa aprender a pensar” é só um misto de arrogância com vigarice ideológica — no geral, dá-se de barato que o sujeito só pensa quando comunga de valores da esquerda. Vai ver é por isso que só existe socialismo propriamente dito em Cuba (já é possível vender carro velho por lá…), no Laos e na Coréia do Norte. A China e o Vietnã já redescobriram a economia de mercado.
Quando afirmei que precisamos de menos sociólogos e filósofos e de mais engenheiros, alertava para a necessidade de a escola ser mais objetiva, mais técnica e menos retórica. Era, assim, uma espécie de metonímia. Mas poderia ser linguagem puramente referencial. Com a economia crescendo a 4%, 5% ao ano, faltam mesmo engenheiros no mercado. Filósofos e sociólogos do tipo que temos produzido são bons para depressão econômica. Em tese, fica mais fácil vender o peixe do socialismo — um peixe do século 19.
*
E um PS para o professor Herman Voorwald: as escolas particulares de elite — já existe esse serviço também para os pobres — certamente não acatariam a sua sugestão cretina. Isso só serviria para aumentar o fosso, que já é gigantesco, entre o ensino público e o privado.

Governo extingue ministerio...

Calma, calma, infelizmente não é aqui.
Aliás, aqui está até aumentando. Não contente em ter apenas 39 ministérios, o governo brasileiro criou mais um, o da pequena e média empresa. Deve realmente ajudar as empresas: elas já terão a quem visitar em Brasília.
A extinção, no caso, se deu em Cuba, onde o governo comunista poderia pensar em se extinguir a si próprio, por inútil...
Paulo Roberto de Almeida 



Em nova mudança, Raúl extingue Ministério da Indústria Açucareira
Folha de S. Paulo, 30/09/2011

DAS AGÊNCIAS DE NOTÍCIAS - O governo de Raúl Castro extinguiu ontem o Ministério da Indústria Açucareira, como parte de uma série de mudanças que vem implementando nos últimos três anos.
A justificativa, segundo o diário eletrônico estatal "Granma", é que o ministério "não cumpre função estatal". O próprio Raúl, no entanto, já tinha revelado que o governo estava insatisfeito com o andamento do programa nacional de agricultura por conta de deficiências em contratações, investimentos insuficientes e problemas na exploração de terras.
A decisão veio depois de uma importante medida em direção à transformação econômica da ilha. Na última quarta-feira, o governo autorizou a compra e venda de automóveis por qualquer cidadão -o que era proibido no país há 50 anos. O ex-ditador cubano Fidel Castro rebateu ontem as declarações do presidente americano, Barack Obama, de que os EUA ainda não viram "um genuíno espírito de transformação dentro de Cuba".
"Muitas coisas mudarão em Cuba, mas por nosso esforço, e apesar dos EUA. Talvez o império seja derrubado antes", disse Fidel em artigo ao "Granma", no qual chamou Obama de "tonto". Nesta semana, o presidente americano disse não ver "genuíno espírito de transformação" em Cuba.
Ontem, o chanceler cubano, Bruno Rodríguez Parrila, foi recebido pela presidente Dilma Rousseff em Brasília.