Temas de relações internacionais, de política externa e de diplomacia brasileira, com ênfase em políticas econômicas, em viagens, livros e cultura em geral. Um quilombo de resistência intelectual em defesa da racionalidade, da inteligência e das liberdades democráticas.
O que é este blog?
Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida.
quarta-feira, 6 de fevereiro de 2013
ONDE ESTA' JANER CRISTALDO? (desculpem a caixa alta, mas e' necessario)
Nós, seus leitores habituais, reclamamos notícias e sobretudo uma nota tranquilizadora, para saber que ele está bem, alive and kicking, produzindo textos, com sua verve mordaz, seu pensamento atilado, sua mente penetrante, sua linguagem irônica, levemente arrogante e profundamente verdadeira.
O último post em que ele dava notícia de si mesmo, foi este:
E agora José? Onde estás, que não respondes? Tropeçaste numa pedra? Comeste algo indigesto? Brigaste com algum companheiro da igreja (qualquer igreja)? Discutiste com algum companheiro estrito senso? E lato senso?
Exigimos sua volta, no bom sentido claro, não para trabalhar para nós, mas para nos deixar tranquilos quanto à sua saúde...
Vou criar o movimento de busca a Janer Cristaldo: vizinhos, amigos, conhecidos, ex-amantes, leitores, saí em busca do nosso heroi iconoclasta.
Não poderemos sobreviver muito tempo sem seus petardos eletrônicos, mais certeiros que um míssil Patriot, mais pesados que um SS-20 soviético, mais elegantes do que qualquer texto da Académie Française, mais abrangentes do que uma bomba de fragmentação, mais inesperados do que a ética em certos políticos, enfim, mais várias outras coisas que costuma estar em seus textos...
Paulo Roberto de Almeida
domingo, 29 de abril de 2012
Bolivarianismo echado a la mar... sin esperanza...
Paulo Roberto de Almeida
Venezuela: Chavez enfermedad
La agonía de Hugo ChávezMadrid, 28 abril 2012
Por CARLOS ALBERTO MONTANER
sábado, 18 de junho de 2011
Civilizacao Maia: coloquio e exposicao sobre seu desaparecimento (Paris)
Sobre o assunto do colapso das civilizações, permito-me recomendar o livro de Jared Diamond, chamado Colapso, precisamente.
Paulo Roberto de Almeida
"Le Monde Magazine" : Mayas, autodestruction d'une civilisation
Stéphane Foucart
LE MONDE Week-end MAGAZINE, 17.06.11
Tikal, une des plus grandes cités mayas de la période classique, a perdu 90 % de sa population en moins de deux générations, au IXe siècle. RD Hansen/Fares
GUATEMALA, ENVOYÉ SPÉCIAL - Des pyramides gigantesques perdues dans la forêt pluviale ; des temples oubliés envahis par la végétation ; d'imposants blocs de calcaire renversés par les racines d'arbres centenaires. Les images d'Epinal de cités majestueuses reprises par la jungle et la nature sauvage en ont fait l'une des plus captivantes énigmes archéologiques. Pourquoi, vers 850 de notre ère, la civilisation maya classique a-t-elle sombré ? A quelle catastrophe ou quel enchaînement d'événements peut bien tenir ce qui nous semble la fin d'un monde ? En quelques décennies, les dynasties s'éteignent, des centaines de cités-Etats se vident de leur population, des régions habitées pendant un millénaire voient leurs habitants partir pour ne plus revenir. Le pourquoi et le comment de cet effondrement seront au cœur d'un colloque international organisé au Musée du quai Branly les 1er et 2 juillet, dans la foulée de l'exposition "Mayas, de l'aube au crépuscule".
Il faudra cependant plus d'un colloque pour trancher ces questions. Elles hantent les chercheurs depuis presque un siècle, sans qu'aucun consensus ne se dégage. Bien sûr, certaines théories n'ont plus guère de partisans : épidémies fulgurantes, "invasions barbares", tremblements de terre en série… Toutes les causes simples et exogènes sont désormais écartées de manière quasi certaine. Reste une combinaison de facteurs régulièrement invoqués : sécheresses en cascade, remise en cause du statut des rois, récurrence de conflits meurtriers entre les principales cités-Etats qui se partagent, via de complexes systèmes d'allégeance, la grande région centrée sur l'actuel Guatemala.
Chaque cité semble avoir vécu une agonie particulière. Ici, la guerre a été prépondérante. Là, une forte baisse des rendements agricoles a peut-être primé. Ailleurs encore, le détournement de voies commerciales a pu avoir son importance… "Mais le problème, à se dire qu'un grand nombre de facteurs régionaux ont ainsi été impliqués, c'est que nous avons quand même bien affaire à un effondrement généralisé, rappelle Dominique Michelet (CNRS, université Paris-I), qui a dirigé pendant une décennie les fouilles de Rio Bec, au Mexique. Toutes les cités-Etats des basses terres s'effondrent dans un laps de temps assez court. Il faut tenir compte du caractère global de ce phénomène." Manquerait donc au moins une pièce au puzzle.
Pour Richard Hansen (université de l'Idaho), "un effondrement est toujours causé par plusieurs facteurs". "Mais la particularité d'un tel effondrement est que la population, une fois qu'elle a quitté les centres urbains, n'y revient pas, ajoute l'archéologue américain. Cette absence de toute réinstallation ne peut être le fait que d'une dégradation de l'environnement : les gens ne reviennent pas simplement parce qu'ils ne le peuvent pas. Aujourd'hui, si personne ne retourne vivre à Tchernobyl, c'est parce que l'environnement ne le permet pas."
Ler a íntegra da matéria neste link de meu blog de textos, ou no site do próprio jornal.