quinta-feira, 8 de novembro de 2007

802) Energia: previsoes preocupantes da AIE-OCDE para 2030

L'Agence internationale de l'énergie qualifie l'envolée des besoins d'"alarmante"
LE MONDE, 07.11.07

La croissance économique de la Chine et de l'Inde – gourmande en pétrole et en charbon – est en train de "transformer le système énergétique mondial". Si l'on y ajoute la consommation des autres pays émergents et des nations industrialisées, les retombées de la hausse "effrénée" de la demande d'énergie sont "alarmantes" – à la fois incompatibles avec l'impératif de renforcer la sécurité des approvisionnements et de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ce sont les principales conclusions du "World Energy Outlook 2007", le rapport annuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) rendu public, mercredi 7 novembre, à Londres.

Les experts de l'agence, qui ont élaboré un scénario de référence (sans changement de politique) et un scénario alternatif (plus économe en énergie) à l'horizon 2030, reconnaissent l'"aspiration légitime" des 2,5 milliards d'habitants des deux géants asiatiques à plus de bien-être. C'est donc à une mobilisation mondiale qu'appelle l'AIE, un organisme créé en 1974 à l'initiative des Etats-Unis pour défendre les intérêts des grands pays consommateurs.

Sans vigoureuse inflexion politique, les besoins augmenteront de 55 % dans les vingt-cinq ans à un rythme moyen de 1,8 % par an, les énergies fossiles représentant 84 % de cette hausse, très loin devant le nucléaire et les renouvelables. Et, avec eux, les émissions d'oxyde de carbone (+57 %). En outre, cette tendance entraînera une "dépendance accrue" des pays consommateurs aux hydrocarbures du Moyen-Orient et de Russie.

L'AIE souligne que le défi de "tous" les pays est donc de s'engager dans une "transition" visant à "décarboniser" l'énergie pour émettre moins de CO2, ce qui permettrait au passage de sécuriser les approvisionnements. "Nulle part ailleurs la tâche ne sera plus ardue, ni plus importante pour le reste du monde, qu'en Chine et en Inde", prévient l'agence, tout en reconnaissant que les émissions de CO2 par Chinois ne représenteront encore que 40 % de celles d'un Américain.

Quelques chiffres donnent la mesure de l'enjeu. La Chine, où la demande devrait plus que doubler (+3,2 % par an) d'ici à 2030, deviendra le premier consommateur d'énergie peu après 2010, détrônant les Etats-Unis. Ses besoins en pétrole quadrupleront, surtout pour alimenter un parc automobile qui comptera 270 millions de véhicules. En outre, le charbon restera la principale source d'alimentation de ses centrales électriques, l'obligeant à en importer massivement alors qu'elle possède déjà d'énormes réserves.

"URGENCE D'AGIR"

Les besoins de l'Inde, eux aussi, feront plus que doubler durant la période. Consommation de houille multipliée par trois, moindre utilisation de la biomasse, de l'électricité pour 96 % de la population contre 62 % aujourd'hui : tout concourt à l'importation d'énergie. Le pays deviendra avant 2025 le troisième importateur net de pétrole, derrière les Etats-Unis et la Chine, et le troisième émetteur de CO2.

Les prévisions à vingt-cinq ans sont difficiles, notamment sur la disponibilité des ressources. Le pétrole ne manquera pas, affirme l'AIE, campant sur un optimisme jugé excessif par de nombreux experts. En 2030, elle estime que la production atteindra 116 millions de barils par jour (32 millions de plus qu'en 2006), et que la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) passera de 42 % à 52 %.

Mais l'AIE juge que la hausse continue de la demande est "une menace réelle et de plus en plus grave pour la sécurité énergétique de la planète". Elle n'exclut pas, avant 2015, "une crise du côté de l'offre, qui s'accompagnerait d'une envolée des cours pétroliers", et prévient qu'"il sera extrêmement difficile d'assurer des approvisionnements fiables à des prix abordables". D'autant qu'une part croissante du brut servira au transport, pour lequel il n'existe pas de substitut.

Malgré la hausse des prix, la consommation s'accroîtra donc et les pays producteurs ne seront pas incités à investir, les tensions offre-demande maintenant l'afflux de dollars dans les pétromonarchies.

Autre facteur de risque, mais aussi de développement économique : l'accroissement des échanges pétroliers. Ils passeront de 41 millions de barils par jour en 2006 à 65 millions en 2030 (dont 13 millions importés en Chine), alors que l'offre sera plus concentrée dans les pays instables du Moyen-Orient d'où sont parties toutes les crises pétrolières des dernières décennies.

L'AIE pense que la Chine et l'Inde sont désormais conscientes qu'une course effrénée aux gisements d'or noir (Afrique, Asie centrale…) ne les prémunit pas contre une crise d'approvisionnement, et que la sécurité passe aussi par un bon fonctionnement du marché pétrolier.

L'AIE conclut sur l'"urgence d'agir" pour sauver la planète des retombées désastreuses du réchauffement. Si les Etats mettaient en œuvre les mesures qu'ils préconisent eux-mêmes, un recul de 19 % des émissions par rapport au scénario tendanciel serait possible en 2030. Encore insuffisant pour éviter une élévation moyenne de 2,40 des températures mondiales (le scénario bas du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) dans la seconde moitié du XXIe siècle.

Mais pour y parvenir, il faudrait un usage plus rationnel des énergies fossiles, une augmentation de la part du nucléaire, la généralisation du captage-stockage du CO2. Bref, des "avancées technologiques sans précédent" et "une action exceptionnellement rapide et vigoureuse" des gouvernements. La place grandissante de la Chine et de l'Inde devrait les inciter à passer des belles paroles aux actes, conclut l'AIE.
Jean-Michel Bezat

terça-feira, 6 de novembro de 2007

801) Sobre os lucros exorbitantes dos bancos

Sobre os Lucros Extraordinários dos Bancos
Paulo Roberto de Almeida
(www.pralmeida.org)

O jornalista Heródoto Barbeiro entrevistou-me hoje, 6/11/2007, pela manhã, em seu programa da Rádio CBN, “Jornal da CBN, Primeira Edição”. Muitas pessoas me contataram, depois da entrevista, para dizer que tinham gostado do que eu disse e perguntaram-me se eu tinha gravado o programa. Não, não gravei, mas tendo em vista o interesse que a matéria despertou, acabei escrevendo a essência do que eu disse nos parágrafos abaixo.


Os balanços dos cinco primeiros bancos brasileiros apresentaram, nos três primeiros trimestres de 2007, lucros extraordinários, talvez mesmo excepcionais no plano mundial, uma vez que eles representam, simplesmente, um aumento de 90% em relação ao mesmo período de 2006. Ao final de 2007, com a realização de novos ganhos esperados, derivados da venda de ativos e de aplicações nos mercados de ações, é possível, ou talvez até seja muito provável, que esses lucros sejam 100% superiores aos resultados globais de 2006, com o que o governo Lula daria um excelente, mais do que generoso, presente de Natal aos banqueiros. Mas, verificando os números, vemos que o Papai Noel dos banqueiros praticamente já chegou, deixando os demais setores da economia babando de inveja. Como foi isso possível?
Sim: como se explicam esses resultados, em face de ganhos bem mais modestos em outros setores da economia, na indústria ou na agropecuária, por exemplo? Se vocês perguntarem as razões dessa excepcional bonança financeira a algum economista da Febraban, a Federação Brasileira dos Bancos, ele dirá, provavelmente, que as fontes dos ganhos radicam num conjunto positivo de fatores conjugados, de fato inéditos em perspectiva histórica, um tal de “nunca antes” registrado no Brasil: o comportamento favorável da economia, a conjuntura de crescimento em todos os setores, impulsionado pelo aumento do crédito, pelo consumo das famílias, pela confiança dos consumidores, pelas boas políticas macroeconômicas do governo, enfim, sendo modesto em causa própria, pela excelente gestão executiva do setor financeiro.
Trata-se de uma explicação fácil que, se ela revela algumas das fontes dos ganhos, certamente não explica adequadamente as razões dos lucros excepcionais. Se vocês perguntarem, alternativamente, a algum economista de esquerda, ele dirá que os banqueiros continuam a sugar recursos do setor real da economia, que eles são os verdadeiros gigolôs dos brasileiros, com suas taxas de juros excessivas e spreads inaceitáveis nas diversas linhas de crédito. Tampouco essa “acusação” está de todo errada, embora, como no primeiro caso, isso não explique exatamente as fontes dos lucros bancários, excepcionais a qualquer título e para qualquer padrão normal de funcionamento da atividade bancária em países “normais”.
Não, por favor, não peçam nenhuma explicação a algum economista do PT ou mesmo a um senador-economista da nobre bancada parlamentar desse partido: eles simplesmente não estão disponíveis para esse tipo de explicação, pelo menos não desde os gloriosos tempos em que eles se deleitavam em apontar a perniciosa “financeirização” do sistema econômico brasileiro, seja lá o que isso queira dizer e que raios de deformação representaria exatamente esse conceito. O fato é que, em nossos tempos modernos, os economistas petistas se converteram nos aliados mais fiéis do “capitalismo financeiro monopolista”. Monopólio: aí está, talvez, uma das fontes dos ganhos exorbitantes. Curioso que os economistas e dirigentes do PT não se dediquem a desmontar um dos mais rendosos monopólios conhecidos no Brasil desde os tempos do... pau-brasil.
De fato, o lucro extraordinário dos bancos não é nada extraordinário neste país de grandes lucros para grupos que atuam em colusão, visando arrancar renda do resto da população. Creio que não é segredo, nem uma novidade para ninguém, constatar que nosso sistema bancário constitui um dos setores mais oligopolizados e cartelizados da economia nacional. Em vista da concentração bancária extraordinária, não são nada extraordinários, portanto, os altos retornos da intermediação financeira, ou melhor, da “financeirização” do Brasil. Curioso mesmo é o fato fenomenal desse fenômeno desenvolver-se extraordinariamente num governo todo ele voltado para o “social”. Enfim, todos têm direito às suas pequenas contradições filosóficas.
Neste caso específico, trata-se, contudo, de uma gigantesca contradição, não apenas filosófica, mas sobretudo prática, porque os bancos não são apenas os “gigolôs” da sociedade – como diria a saudosa Heloísa Helena –, eles o são, em primeiro lugar, do próprio governo, que lhes remunera generosamente (mas, como há de desconfiar o leitor, somos nós que pagamos). Os bancos são o que são, na economia nacional, em função, basicamente, de trabalharem com o próprio governo, principalmente por meio de aplicações em títulos da dívida pública, que, como todo mundo sabe, remuneram pela SELIC (Serviço Especial de Liquidação e Custódia, mas que poderia levar um nome mais poético, condizente com sua verdadeira função). A despeito dessa taxa ter baixado (oh, que horror) seis pontos no último ano – cada ponto, para tristeza dos banqueiros, lhes retira quase R$ 200 milhões de remuneração fácil – ela, ainda assim, permanece num patamar elevado: a taxa real de 8% é o dobro da taxa de juros média vigente no mundo.
Depois desse grande sorvedouro da poupança privada, processo no qual o governo compete deslealmente com o setor produtivo – sendo ele, de fato, um “despoupador” líquido da renda nacional –, o fator mais importante, em segundo lugar, é o sistema do crédito direto, ele também oligopolizado, of course. Não sei se o nobre leitor (e consumidor) faz alguma idéia do quanto estamos sendo tosquiados, literalmente, pelo sistema de crédito ao consumidor, que se manifesta cada vez que vamos a uma loja de departamentos comprar um bem manufaturado. Estamos aqui em face de uma alquimia jamais conhecida pelos malucos renascentistas da pedra filosofal, que pretendiam transformar os mais vis metais em ouro puro. Eles bem que fariam em tomar uma “máquina do tempo” e fazer um curso rápido com a Febraban.
Os banqueiros amigos do governo tomam dinheiro lá fora – sim, porque aqui dentro isto seria impossível – a 7 ou 8% ao ano e repassam aqui dentro a 100% (ou bem mais ainda, no caso dos cartões de crédito). O que acontece depois deveria chocar as almas mais sensíveis: o incauto consumidor é obrigado a pagar o dobro do preço da mercadoria, yes, o dobro. Trata-se de um típico assalto à mão armada, que se manifesta da forma mais singela possível: é quando a vendedora lhe diz, simpaticamente aliás, que você pode levar o produto num sistema de crédito que lhe contempla, generosamente, com essa maravilha das “seis vezes sem juros”.
Ora, isso representaria chamar aos mais atilados – que são todos os que lêem estas linhas –, de idiotas, pois todos sabemos que não existe essa “coisa de ‘n’ vezes sem juros”. Como diria Milton Friedman, there is no such thing as a free lunch, e se alguém lhe oferecer um, é porque um outro está pagando por isso (no caso você mesmo, esperto leitor). Alto lá, protesta você junto à mocinha da loja: “eu não quero pagar em seis vezes, prefiro comprar à vista”. Bem, mas neste caso, “o preço é o mesmo”, lhe responde ela, sempre sorrindo. Você vai ser ainda mais idiota, e dar todo esse dinheiro ao dono da loja, de uma vez só? Frustrado, você aceita “comprar a prazo”.
Quando você compra um tal produto, caro leitor, na verdade, o que você está comprando é o financiamento, a mais de 100%, claro. O produto é o que menos importa em toda a operação. Esse assalto à mão armada, feito com a total conivência do governo, é o que permite aos bancos os lucros extraordinários que eles têm. Isso só existe porque o Brasil não é um país normal, sendo adepto daquilo que eu já chamei de “teoria da jabuticaba”.
Vejamos a teoria pelo lado do orçamento público. Em qualquer país normal, um governo normalmente constituído, por pessoa não “jabuticabais”, contempla os recursos de que dispõe e realiza a adequação das despesas globais ao volume de receitas previstas, efetivamente. Só no Brasil é que ocorre exatamente o inverso desse processo: o governo primeiro fixa as despesas e só depois vai buscar as receitas onde elas mais existem, ou seja, nos bolsos dos cidadãos e nos caixas das empresas. Aliás, ele nem precisa fazê-lo de modo compulsório: com impostos “eficientes” como a CPMF e os descontos em folha, o dinheiro pinga nas arcas do Tesouro sem que o governo faça o mínimo esforço de ir buscá-lo. Os fiscais servem, em grande medida, para achacar grandes e médios contribuintes, apenas na parte dos impostos declaratórios. Toda essa informalidade, caro leitor, é provocada pelo governo: é ele quem expulsa empresas e cidadãos para o submundo econômico da informalidade, contra a vontade deles.
Com o sistema de crédito ocorre algo similar. Ele não existe, como em países normais, para financiar uma compra qualquer, segundo princípios consagrados do mercado. Ele existe, de fato, para achacar o consumidor, que somos todos nós. Em qualquer país normal, se você deseja comprar uma mercadoria, deveria ter o preço bem à vista, para então decidir se pode, ou não, comprar “à vista”. Em caso negativo, aquele preço é majorado em função de um financiamento anual, com taxas de juros absolutamente transparentes, como ocorre em países normais.
No caso do Brasil, não é bem isso que acontece. O sistema financeiro aplica, na verdade, o sistema inverso: ele calcula quanto o típico cidadão médio – com salário abaixo de 800 reais – pode pagar por mês – digamos 50 reais – e o resto da operação é montado em cima disso, com taxas de juros MENSAIS absolutamente extorsivas. Está feita toda a mágica: com taxas de juros embutidas, banqueiros e lojistas fazem com que você necessariamente pague por dois televisores, mas é claro que você só consegue levar um deles para casa, pois ninguém é bobo nesse sistema jabuticabal. Sinto muito ofendê-lo, caro leitor, mas isso se aplica a mim também: os bancos e os lojistas estão nos chamando de idiotas, com a conivência do governo, é claro, que não coíbe esse tipo de prática que engana os mais humildes e nos torna reféns de um sistema espoliativo.
Compreendeu agora, caro leitor, a teoria da jabuticaba financeira, que permite esses lucros extraordinários aos banqueiros?

Se você estiver interessado em ter mais exemplos da teoria da jabuticaba, eu lhe recomendaria este texto meu e pediria, ao mesmo tempo, que me remetesse mais casos para a minha coleção:
Teoria da jabuticaba, II: estudos de casos”, no site do Instituto Millenium em 5/07/2006.

Texto rascunhado em 6.11 e revisto em 10.11.2007.

sábado, 3 de novembro de 2007

800) Vida na Terra: causas e caracteristicas

Por que a Terra é o único planeta conhecido no qual existe vida?
Entenda as características que tornam tão especial o lugar onde vivemos
Ciência Hoje para as Crianças, 2 novembro 2007

A vida em outros planetas já foi tema para bons filmes de suspense, terror e até para animar terríveis ou meigos personagens, como o clássico ET. Porém, para que haja vida conforme a que existe aqui na Terra, é preciso que o planeta tenha uma série de características.

A receita da vida não é fácil. Em primeiro lugar, o candidato a planeta habitado deve ter compostos orgânicos, ou seja, substâncias que possuem carbono, um elemento químico fundamental para a composição da vida. Depois, essas substâncias devem ser combinadas com outros elementos, como a água em estado líquido e temperatura abaixo de 120°C. Isso só para começar!

Contudo, para manter a vida, essa temperatura não pode variar muito. Para isso, o planeta precisa ter o tamanho ideal, mais ou menos igual ao da Terra. É que, com este tamanho, o candidato a planeta povoado tem condições de conservar sua atmosfera – camada de ar e gases – com espessura e condição necessária para manter sua temperatura. Se for maior, há mais emissão de gases estufa e a temperatura pode se elevar muito; se for menor, ele não tem condições para manter a atmosfera e a temperatura estável ideais para o desenvolvimento da vida.

O tamanho do globo também influencia na atividade vulcânica, que fornece os gases atmosféricos importantes para manter o “efeito estufa”, que, em nível considerado normal, promove o aquecimento adequado.

Outro fator importante é a rotação – movimento que o planeta faz em torno do seu eixo. Este giro deve ser relativamente rápido, para que as temperaturas no planeta não variem muito, impedindo que a água congele ou evapore. Se esse movimento fosse mais lento não haveria estabilidade na temperatura ao longo do globo e, provavelmente, não haveria água em estado líquido, fundamental para a vida na Terra.

A distância da estrela central também precisa ser perfeita para que haja equilíbrio da temperatura, pois o brilho das estrelas apresenta variações durante sua vida. Na posição que a Terra ocupa, mesmo que a temperatura do Sol oscile, o equilíbrio térmico da atmosfera é mantido. Se estivesse mais próxima ou distante, nossa atmosfera não conseguiria equilibrar as modificações na emissão de energia de nossa estrela central.

Bem, de todos os planetas do Sistema Solar, apenas a Terra apresenta todas essas características. Mas, segundo os cientistas, em alguns grandes satélites existem elementos parecidos com os que devem ter originado a vida na Terra. Será que, no futuro, podemos ter informações surpreendentes?

Eder Cassola Molina
Instituto de Astronomia, Geofísica e Ciências Atmosféricas
Universidade de São Paulo

799) Um site de valor: A Voz do Cidadao

Recomendo a todos este site, que apresenta inúmeras matérias do mais alto interesse para um debate bem informado sobre os problemas do Brasil e do mundo:
A Voz do Cidadão.
Veja aqui, uma lista dos artigos mais recentes.

798) Conferencia nacional sobre Politica Externa

Apenas divulgando. Outras informações, neste link.

II Conferência Nacional de Política Externa e Política Internacional - CNPEPI
Fundação Alexandre de Gusmão
Instituto de Pesquisa de Relações Internacionais

O Brasil e o Mundo que vem aí”
05 e 06 de novembro de 2007
Palácio Itamaraty - Rio de Janeiro – Biblioteca

Programa

Dia 5/11/2007 - Segunda-feira
9:00hs – 11:00hs. Sessão Inaugural
Palestra Embaixador Celso Amorim

11:00hs. – 12:00hs. Debate Europa
Professor Antônio Carlos Peixoto (Cebela)
Conselheiro Ricardo Guerra

12:00hs. – 13:00hs. Debate Estados Unidos
Professor Cristina Pecequilo (UNESP)
Embaixador Everton Vieira Vargas

13:0hs. – 14:00hs. Almoço

14:00hs. – 15:00hs. Debate Rússia
Professor Daniel Aarão Reis (UFRJ)
Embaixador Carlos Augusto Santos Neves

15:00hs. – 16:00hs. Palestra Professor José Paradiso
( Universidade Nacional Três de Fevereiro Argentina)

16:00hs. – 17:00hs. Debate África
Professor José Flávio Sombra Saraiva (UnB)
Ministro Fernando Simas Magalhães

17:00hs. – 18:00hs. Debate América do Sul
Professor Darc Costa (UFRJ)
Embaixador Enio Cordeiro

18:00hs. – 19:00hs. Debate Oriente Médio
Professor Paulo Farah (USP)
Professor Eugênio Diniz (PUC BH)
Embaixador Arnaldo Carrilho

19:00hs.: Lançamento livros
“Personalidades da Política Externa Brasileira” e
“Livros para conhecer o Brasil”.

Dia 6/11/2007 - Terça –feira
8:00hs. – 9:00hs. Debate China e Índia
Professor Henrique Altemani (PUC SP)
Embaixador Roberto Jaguaribe
Mesa: Embaixador Amaury Porto de Oliveira /

9:00hs. – 11:00hs. Palestra Professor Osvaldo Sunkel
(Universidade do Chile)

11:00hs. – 12:00hs. Debate Mudança Climática
Professor Luiz Pinguelli Rosa (UFRJ)
Embaixador Sérgio Barbosa Serra

12:00hs. – 13:00hs. Debate Conselho de Segurança da ONU
Embaixador João Clemente Baena Soares (UES)
Ministro Carlos Sérgio Sobral Duarte

13:00hs. – 14:00hs. Almoço

14:00hs. – 16:00hs. Palestra Professor Gyula Csurgai
(ICGS Genebra)

16:00hs. – 17:00hs. Debate Economia Mundial
Professor Paulo Nogueira Batista Júnior
Ministro Roberto Azevedo

17:00hs. –18:00hs. Debate Energia
Professor Maurício Tiomno Tolmasquim (COPPE / UFRJ)
Embaixador Antônio José Ferreira Simões

19:00hs. Encerramento :
Embaixador Samuel Pinheiro Guimarães
Embaixador Jeronimo Moscardo (FUNAG)

797) A reforma constitucional na Venezuela

Estamos atravessando um momento histórico na América Latina, sem querer abusar do conceito. Poucos de nós, pelo menos os que lêem este blog, tiveram a oportunidade de assistir à ascensão dos fascismos contemporâneos, de ver, concretamente, como se arma uma ditadura "constitucional" (se a expressão não é por demais contraditória).
Acredito que nenhum dos lêem este blog teve a oportunidade de assistir à construção das ditaduras mussoliniana e hitlerista, nos anos 1920 e 1930.
Pois bem, estamos tendo agora esta chance histórica, de ter um curso ao vivo, se ouso dizer, de construção de uma típica ditadura "constitucional", se é que o termo se aplica à experiência venezuelana.
Pretendo efetuar, assim que possível, uma análise econômica dos dispositivos pertinentes da "nova" constituição venezuelana, que de socialista guarda apenas o nome, pois o que se assiste é o estatismo mais exacerbado, como naquelas experiências fascistas, aliás...
Não se pode dizer, portanto, que não somos protagonistas da historia se fazendo, ainda que seja uma triste história para o povo venezuelano...
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Paulo Roberto de Almeida

O texto (selecionado por mim) dos dispositivos mais importantes da reforma constitucional na Venezuela, pode ser lido neste link.
Abaixo, uma simples matéria de imprensa sobre o que acaba de ser aprovado:


Assembléia da Venezuela aprova reforma constitucional
Legislativo venzuealano encaminhará o projeto para um referendo popular, que pode ocorrer já em dezembro
Agencia EFE, sexta-feira, 2 de novembro de 2007, 19:08

CARACAS - A Assembléia Nacional da Venezuela aprovou por grande maioria nesta sexta-feira, 2, um projeto de reforma constitucional que deverá perpetuar o presidente Hugo Chávez no poder, e ordenou seu envio ao Poder Eleitoral para o agendamento de um referendo popular.

Leia a íntegra:
REFORMA DE LA CONSTITUCIÓN DE LA REPÚBLICA BOLIVARIANA DE VENEZUELA

Dentre as propostas trazidas pelo projeto está a possibilidade de expropriação de terras sem a necessidade de aprovação judicial, a eliminação de qualquer autonomia do Banco Central e a redução da jornada de trabalho. Além disso, o texto cria novas modalidades de propriedade e permite a suspensão de direitos à informação e garantias durante os períodos de "estado de exceção".

Mas de todas essas, a proposta mais polêmica é a que retira limites à reeleição presidencial. Caso a reforma seja aprovada, Chávez poderá se candidatar para um terceiro mandato em 2012.

A igreja católica, grupos estudantis, empresários e partidos de oposição têm rechaçado as mudanças constitucionais, que alegam tornar vulnerável importantes direitos dos cidadãos, além de concentrar poderes para o presidente.

Hugo Chávez qualifica as mudanças de vitais para consolidar sua revolução socialista.

Na quinta-feira, centenas de manifestantes saíram às ruas de Caracas para pedir o adiamento por dois meses de um referendo a ser realizado em dezembro para que o projeto seja aprovado.

A Assembléia Nacional (parlamento unicameral venezuelano) aprovou, por maioria qualificada, o projeto de reforma de 69 dos 350 artigos da Constituição Bolivariana de 1999. Como oposição boicotou as eleições legislativas de 2005, todos os 167 membros da câmara são governistas. Apenas sete rejeitaram as propostas na votação desta sexta.

Após a votação, a presidente da Assembléia, Cilia Flores, ordenou o remetimento do projeto ao Conselho Nacional Eleitoral (CNE), "a fim de ativar o referendo popular".

A mesa diretora da Assembléia, acompanhada por grupos de simpatizantes de Chávez, deve entregar ainda nesta sexta-eira, o projeto de reforma constitucional ao CNE.

Medida legal
O órgão deverá realizar a consulta popular em 30 dias contados a partir do momento em que receber o documento, segundo a lei. Por isso, espera-se que o referendo aconteça em 2 de dezembro.

A proposta de reforma foi aprovada nesta sexta-feira após uma última leitura do projeto. Originalmente, o texto apresentado por Chávez em 15 de agosto tinha 33 artigos, mas ele foi ampliado para 69 pelos parlamentares.

Todos os deputados, à exceção de um punhado do partido Podemos (esquerdista), aprovaram o projeto de reforma, que consta de 69 artigos, 15 disposições transitórias, uma derrogatória e uma final.

O deputado Ismael García, do Podemos, insistiu que a magnitude das mudanças sugeridas requeria a formação de uma Assembléia Nacional Constituinte, e reiterou que a maioria da população desconhece o conteúdo do projeto, alegando a necessidade de adiar a consulta popular para além de dezembro.

quinta-feira, 1 de novembro de 2007

796) Blogs de economistas americanos

Uma recomendação, tão útil quanto qualquer outra, de blogs de economistas americanos, que retirei do Pluralist Economics Review, de novembro de 2007.

Blogs de economistas americanos:

Dean Baker
Brad DeLong
Paul Krugman
Greg Mankiw
Mark Thoma
Dani Rodrik
Naked Capitalism
Vox

Para a própria PER, clique neste link.

Postagem em destaque

Livro Marxismo e Socialismo finalmente disponível - Paulo Roberto de Almeida

Meu mais recente livro – que não tem nada a ver com o governo atual ou com sua diplomacia esquizofrênica, já vou logo avisando – ficou final...