Temas de relações internacionais, de política externa e de diplomacia brasileira, com ênfase em políticas econômicas, em viagens, livros e cultura em geral. Um quilombo de resistência intelectual em defesa da racionalidade, da inteligência e das liberdades democráticas.
O que é este blog?
Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida;
Meu Twitter: https://twitter.com/PauloAlmeida53
Facebook: https://www.facebook.com/paulobooks
quinta-feira, 22 de novembro de 2012
Bretton Woods: present at the creation (transcripts found)
quarta-feira, 21 de novembro de 2012
Louis Pasteur: savant humaniste (190 ans de la naissance)
|
Enquanto isso, na América Latina... paises se fecham...
Cúpula asiática vai impulsionar criação de gigantesco bloco comercial
Classificacao de risco: Argentina em nivel de... lixo
Argentina: Moody’s advierte de impacto de fallo en EEUU sobre el pago de deuda
Nueva York, 19 de noviembre de 2012
- Moody's, que otorga al país latinoamericano una nota de B3, en la categoría de bono basura, añade que por ahora esta decisión judicial no repercutirá sobre la calificación de su deuda, puesto que cualquier modificación dependerá "de los detalles de la decisión final, su ejecución y la respuesta de Argentina".
“Desde el punto de vista de la calificación, la cuestión clave es si el fallo provocará pérdidas a los tenedores de bonos reestructurados”, aseguró la agencia de medición de riesgo en un informe, titulado “Dictámen legal plantea interrogantes sobre los pagos de deuda de Argentina”.
Moody’s, que otorga al país latinoamericano una nota de B3, en la categoría de bono basura, añade que por ahora esta decisión judicial no repercutirá sobre la calificación de su deuda, puesto que cualquier modificación dependerá “de los detalles de la decisión final, su ejecución y la respuesta de Argentina”.
El pasado 26 de octubre, el Tribunal de Apelaciones del Segundo Circuito de Nueva York ratificó la decisión del juez federal Thomas Griesa, quien decidió en febrero que Argentina debía pagar también a los acreedores que se negaron a participar en las reestructuraciones de deuda y no solamente a aquellos que sí accedieron al trueque.
Además, ese tribunal determinó que Argentina no podía realizar ningún pago a los acreedores que aceptaron los canjes mientras siga negándose a pagar a quienes rechazaron el acuerdo, entre los que se encuentra el fondo NML, involucrado en la retención en Ghana de la fragata “Libertad” de la Armada argentina.
La corte de apelaciones ha devuelto el caso al juez Griesa para que clarifique cuánto y cómo deberá pagar Argentina, así como cuál será el impacto de este fallo sobre las terceras partes implicadas en este proceso, como Bank of New York Mellon, encargado de transferir los pagos del Gobierno a los tenedores de deuda.
Por su parte, el país latinoamericano ha reiterado que no pagará a quienes no aceptaron las reestructuraciones pese a este fallo y argumentó en un escrito la semana pasada que las cortes de EE.UU. no tienen jurisdicción para interferir en los pagos de su deuda realizados fuera del territorio estadounidense.
“El escenario base de Moody’s es que Argentina intentará seguir pagando la deuda reestructurada sin cambios en el tipo de cambio, interés o vencimiento, sin ocasionar así pérdidas a los inversores, pero este acercamiento puede chocar con el objetivo del Gobierno de negar pagos a quienes no aceptaron los canjes”, añadió la calificadora.
Classificacao de risco: a publica e a privada (em nada diferentes)
Que surpresa! Uma agência pública, portanto isenta dos vieses de mercado, acaba de dar à França a mesma nota que lhe deu a Moody's, esta acusada imediatamente de viés negativo contra o país dos queijos e das greves.
Paulo Roberto de Almeida
Hasard du calendrier, douze heures après l'annonce de la dégradation de la France par l'agence Moody's, la fondation Bertelsmann présentait, à Berlin, mardi 20 novembre, "sa" notation de la France. Cette fondation privée, considérée comme la plus influente du pays, avait dévoilé son projet en avril en marge de l'Assemblée générale du Fonds monétaire international à New York.
Pour répondre aux critiques visant les agences de notation – un oligopole dont les membres ne sont pas indépendants et se contentent de données macro-économiques — Bertelsmann souhaite créer une fondation indépendante dont les indicateurs seraient à la fois macroéconomiques mais aussi prospectifs. Pour ce faire, Bertelsmann estime avoir besoin d'un capital de départ d'environ 310 millions d'euros (400 millions de dollars) qu'elle aimerait recueillir auprès des membres du G20 et des grandes institutions internationales.A quoi ressembleraient ces notations ? La fondation a présenté mardi cinq pays-pilotes : l'Allemagne, le Brésil, la France, l'Italie et le Japon. Chacun a été jugé selon treize critères (eux-mêmes résultant de l'agrégat de sous-critères) : cinq critères macro-économiques et huit prospectifs.
Les fondamentaux économiques, la politique budgétaire, la politique monétaire, le risque financier, la dépendance vis-à-vis de l'étranger constituent les cinq critères classiques. Les critères prospectifs sont le respect de la loi par le gouvernement et l'administration, la transparence et la prévention de la corruption, la cohésion sociale, la qualité du système d'enseignement, la capacité du gouvernement à définir des priorités stratégiques, la mise en place des réformes annoncées, la flexibilité du gouvernement et sa capacité à innover, la capacité des gouvernements à gérer des crises.
Les critères macro-économiques représentent 40 % de la note finale dans les pays développés et 50 % chez les émergents. Les pays sont notés de 1 à 10. Ceux obtenant plus de 8 bénéficient d'un AAA, ceux ayant entre 7,70 et 7,99 d'un AA+, ceux entre 7,30 et 7,69 d'un AA, etc. La France, avec une note de 7,9 (8,2 pour la macro-économie et 7,7 pour les critères qualitatifs) obtient un solide AA+.
"PAS TROP PESSIMISTE" SUR LA FRANCE
L'Allemagne, avec son 8,1 (8,8 pour le quantitatif et 7,6 pour le qualitatif) jouit d'un AAA mais avec "perspective négative". Par ailleurs, l'Italie obtient 7,2 (AA-), le Brésil 6,8 (A+) et le Japon 6,0 (A-). "Ces notes sont des opinions qui peuvent et devraient être discutées. (...) La seule et unique question à laquelle elles répondent est : quelle est la capacité et la volonté de l'Etat à rembourser ses dettes ?" expliquent les dirigeants de la fondation.
L'expert qui a travaillé en août et en septembre sur la France est Henrik Uterwedde, un économiste allemand parfaitement francophone travaillant à l'institut franco-allemand de Ludwigsburg. Celui-ci a travaillé seul – ce qu'il déplore — mais ses appréciations ont été discutées par les permanents de la fondation Bertelsmann qui le jugeaient "un peu sévère" par rapport à ses collègues chargés de noter d'autres pays puis soumis à l'avis d'une demi-douzaine d'experts connaissant bien la France.
"Ma note est totalement dans le ton de la conférence de presse de François Hollande. Je trouve que Moody's arrive trop tard. Le gouvernement français a établi le même constat. Je ne suis pas trop pessimiste car la France a montré, notamment en 1983, qu'elle est capable de changer de cap si le pouvoir exécutif le décide", explique M. Uterwedde qui porte sur la France un avis moins sévère que nombre de ses compatriotes.
Newcomer to Ratings Game Gives France a Dim View
By JACK EWING and DAVID JOLLY
The New York Times, November 20, 2012
-
Moody’s Lowers France’s Sovereign Debt Rating (November 20, 2012)
A version of this article appeared in print on November 21, 2012, in The International Herald Tribune
O ceu carrtelizado (nos EUA); no Brasil, oligopolizado...
Paulo Roberto de Almeida
Op-Ed Contributor
A Free Market in the Sky
By CLIFFORD WINSTON
The New York Times, November 20, 2012
A version of this op-ed appeared in print on November 21, 2012, on page A27 of the New York edition with the headline: A Free Market in the Sky.
terça-feira, 20 de novembro de 2012
Livro PRIVATIZE JA': Hoje (20/11) e todos os demais dias do ano...
TUDO O QUE VOCÊ SEMPRE QUIS SABER SOBRE AS PRIVATIZAÇÕES E NUNCA TEVE A QUEM PERGUNTAR...
Paulo Roberto de Almeida
ASEAN e EUA: uma relacao mutuamente benefica; e o Mercosul?
Paulo Roberto de Almeida
Franca perde o AAA: Moody's rebaixa o pais
Moody's dégrade la note de la France de Aaa à Aa1
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour leL'agence de notation Moody's a abaissé lundi 19 novembre la note de crédit de la France de Aaa à Aa1, estimant que les perspectives de croissance économique à long terme du pays étaient notamment affectées par une perte de compétitivité graduelle et continue, et par des rigidités à long terme de ses marchés du travail, des biens et des services.
L'agence a ajouté que cette nouvelle note était assortie d'une perspective négative. Moody's a toutefois souligné que l'ampleur limitée du déclassement de la France reflétait le programme de réformes suivi par le gouvernement ainsi que les perspectives de croissance à long terme.Dans un entretien à Reuters, le ministre des finances, Pierre Moscovici, a dit prendre acte de la décision de Moody's, tout en déclarant que la dette française demeurait parmi les plus liquides et les plus sûres de la zone euro.
"L'agence nous crédite d'une forte maîtrise des finances publiques et de la décision de notre pacte de compétitivité mais s'inquiète de la croissance de la zone euro et de l'insuffisance de réformes structurelles, a estimé Pierre Moscovici. C'est une sanction pour l'absence de réformes passée et pour la gestion de ceux qui nous ont précédés, c'est aussi un encouragement à mettre en œuvre rapidement et fortement les réformes que nous avons décidées et qui vont dans la bonne direction : sérieux budgétaire, stabilisation de la zone euro, pacte de compétitivité."
Le 13 janvier, en pleine campagne présidentielle, l'agence Standard & Poor's avait, la première, abaissé d'un cran la note de la France en réaction à l'aggravation des problèmes politiques, financiers et monétaires de la zone euro. Fitch Ratings, troisième des grandes agences de notation internationales, prévoit de se prononcer courant 2013.
"Moody's nous donne maintenant la même note que Standard & Poor's qui nous a permis de vivre avec des taux d'intérêt bas depuis déjà de très longs mois et la note reste la plus élevée après 'le triple A'", a remarqué M. Moscovici. Prié de dire si le gouvernement maintenait l'objectif de réduire le déficit public à 3 % du PIB fin 2013 après 4,5 % attendu fin 2012, il a répondu : "Absolument, le sérieux budgétaire est un gage de crédibilité auquel nous nous sommes engagés et le pacte de compétitivité devra être mis en œuvre rapidement et fortement."
UN "PETIT AVERTISSEMENT"
Même son de cloche outre-Rhin, où le ministre des finances allemand Wolfgang Schaüble, plutôt connu pour la sévérité de ses jugements, a estimé mardi que "la note de la France est encore très stable", et a appelé à éviter toute dramatisation.
"Notre principal partenaire a reçu un petit avertissement d'une agence de notation (...). On doit aussi éviter toute dramatisation", a-t-il affirmé au Bundestag, lors d'une allocution sur le budget allemand pour 2013. "Nous avons tous intérêt à ce que nous soyons, chacun en Europe, à la hauteur de nos devoirs et nos responsabilités", a ajouté le ministre.
===========
France shrugs off loss of top triple-A credit rating
Moody's blamed stalled economic growth, the risk of a Greek euro exit and the risk that France has to contribute to bailing out other eurozone countries.
"Judge us on our results," French Finance Minister Pierre Moscovici said.
Rival ratings agency Standard & Poor's downgraded France from AAA in January. Of the big three agencies, only Fitch still gives France its top rating.
'Second place' "The rating in no way places a question over the fundamentals of our country's economy - neither the reforms undertaken by the government, nor the quality of the signature on our debt," said Mr Moscovici.
He pointed to the fact that Moody's had only downgraded its rating of the country's long-term debts by one notch, and still gave France's short-term debts its top rating.
Credit ratings in context
Moody's | S&P | Fitch | |
---|---|---|---|
Germany |
Aaa |
AAA |
AAA |
UK |
Aaa |
AAA |
AAA |
US |
Aaa |
AA+ |
AAA |
France |
Aa1 |
AA- |
AAA |
Japan |
Aa3 |
AA- |
A+ |
China |
Aa3 |
AA- |
A+ |
Russia |
Baa1 |
BBB |
BBB |
Italy |
Baa2 |
BBB+ |
A- |
Brazil |
Baa2 |
BBB |
BBB |
Spain |
Baa3 |
BBB- |
BBB |
India |
Baa3 |
BBB- |
BBB- |
Ireland |
Ba1 |
BBB+ |
BBB+ |
Portugal |
Ba3 |
BB |
BB+ |
Greece |
C |
CCC |
CCC |
"France still represents sound value. It is in second place just after Germany," said government spokesperson Najat Vallaud-Belkacem, speaking on French radio.
"Even today, investors lend to France in very favourable conditions. For example, we make short-term borrowings at negative rates, and that is going to continue."
Moody's said the primary reason for the downgrade had been France's "persistent structural economic challenges" and the threats they pose to economic growth and the government's coffers.
"These include the rigidities in labour and services markets, and low levels of innovation, which continue to drive France's gradual but sustained loss of competitiveness and the gradual erosion of its export-oriented industrial base," Moody's said.
Mr Moscovici said the downgrade was motivation to pursue structural reforms.
He also blamed the downgrade on the economic management of previous governments and added that France was still committed to cutting its public deficit to 3% of output next year.
Data released last week showed that France had narrowly avoided falling into recession during the third quarter of 2012, registering 0.2% economic growth from the same period a year earlier.
Over the course of the 12 months, however, the French economy has more or less stagnated.
segunda-feira, 19 de novembro de 2012
Uma corporacao fascista e um partido totalitario...
Sinto muito esse desabafo, no dia da Bandeira, mas é o que posso constatar ao ler matérias como essa transcrita abaixo. Independentemente da qualidade ou não das "informações" desse jornalista, ou das aleivosias e eventuais mentiras que ele possa estar contando, o fato é que ele reflete questões reais, já sabidas por qualquer pessoa bem informada, como são geralmente os que frequentam este blog.
Sinto vergonha pelo país, e teria preferido não ter tomado conhecimento de coisas tão degradantes do ponto de vista da cidadania, e dos valores democráticos.
Sinto, também, que vamos demorar para superar essa fase deplorável da vida pública brasileira.
Paulo Roberto de Almeida
Dilma teme surpresas com investigação de servidores da Receita sobre o patrimônio do filho de Lula
Por Jorge Serrão
Alerta Total, 19 de novembro de 2012
Exclusivo - Embora assuma o discurso globalitário do “combate à corrupção”, a Presidenta Dilma Rousseff anda hiperpreocupada com o risco de “rebeldia” entre servidores do alto escalão da Receita Federal. Dilma recebeu preocupantes informações de que alguns funcionários de carreira do órgão, à revelia do governo, promovem um acompanhamento pente fino da veloz evolução patrimonial do empresário Fábio Luis da Silva – filho do ex-presidente Luiz Inácio Lula da Silva – que a mídia chama popular e pejorativamente de “Lulinha” (apelido que Fábio nunca usa na vida pessoal).
Lula já teria pedido a Dilma para interceder no caso. Ela já avisou que nada pode fazer. O ex-presidente tentou, inclusive, contatos com a cúpula da Super Receita. Recebeu a mesma mensagem de que nada pode ser feito. Foi-lhe lembrado que o acompanhamento patrimonial dos contribuintes, dentro da lei e respeitando sigilos, é um dever funcional dos servidores concursados da Receita. Lula teme que vazem informações também eventuais sobre seu patrimônio pessoal. E como sabe muito bem que o "movimento de combate à corrupção" é uma ordem de fora para dentro do Brasil, se apavora com o risco de retaliações promovidas por inimigos ligados à oposição.
Além do medo de “surpresas desagradáveis” com servidores sérios e independentes da Super Receita, Dilma encara outra guerra institucional. A Presidenta e seus ministros são cada dia mais mal vistos pelo Fórum Nacional da Advocacia Pública Federal - integrado por sete entidades de procuradores da Fazenda, Previdência Social, do Banco Central e de procuradores lotados em autarquias e ministérios. A entidade enxerga uma intenção do governo em submeter às vontades de militantes petistas todos os setores jurídicos da área federal.
O primeiro alvo do aparelhamento petista é a Advocacia-Geral da União. Luís Inácio Adams, chefe do órgão, elaborou um projeto de lei complementar que prevê a nomeação, como advogados federais, de pessoas de fora da carreira e sem concurso. O projeto de Adams considera “infração funcional o parecer do advogado público que contrariar as ordens de seus superiores hierárquicos”. O Fórum Nacional da Advocacia Pública Federal define o plano como “um atentado ao Estado Democrático de Direito e põe em risco a existência da própria AGU".
Luis Inácio Adams é mais um do governo Dilma na corda bamba. Cotado para assumir a Casa Civil do Palácio do Planalto na próxima e urgente reforma ministerial que Dilma Rousseff promoverá no começo do ano, agora tem tudo para não emplacar no cargo. Também pode ver naufragar seu objetivo maior de ser indicado para o Supremo Tribunal Federal, tal qual seu antecessor José Dias Toffoli.
Alvos de processos pesados, como o do Mensalão e seus desdobramentos, os petistas definiram como prioridade o “aparelhamento” da máquina Judiciária. Além de indicar ministros aliados para o Supremo Tribunal Federal e para o Superior Tribunal de Justiça, o partido também quer ter um controle maior sobre a Advocacia Geral de União, para impedir que o órgão não crie problemas para os negócios feitos entre a União os empresários parceiros.
Leia também o site Fique Alerta – www.fiquealerta.net