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sexta-feira, 1 de março de 2019

República Federal paga pensão a colaboradores da Alemanha nazista



Qui sont les 54 Français liés au régime nazi qui perçoivent encore une pension de l'Etat allemand ?

Ils sont 54 à vivre sur le sol français et avoir bénéficié d\'une prestation du gouvernement allemand au titre de la Seconde Guerre mondiale.
Ils sont 54 à vivre sur le sol français et avoir bénéficié d'une prestation du gouvernement allemand au titre de la Seconde Guerre mondiale. (BAPTISTE BOYER / FRANCEINFO)
Cette prestation ne concerne "que des victimes de guerre" et exclut des versements à "une personne qui aurait commis un crime de guerre". Mais en France, l'affaire suscite un profond malaise.
"Rente pour service rendu au IIIe Reich""collabo". Fin février, les parlementaires belges n'ont pas eu de mots assez forts pour fustiger une allocation versée par l'Allemagne au titre de la Seconde Guerre mondiale. Selon eux, ces pensions ont été accordées à des collaborateurs belges du régime nazi, membres de la Waffen-SS, condamnés après-guerre dans leur pays. Et la Belgique pourrait ne pas être la seule nation concernée. Selon le ministère du Travail allemand, 2 033 personnes ont touché ces pensions le mois dernier, dans le monde. 
L'affaire a suscité un profond malaise en France, Jean-Luc Mélenchon appelant à interdire le versement de cette pension, encadrée par une loi allemande de 1951. Paris a même demandé à Berlin d'expliciter le profil des bénéficiaires en France, mercredi 27 février. Car parmi les bénéficiaires figurent 54 personnes vivant sur le sol français. Qui sont-elles exactement ? D'anciens collaborateurs nazis en font-ils partie ? Pour l'instant, personne à Paris ne connaît leur identité. "Nous n’avions pas connaissance de cette pension", a même reconnu la secrétaire d'Etat auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq. Franceinfo a donc tenté d'en savoir plus. 

Un montant maximum de 1 300 euros

Contacté par franceinfo, le ministère fédéral du Travail et des Affaires sociales allemand est catégorique sur les conditions de versement de la prestation, d'un montant maximum de 1 300 euros. Selon la loi fédérale sur l'assistance aux victimes de guerre de 1951 qui encadre son versement, elle concerne les personnes ayant subi des dommages pour leur santé au cours de la Seconde Guerre mondiale.
"Les bénéficiaires peuvent donc être d'anciens soldats de la Wehrmacht [l'armée allemande du IIIe Reich] ou des victimes civiles de la guerre. Parmi eux, il peut y avoir, par exemple, des personnes ayant perdu un membre lors d'un bombardement", explique le ministère. Et de préciser que cela ne consiste pas en une pension réservée à des combattants ayant servi dans l'armée allemande. 
Aucune prestation de ce type n'est versée par l'Allemagne pour service rendu dans la Wehrmacht ou dans la Waffen-SS.Le porte-parole du ministère du Travail allemand à franceinfo
Si le ministère assure ne pas connaître le nom des récipiendiaires, il indique que parmi les 54 personnes concernées en France figurent des ressortissants français et des Allemands qui résident sur le territoire français. 

Aucun condamné pour "crime de guerre"

Selon le ministère, aucun des 54 n'a toutefois été condamné pour "crime de guerre". La loi de 1951 a d'ailleurs été renforcée dans ce sens à la fin 1997 : elle exclut "tout demandeur ayant violé les principes d'humanité ou l'Etat de droit pendant le régime nazi." En vertu de cette règle, le ministère précise à franceinfo que l'octroi de la prestation a été refusé dans 99 cas depuis 1998.
Dans le détail, le versement de ces indemnités revient aux seize Länder, les Etats fédérés qui forment l'Allemagne. Ces derniers examinent les demandes et ont toute autorité pour accorder, refuser ou retirer la prestation.
Pour ce qui est du profil des récipiendiaires, "le ministère local de la Sarre examine actuellement si d'anciens membres de la Waffen-SS pourraient figurer parmi ces bénéficiaires", précise le porte-parole du ministère fédéral du Travail et des Affaires sociales allemand. En effet, d'anciens soldats, enrôlés de gré ou de force dans la Wehrmacht, peuvent percevoir cette prestation. Contacté par franceinfo, le ministère local de la Sarre, qui gère les bénéficiaires qui résident en France, n'a pas répondu à nos sollicitations.  

La question des "malgré-nous", enrôlés de force 

Parmi les pistes explorées par les autorités allemandes figure ainsi le cas des "malgré-nous" et "malgré-elles", ces 135 000 Alsaciens et Mosellans enrôlés de force dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale. A partir de 1941, le régime nazi avait mis en place des campagnes de recrutement et déclaré obligatoire le service militaire dans l'armée allemande pour tous les jeunes Français de la région Alsace-Moselle. "S’ils n’y allaient pas, leurs proches étaient déportés dans les camps de travail", explique Gérard Michel, de l'Association des déportés, évadés, incorporés de force (ADEIF), à franceinfo. 
Certains d'entre eux font-ils partie des 54 personnes concernées par le versement de cette pension controversée ? Non, répond avec véhémence une des membres de l'ADEIF du Bas-Rhin, contactée par franceinfo. "A notre connaissance, il n'y a pas de 'malgré-nous' parmi les 54. En tout cas, aucun n'a fait de demande pour la percevoir."  Même son de cloche du côté de l'historien Nicolas Mengus, qui gère le site malgre-nous.eu. Selon lui, aucun "malgré-nous" ou "malgré-elles" ne touche une pension de l’Allemagne, même en tant que victime de guerre. En effet, en 1945, les "malgré-nous" ont été reconnus par le gouvernement français comme des anciens combattants.
Les enrôlés de force ont obtenu la carte d’ancien combattant de l’armée française et touchent à ce titre une pension du ministère des Armées.Nicolas Mengus, historien à franceinfo
Deux autres procédures pour une plus grande reconnaissance de ces anciens combattants sont d'ailleurs en cours, dont l'une visant à faire reconnaître leur incorporation de force comme un crime contre l'humanité. "Mais peut-être y a-t-il, parmi les 54, des 'enrôlés de force' qui n'ont pas été reconnus comme tels par la France et qui, en tant que victimes de guerre, ont demandé une prise en charge en Allemagne ?", se questionne, auprès de franceinfo, l'historien Frédéric Stroh, spécialiste de l'incorporation de force. 

Les "volontaires" de la Wehrmacht

De leur côté, 8 000 Français se sont engagés volontairement dans l’armée allemande pour combattre sous cet uniforme. Les plus controversés sont ceux de la "Charlemagne" (la division française de la Waffen-SS), qui se sont engagés par conviction politique, rappelle l'historien Geoffrey Diebold, auteur d'un mémoire de recherche sur Les Engagés volontaires alsaciens dans la Wehrmacht et la Waffen-SS, de 1940 à 1945. Certains ayant collaboré avec le régime nazi pourraient donc figurer dans la liste des 54 personnes.
Reste à connaître l'histoire exacte de tous ces engagés. Car d'autres "volontaires", la plupart jeunes et issus de milieu modeste, n'ont pas eu "grand choix" au moment de signer leur engagement dans l'armée allemande, assure Geoffrey Diebold, qui a étudié les dossiers des 2 428 engagés alsaciens, dont 1 442 ont signé pour la Wehrmacht et 872 pour la Waffen-SS (l'affectation des 114 autres n'est pas connue).
Des circonstances expliquent leur ralliement : certains se sont engagés pour éviter d'aller sur le front russe, en choisissant la marine ou l'aviation allemande ; d'autres fuyaient une situation familiale compliquée ou cédaient à la pression de parents pro-nazis. 
Les officiers allemands faisaient de la propagande dans les écoles. A la fin de leur discours, ils faisaient signer aux élèves un papier. Une fois rentrés chez eux, ils comprenaient qu'ils s'étaient engagés.Geoffrey Diebold, historienà franceinfo   
L'historien rappelle également que parmi les "volontaires", certains avaient été arrêtés parce qu'ils affichaient une attitude "anti-nazie". La police du IIIe Reich leur laissait alors le choix entre l'engagement volontaire ou le camp de concentration. 
Sans information officielle de la part du gouvernement allemand, difficile de se faire une idée précise des bénéficiaires. Pour l'historien Nicolas Mingus, la discrétion, voire la gêne, en vigueur outre-Rhin s'explique par un souci de précaution. "Il y a des rancœurs très vives encore qui peuvent être attisées parce qu'ils touchent une pension. Il ne faut pas que cela devienne une chasse aux sorcières. Tant qu'on ne sait pas qui c'est et les conditions de leur entrée dans l'armée allemande, comment juger ?"

sábado, 22 de junho de 2013

A manifestacao que veio do "nada": France Info sobre o Brasil

Au Brésil, personne n'a vu venir la contestation
Typhaine Morin, Mireille Lemaresquier
France Info, Le 21 Juin 2013

Au onzième jour de contestation, et au lendemain de manifestations historiques au Brésil, la présidente Dilma Rousseff a réuni vendredi un cabinet de crise. A un an du Mondial de football, des dizaines de milliers de Brésiliens, jusqu'à un million jeudi soir, manifestent contre l'augmentation du coût de la vie. La contestation grandit au fil des jours. Pourtant, personne n'a vu venir la fronde.

Ni le Parti des travailleurs de la présidente Dilma Rousseff, ni les centrales syndicales, ni les députés... Personne, semble-t-il, n'a vu venir la contestation sociale qui agite le Brésil depuis onze jours. La présidente, au pouvoir depuis un an et demi, a dû annuler une visite au Japon tant les rangs des manifestants grossissent. Vendredi, elle a convoqué en urgence ses principaux ministres.
A un an du Mondial de football, les Brésiliens protestent contre la précarité des services publics, la hausse des produits alimentaires et la corruption. Une semaine après le début des manifestations, déclenchées par la hausse du prix du ticket de bus, Dilma Rousseff s'est adressé à son peuple, et s'est dite à l'écoute des "voix de la rue". Mais ce message n'y a rien fait, les manifestations ont continué.

In Maceió, #Brazil protesters fill the streets #changebrazil pic.twitter.com/eWqBv9Zo9p
— kurtizz (@kurtizz01) June 21, 2013

Croissance et prospérité
Depuis 10 ans, le Parti des travailleurs est au pouvoir. Pendant 10 ans, le Brésil a connu, et en particulier au début de l'ère Lula, une période de prospérité, une croissance économique allant même jusqu'à plus de 7% par an. "Mais maintenant, le pays est affecté par la crise internationale", explique Janette Habel, spécialiste de l'Amérique latine, professeur à l'Université de Nanterre et à l'Institut d'Amérique Latine. Le pays est aujourd'hui confronté à une désindustrialisation précoce.
"Il y a des éléments structurels objectifs qui sont la toile de fond de la crise, souligne Mme Habel. Mais l'augmentation [des prix] des transports a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Personne n'a vu venir" cette contestation. "Ce qui montre que l'on a une réelle coupure entre un Parti des travailleurs, des centrales syndicales, (...) la présidence de la République et le reste de la population."
Intransigeance et aveuglement
Fin 2012, le Brésil a connu une grande grève des fonctionnaires, un mouvement très suivi par les universitaires et appuyé par les étudiants. "Or, explique la chercheuse, Dilma Rousseff a opposé à cette grève et à ces revendications une intransigeance très grande, qui a été très mal reçue, et notamment parmi les jeunes."
Cette intransigeance "a contrasté avec le traitement qu'elle a réservé à certains secteurs de l'armée et à ses bonnes relations avec le patronat", analyse Janette Habel. La chercheuse estime que la présidente "a certainement fait une erreur qui témoigne d'un réel aveuglement", et que "l'appareil gouvernemental et l'appareil général du Parti des travailleurs sont maintenant beaucoup plus éloignés que par le passé des exigences de la population".
Classes moyennes
Cette contestation sociale met aussi en lumière le mauvais fonctionnement des services publics et le fossé qu'il existe entre les riches et les classes moyennes. "Si vous êtes contraints d'aller, par exemple, dans les hôpitaux publics ou dans le système public, il y a un écart énorme" avec le privé, explique Mme Habel. Or, les classes moyennes brésiliennes n'ont pas accès à ces services privés.

30,000 Brazilians flood the streets to protest World Cup spending, more pics from Brazil: http://t.co/wmB8lwwApy pic.twitter.com/6uy5gvdtV8"
— sidewalksurfer (@Captain_Arcos) June 18, 2013
"Les classes moyennes se sont plutôt des travailleurs qualifiés qui ont un emploi stable, mais qui n'ont toujours pas suffisamment de revenu pour avoir accès à des soins de santé ou d'éducation", explique la chercheuse, à l'inverse des plus riches. Les classes moyennes font partie de ceux qui sont dans la rue depuis 10 jours, avec des jeunes sans emploi, des travailleurs pauvres et des gens qui viennent des banlieues.

sábado, 10 de março de 2012

Livros da Franca: um sobre o Brasil pre-independencia

Recebido da France Info, sobre os livros mais recentes publicados na França, entre eles um sobre conflitos e intrigas no Brasil pré-independência, misturando personagens conhecidos e outros inventados.
Vou procurar saber mais sobre o autor e seus livros...
Por falar em France Info, vou estar na France Culture, na próxima terça-feira, dia 13, mas as 6h45 da manhã (ou seja, 2h45 do Brasil), para falar justamente do Brasil.
Muito cedo para ser ouvido por meus amigos do Brasil, mas provavelmente depois vou dispor do link da emissão, que provavelmente se fará no quadro dos "Enjeux Internationaux", com o jornalista Thierry Garcin.
Paulo Roberto de Almeida 


Bonjour Paulo Robert,
Alerte France Info


Des livres aux quatre coins du monde
Le 10 mars 2012 à 10h45 par Valérie Expert
Les coups de coeur de Valérie Expert, Rosa Tandjaoui de la librairie "Des Orgues" à Paris et Gérard Collard, de "La griffe noire" à St Maur.
© Grasset, Lattès, Le Passage, Albin Michel


Les années fastes de Chan Koonchung chez Grasset
Un personnage un peu loufoque part à la recherche du mois de février qui a disparu. Une critique sur la société chinoise, construite et très franche.
Résumé : Pékin, 2013. La Chine vit son heure de gloire, alors que le monde n’a pas réussi à se relever de la crise économique. Fort et prospère, le pays semble flotter dans un équilibre harmonieux, les gens se sentent libres, capables de réaliser leurs rêves, si tant est qu’ils ne franchissent pas certains interdits.
L’écrivain Lao Chen, habitant satisfait dans la torpeur de Pékin, a grandi entre Taïwan et Hong-Kong. Un jour, il rencontre quelques amis de longue date, qui lui font entrevoir une tout autre réalité : Fang Caodi lui répète, inquiet, qu’un mois entier a disparu, Xiao Xi, anxieuse, change sans cesse d’adresse élec-tronique, convaincue d’être surveillée par les autorités. Et la population entière semble frappée d’amnésie collective…
Lao Chen va bientôt être emporté malgré lui par la vague des quelques contestataires, et peu à peu, il va découvrir, derrière le masque de perfection, le vrai visage de la Chine: une face cachée derrière des illusions aveuglantes…


Le passé continu de Neel Mukherjee chez Lattès. 

Un roman qui explose l'image de l'Inde exotique où la femme est très méritante.
Résumé : Ritwik Gosh, 22 ans, ayant quitté sa ville natale de Calcutta après la mort de sa mère, décide de s’établir en Angleterre dans les années 1990 avec l’espoir de repartir à zéro. Mais pour cela, Ritwik doit commencer par donner un sens à son passé, et surtout exorciser les relations dévorantes qu’il a entretenues avec sa mère, et qui lui ont laissé tant de cicatrices…
Ritwik va tenter sa chance à Oxford, puis à Londres, mais peu à peu son existence se délite dans les bas-fonds incertains de la ville, là où survivent les immigrants illégaux. Pour conjurer sa solitude, il s’évade dans l’écriture, et imagine la vie d’une Anglaise établie au Bengale, Miss Gilby, qui enseigne l’anglais, la musique et les bonnes manières occidentales à l’épouse d’un notable bengali, juste avant la partition de l’Inde. Ritwik est logé chez une vieille dame de 86 ans, Anne Cameron, fragile et blessée, qui lui offre l’hospitalité en échange de soins dont elle a besoin. Une nuit, dans les environs peu sûrs de King’s Cross, Ritwik fait la rencontre du mystérieux Zafar bin Hashm, incroyablement riche, possible marchand d’armes. Ritwik pourra-t-il enfin trouver la rédemption à laquelle il aspire tant ?
Ce roman puissant, plein de compassion, écrit avec une implacable honnêteté, explore avec talent les liens qu’entretient le héros avec le réel et l’imaginaire.



Pour tout l'or du Brésil de Jean-Paul Delfino aux éditions Le Passage.

Une fresque historique sur le Brésil et ce qui a poussé les européens vers ce pays.
Novembre 1755, Lisbonne. Un tremblement de terre historique ravage la capitale du Portugal. Pour la reconstruire, le Marquis de Pombal fait appel à Dom Cristiano da Fonseca, jeune fils d’un commerçant lisboète. Au même instant, Zumbi, fils d’esclave, quitte Rio de Janeiro pour faire fortune dans la quête de l’or et des diamants à Ouro Preto, au Brésil.
Au fil de leurs aventures, les deux hommes verront leurs destinées se croiser et se déchirer, sur fond de soif de l’or, d’essor du Brésil, du bannissement du Marquis de Pombal, d’aspiration à l’indépendance du Minas Gerais, des conspirations indépendantistes, de confréries de Nègres libres.
Dans cette saga romanesque historique, Zumbi et Dom Cristiano da Fonseca tutoieront les anges et plongeront tour à tour dans les affres de la déchéance, aux côtés de personnages emblématiques du Brésil et du Portugal que sont Tiradentes, le sculpteur estropié Aleijadinho, la dynastie des Tavora, le musicien Domingos Caldas Barbosa ou encore Chica da Silva et Chico Rei.


Les règles du jeu d'Amor Towles chez Albin Michel.

Un livre de détente très bien écrit.
New York, fin des années 30, entre Grande Dépression et Seconde Guerre mondiale, une ville qui se réinvente chaque jour, celle des grandes comédies américaines où des héroïnes sophistiquées et sarcastiques se lancent à la conquête des beaux quartiers sur un air de Gershwin… Katey (née Katya), la narratrice, dactylo dans un cabinet juridique, dissimule soigneusement ses origines (parents immigrés, Brooklyn). Elle a 25 ans, une intelligence redoutable, des nerfs d’acier, un esprit mordant et de l’ambition à revendre. Un soir de réveillon en compagnie de sa colocataire Eve, elle croise l’aristocratique Tinker Grey, un jeune et séduisant banquier qui n’est pas insensible à son charme. Mais le destin en décidera autrement. Responsable de l’accident de voiture qui a défiguré Eve, Tinker installe la blessée dans son luxueux appartement de Central Park. Katey débute une brillante carrière aux éditions Condé Nast. Trente en plus tard, elle tombe sur deux portraits de Tinker dont on a perdu la trace, et se souvient de celui qui a changé son destin… "Si vous avez un jour rêvé de faire vos courses chez Bendel’s, boire des martini gins dans l’hôtel particulier d’une débutante, écouter du jazz jusqu’aux petites heures de la nuit, alors ce livre est pour vous et plus encore ! Je l’ai a-do-ré." The Observer Descendant d’une des grandes familles wasp du Mayflower, diplômé de Yale University, Amor Towles a fait une brillante carrière dans la finance. Les règles du jeu est son premier roman.




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Sobre o escritor francês Jean-Paul Delfino, o que encontrei na internet: 
Roman Pour Tout l'Or du Brésil (2011): http://claudialucia-malibrairie.blogspot.com/2011/07/jean-paul-delfino-pour-tout-lor-du.html
Roman Zumbi (2009): http://www.biblioblog.fr/post/2009/08/27/Zumbi-Jean-Paul-Delfino
Roman Samba Triste (2007): http://sylire.over-blog.com/article-7340547.html
Entrevista em 2006: http://www.evene.fr/livres/actualite/interview-jean-paul-delfino-trilogie-bresil-ombre-condor-421.php 
Roman Corcovado (2005): http://www.editions-metailie.com/fiche_livre.php?id_livre=818
Chez Googlehttp://www.google.fr/webhp?sourceid=chrome-instant&ix=seb&ie=UTF-8&ion=1#hl=fr&output=search&sclient=psy-ab&q=Jean-Paul%20Delfino&oq=&aq=&aqi=&aql=&gs_sm=&gs_upl=&gs_l=&pbx=1&fp=c67f37619ad58dca&ix=seb&ion=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.,cf.osb&biw=1335&bih=783
Chez Fnac (todos os livros): http://recherche.fnac.com/ia279684/Jean-Paul-Delfino
Wikipedia

Jean-Paul Delfino

Jean-Paul Delfino, né le 1er août 1964 à Aix-en-Provence, est un romancier français.

Bibliographie[modifier]

Littérature
  • L’Ile aux Femmes
(Métailié Noir – 1999)
  • Tu touches pas à Marseille
(Métailié Noir – 2000 – Prix du Polar de Saint Quentin en Yvelines)
  • La Faction
(Atout Éditions – 2000)
  • De l'eau dans le grisou
(Métailié Noir - janvier 2001)
  • Chair de Lune
(Métailié Grand Format - 12 septembre 2001 – Prix des libraires de Vienne - Prix des libraires de Tarbes Métailié Poche – mars 2008)
  • Embrouilles au Vélodrome
(Métailié Noir - 2002)
  • Droit aux brutes
(ADCAN-Vivendi Diffusion – 2002)
  • Corcovado
(Métailié Hors collection – avril 2005 Point Grands romans poche – avril 2006 Record Editora Brasil – juillet 2005 – Legua Editora – mars 2008) (Prix Amerigo Vespucci de Strasbourg – Prix Gabrielle d'Estrées de Chambray-lès-Tours)
  • Dans l’ombre du Condor
(Métailié Hors collection – avril 2006 Record Editora Brasil – juillet 2006)
  • Samba triste
(Métailié Hors collection – mai 2007 Record Editora Brasil – juillet 2008)
  • Zumbi
(Buchet-Chastel - mai 2009 - Premier Prix du Festival de littérature de Cluses)
  • Pour tout l'or du Brésil
(Le Passage - mai 2011)
Collectif
  • Bleu, blanc, sang
(Fleuve Noir pour la France – Gialli Mondadori pour l’Italie – 2002)
  • La fiesta dessoude
(L’écailler du Sud – 2001)
  • Meurtres sur un plateau
(L’écailler du Sud – 2003)
  • Le tacle et la plume
(L’écailler du Sud – 2003)
  • Saudade
(avec Cédric Fabre et Gilles Del Pappas) (CLC – avril 2005)
  • Va y avoir du sport !
(Gallimard Jeunesse – 2006)
Documents
  • Brasil Bossa Nova
(Edisud - 1988 - Grand Prix du Label France Brésil – Préface de Georges Moustaki)
  • Brasil : a musica
1ère anthologie de la musique populaire brésilienne en Europe (Parenthèses – 1998)
Jeunesse
  • Plus fort que les montagnes
(Éditions L'Envol - novembre 2001)
  • Gaïa, le peuple des Horucks, et tout ce qu’il advint…
(Éditions L'Envol – juin 2002)
  • L’incroyable histoire de Momo-le-Mérou
(Éditions L’Envol – mai 2003)
  • Mais où est passée Princesse Lulu ?
(CLC Éditions – 2004)
  • Balduino, fils du Brésil
(Éditions Pif Gadget – 2006)
Pièces radiophoniques
  • Le Triangle d'or
(Radio France - 2001)
  • Enfants, les nouveaux esclaves du football
(Radio France - 2001)
  • La mort après la vie
(Radio France - 2001)
  • Des cadavres en cascade
(Radio France - 2002)
  • De si gentils petits chats…
(Radio France - 2002)
  • Le Fossoyeur des espérances
(Radio France - 2003)
  • Bon appêtit !
(Radio France - 2003)
  • Un dernier, pour la route…
(Radio France – 2004)

Distinctions[modifier]

  • Grand Prix du Label France-Brésil (1988)
  • Prix du Polar de Saint Quentin en Yvelines (2000)
  • Prix des libraires de Vienne (2001)
  • Prix des libraires de Tarbes (2002)
  • Obtention d’une bourse d’encouragement à l’écriture du Centre National des Lettres (2002)
  • Lauréat de la Bourse Stendhal du Ministère des Affaires Etrangères (2002)
  • Prix International Amerigo Vespucci de Strasbourg (2005)
  • Prix Gabrielle D’Estrée de Tours (2005)
  • Représentant pour la France des journées de la francophonie aux consulats
de Rio de Janeiro et de Belo Horizonte (2006)
  • Invité lors de l’année de la France au Brésil, pour la Biennale du Livre de Rio de Janeiro
(10/20 septembre 2009)

Lien externe[modifier]

Interview de Jean-Paul Delfino pour la revue InterCDI : http://www.intercdi-cedis.org/spip/intercdiarticle.php3?id_article=1651