Abaixo o último boletim científico de uma entidade formada por lunáticos climáticos, antiglobalizadores vieux style, surrealistas econômicos e outros malucos do pensamento científico, que pretende ter um boletim do seu conselho científico (sic), atacando, de acordo com o seu nome oficial, a atual organização econômica da exploração dos recursos naturais, que eles pretendem substituir por uma fantasmagórica "justiça climática" (seja lá o que isso queira dizer).
Em todo caso, vou comentar, em próxima oportunidade, suas posições absolutamente malthusianas sobre os problemas do meio ambiente, assim que me liberar de outros encargos urgenges.
Aqueles que desejam ler os trabalhos da Attac, podem clicar aqui.
Attac - La lettre du Conseil Scientifique
La Lettre du Conseil scientifique d’Attac - numéro spécial Copenhague
Procédure d’urgence pour la planète en danger
Geneviève Azam (Attac), Annick Coupé (Solidaires), Laurent Hutinet (Amis de la Terre), Gus Massiah (CRID), Pierre Tartakowsky (LDH), Sophie Zafari (FSU), ont publié, dans le Hors-série d’octobre-novembre de Politis intitulé "Le chaos climatique", un analyse intitulée "Procédure d’urgence pour la planète en danger". On pourra la lire ici.
Voir l'intégralité de l'édito
Copenhague
> Pour une justice écologique, libérons le climat des marchés financiers
Attac a fait de l’urgence climatique et de la justice climatique une de ses priorités de campagne et d’éducation populaire. Elle a publié une brochure au contenu duquel on peut accéder ici http://www.france.attac.org/spip.ph...
Cette brochure s’inscrit dans la continuité des travaux de l’association et de ses combats et s’attache à montrer et expliciter les enjeux du financement du changement climatique, enjeux écologiques, économiques, sociaux et politiques. C’est une démarche essentielle pour s’approprier des débats qui ne peuvent être laissés seulement à des experts et pour pouvoir conjuguer écologie et solidarité, écologie et justice, écologie et démocratie. Il serait suicidaire d’oublier que la question climatique, devenue une des priorités planétaires incontestables, est d’abord et avant tout le fruit d’alertes et de travaux remarquables de la communauté scientifique académique au premier chef, mais aussi de travaux permanents de contre-expertises indépendantes et citoyennes contrebalançant les discours des gouvernements et des transnationales de tous les secteurs peu enclins à remettre à plat nos modèles de développement.
> Our world is not for sale (OWINFS)
L’ONG, "Our world is not for sale" (OWINFS) http://www.ourworldisnotforsale.org/fr se présente de la manière suivante "Notre monde n’est pas à vendre (OWINFS) est un réseau mondial d’organismes, de militants et de mouvements sociaux qui s’opposent aux ententes commerciales et aux accords d’investissement qui favorisent les intérêts des sociétés les plus puissantes du monde au détriment des personnes et de l’environnement". A l’occasion de Copenhague, OWINFS publie sur son site plusieurs textes ; on pourra lire, en particulier :
"Changez le commerce, pas notre climat !" http://www.ourworldisnotforsale.org...
"La grande rupture" http://www.ourworldisnotforsale.org...
> Les propositions de la FASE
L’importante ONG brésilienne FASE, née au tout début des années 1960 http://www.fase.org.br/v2/ qui, avec 160 autres organisations, participe au mouvement "Climate justice now" http://climatjustice.org/ En octobre 2009, FASE a défini sa position en huit points stratégiques (libre traduction de Jacques Cossart)
> Scandale : le soja GM détruit l’Amérique du Sud et cherche à encaisser des "Crédits Carbone" !
Les Amis de la Terre ont publié en octobre 2009, dans un dossier particulièrement riche intitulé "Scandale : le soja GM détruit l’Amérique du Sud et cherche à encaisser des "Crédits Carbone" !". Le sous-titre est, lui aussi éclairant "Quel rôle jouent certaines ONG ?" Ce dossier édité en Anglais a été traduit, en Français, par Christian Berdot http://www.amisdelaterre.org/Scanda... Christian Berdot présente ainsi l’ensemble : "Depuis des années, les lobbies de l’agrobusiness s’activent dans les coulisses des négociations sur le climat ! Alors que la quinzième Conférence des Parties (COP 15) sur les Climats, organisée par les Nations Unies à Copenhague, approche, un nouvel accord doit être signé pour la période post-2012. Il est de plus en plus évident que l’agrobusiness essaye de tirer profit de l’énorme marché des crédits carbone. Sous le terme d’ « agriculture de conservation », Monsanto et ses autres alliés des biotechnologies ont infiltré la FAO (l’Organisation pour l’Agriculture et l’Alimentation) et la Convention Cadre sur les Changements Climatiques des Nations Unies (UNFCCC) dans le but d’obtenir des crédits carbone pour l’agrobusiness. La certification volontaire pour le soja Roundup Ready « responsable » sponsorisé par le WWF et une nouvelle méthodologie pour les Mécanismes de Développement Propre sont deux étapes importantes pour accéder à ce marché de trois milliards de dollars"
> 7 pistes pour attraper le carbone
Terraeco, qui se définit comme "le média du développement durable", énumère "7 pistes pour attraper le carbone" http://www.planete-terra.fr/spip.ph...
> Des escrocs investissent le marché du carbone
Un article publié dans Le Monde du 27 août 2009 intitulé "Des escrocs investissent le marché du carbone". Les auteurs y décrivent parfaitement comment s’est organisée la fraude à la TVA sur ce marché. Faut-il rappeler qu’il n’y a rien là d’anormal dans une organisation de l’économie qui nous est imposée, mais au contraire le constat d’une "parfaite" conjonction : livrer le carbone aux marchés en faisant semblant de croire qu’ils font réduire ses émissions, et tolérer une concurrence fiscale.
> Rapport banque mondiale 2010
Le "World development report", que la Banque mondiale a publié officiellement à l’occasion de l’assemblée annuelle qui s’est tenue, cette fois, à Istanbul début octobre, est consacré au climat et à la manière de le sauver.
Sans surprise, et malgré une description sans concession des désastres constatés, la Banque réaffirme sa foi dans les marchés. Une présentation/analyse du rapport.
> L’Europe face au changement climatique
Pour une régulation commerciale climat-compatible
Le gouvernement français a émis en novembre 2006 l’idée d’introduire une taxe carbone sur les importations en provenance des pays refusant de s’engager en faveur du protocole de Kyoto. Cette initiative française se fondait sur le fait que la non-application de ce protocole en dehors de l’Europe donnerait lieu à un désavantage compétitif dont souffriraient les exportations de cette région. Cela d’autant plus que le Conseil européen des 8 et 9 mars 2007 avait engagé l’Europe sur un objectif unilatéral de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de 20 % en 2020, objectif qui serait porté à 30 % dans le cadre d’un accord international post-Kyoto. Le Conseil européen des 11 et 12 décembre 2008 a confirmé cet objectif tout en introduisant un système de dérogations entre les membres.
Mehdi Abbas, LEPII, Grenoble Université, CNRS.
Décembre 2008
> Une taxe carbone en trompe-l’œil
Après la disgrâce, l’engouement pour l’impôt ? Le gouvernement français a annoncé l’étude d’une taxe nationale carbone et a réuni pour cela un groupe d’experts. Qu’en est-il de cette proposition ? Au moment où ces lignes sont écrites, le rapport des experts n’est pas encore public mais plusieurs textes préparatoires, notamment le Livre blanc sur la contribution climat-énergie (taxe carbone) (http://www.contributionclimatenergie.fr/), en donnent les balises.
Geneviève Azam, Conseil scientifique d’Attac
> Le climat dans la tourmente des marchés
La négociation climatique en vue de Copenhague patine, voire recule. A moins de se ranger à une écologie qui serait affaire d’experts (et d’intérêts économiques), il est essentiel de saisir ce qui est en jeu, pour que les changements écologiques imposés par la nécessité et la contrainte, puissent devenir les supports d’un changement souhaitable, guidé par des choix collectifs de justice et de solidarité.
Geneviève Azam, Conseil scientifique d’Attac
> Climat, le marché ou les citoyens ?
Tribune "Climat, le marché ou les citoyens ?", Jacques Cossart, Hors Série Politis, Octobre-Novembre 2009.
La quinzième conférence des parties, COP 15, qui se tiendra à Copenhague en décembre 2009 mobilise la planète entière, tant les services et agences publiques que les ONG et le secteur privé. Cette mobilisation considérable est, en soi, un vrai succès pour la régulation publique en matière climatique et la Conférence sur le changement climatique des Nations Unies.
Jacques Cossart, Conseil scientifique d’Attac
> Écologie et solidarité internationale
Gustave Massiah, économiste membre du Conseil scientifique d’Attac-France, dans un article intitulé "Ecologie et solidarité internationale", dresse une fresque des combats anciens et nouveaux dans le monde qui vient. Il y dessine, en particulier, la place de l’écologie qui impose de nouvelles exigences aux mouvements écologistes. L’ambition de ce document et d’alimenter le débat indispensable à la culture des droits qui y est évoquée.
Gustave Massiah, Conseil scientifique d’Attac
Pour en savoir plus (rapports et données "officiels")
> Adaptation des pays du Sud au changement climatique
Dans une étude publiée le 30 septembre 2009, la Banque mondiale estime de 75 à 100 milliards de dollars par an le coût de l’adaptation des pays du Sud au changement climatique. La Banque estime que ce coût est insupportable pour les pays pauvres mais peut parfaitement être financé par les pays riches. A cet égard, rappelons que les calculs du Conseil scientifique d’Attac-France estime à 1 500 milliards de dollars annuels le produit des taxes globales...
> Incompatibilité entre diminution des émissions de GES et mécanismes de marché
Attac-France, et beaucoup de mouvements altermondialistes ou syndicaux, ont déjà démontré à plusieurs reprises, la parfaite incompatibilité entre diminution des émissions de GES et mécanismes de marché. En revanche, il est plus rare d’entendre des critiques venant de ceux-là même qui vivent de ce marché ! Quand cette critique vient du saint des saints capitaliste, elle mérite attention. Cette fois c’est le responsable mondial du département "management des actifs", de la Deutsche Bank, l’une des premières banques dans le monde, qui demande, sans beaucoup de retenue, une puissante intervention publique !
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