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sexta-feira, 12 de julho de 2013

A "greve" dos pelegos, num blog do Le Monde: mais barulho do quepropostas

Au Brésil, les syndicats relancent les manifestations de rue et préparent une grève générale

La « journée nationale de lutte » lancée par les centrales syndicales, jeudi 11 juillet, s’est traduite par des grèves perlées dans les usines, les ports, les chantiers, les transports, le commerce, les banques, dans plusieurs régions du Brésil.
Les syndicalistes ont bloqué une soixantaine de routes et d'axes importants de plusieurs villes dans 23 Etats fédérés (sur 26). Malgré les tensions provoquées par les embouteillages, on ne signalait pas de violences, sauf à Rio de Janeiro.
Les syndicats ont relancé les manifestations de rue, qui s’étaient réduites depuis les vacances scolaires et universitaires de juillet. Cependant, le nombre de participants des cortèges syndicaux, dans diverses villes et banlieues industrielles, n’est en rien comparable à celui de juin. Les syndicats ont mobilisé des centaines de militants, parfois des milliers, sans pour autant parvenir à attirer les salariés.
A São Paulo
A São Paulo, ils étaient 7.000 à couper l’avenue Paulista, le cœur de la City. Beaucoup d’agences de banque étaient fermées. Le meeting devant le Musée d’art de São Paulo (MASP) a duré plus de trois heures, dans une ambiance festive, où les tambours, les sifflets et les vuvuzelas couvraient la voix des orateurs qui se succédaient dans l’indifférence générale.
Les banderoles et les globes identifiaient les trois principales organisations : la Centrale unique des travailleurs (CUT), proche du Parti des travailleurs (PT), la formation présidentielle, la Force syndicale et l’Union générale des travailleurs (UGT).
Etaient présentes aussi la CSP/Conlutas, liée à l’extrême gauche, la Nouvelle centrale syndicale des travailleurs (NCST), la Centrale des travailleurs et travailleuses du Brésil (CTB), la Centrale des syndicats brésiliens (CSB), la Centrale générale des travailleurs du Brésil (CGTB).
Malgré cette fragmentation du mouvement syndical et des divergences d’orientation, l’unité a prévalu, sans la moindre confrontation entre les participants. Quelques organisations de gauche et d’extrême gauche étaient présentes et distribuaient leur presse ou leurs tracts. Une délégation du Mouvement de paysans sans terre (MST) est arrivée devant le MASP au même moment qu’un groupe féministe. Il y avait aussi des jeunes qui demandaient la démission du ministre de la justice José Eduardo Cardozo (PT), à cause de la répression des manifestations de juin. Le syndicat des impôts portait des pancartes qui disaient :« Les maux du Brésil sont la corruption et l’évasion fiscale ».
La CUT et la Force syndicale avaient passé un accord pour ne pas défendre ou attaquer la présidente Dilma Rousseff, dont la personnalité les divise. Le mot d’ordre « Dilma dehors » a donc été évité, mais celui de « Dilma, réveille-toi » était inscrit sur des tee-shirts de la Force syndicale.
Répétition générale
Les orateurs n’ont pas ménagé le gouvernement. Paulinho, le président de la Force syndicale, a demandé la démission du ministre de l’économie, Guido Mantega : « Le gouvernement a abandonné et tourné le dos aux travailleurs. Il n’est pas possible de vivre avec l’inflation et le chômage qui commence à frapper les ouvriers de l’industrie. Il n’est pas possible de vivre avec une politique aussi récessive ».
Si le gouvernement ne rectifie pas, la Force syndicale appellera les autres centrales à organiser une grève générale au mois d’août. La Conlutas et la NCST sont sur la même position. « Si Dilma ne cède pas, ça va barder » (« Se Dilma não ceder, o pau vai comer »), criaient des manifestants.
« Cette journée du 11 juillet a prouvé que nous pouvons paralyser le Brésil, elle constitue une répétition générale », selon Paulinho, qui a convoqué les autres centrales dès vendredi, au siège de la Force syndicale, pour en tirer le bilan et se mettre d’accord sur la suite.
La CUT, gênée par sa proximité avec le PT, privilégie la lutte contre la précarisation (« terceirização ») , qui fait l’objet d’un projet de loi discuté à Brasilia. Le président de la CUT, Vagner Freitas y a passé les derniers jours pour s’opposer à cette réglementation. Poussée néanmoins par la radicalisation en cours, la CUT menace d’occuper le Congrès pour empêcher le vote du projet de loi.
La mobilisation a eu une ampleur nationale. A Rio de Janeiro, 5.000 manifestants ont coupé l’avenue Rio Branco, au centre-ville. A Natal, ils étaient 8.000 dans les rues, 7.000 à Belo Horizonte, 12.000 à Campo Grande, 5.000 à Goiania, 2.500 à Cuiaba, 3.000 à São Luis do Maranhão, 1.000 à Teresina, 3.000 à Porto Alegre, où la grève des bus a paralysé la ville. Le transport s'est arrêté aussi à Salvador. A Brasilia, 6.000 syndicalistes ont défilé sur l’esplanade des ministères, devant le Congrès. Ainsi, sans être ni un simple baroud d’honneur, ni une mobilisation massive, ce 11 juillet aura été un coup de semonce pour le patronat et pour le gouvernement, alors que les négociations contractuelles s’engagent en août.

Visão 2050: um novo mapa politico e economico do mundo (Post-Crisis World Institute, Moscou)

Um relatório do qual eu participei, no início deste ano, e do qual ainda não tinha tido notícias. Agora tenho.
Este foi o registro de minha participação:

2469. “Vision 2050: A New Political and Economic Map of the World”, Hartford, 2 Março 2013, 3 p. Respostas e comentários a pesquisa sobre o estado do mundo em 2050, submetida pelo instituto russo Post-Crisis World (www.postcrisisworld.org).

Aqui a correspondência recebida da editora do relatório:

Vision-2050. A New Political and Economic Map of the World
International research by the Post-Crisis World Institute
(Moscow: Post-Crisis World Institute, February-May 2013)

Dear Mr. de Almeida,

Let us express sincere gratitude for your participation in the expert survey undertaken in the frameworks of international exploration in February – May 2013 and introduce for your consideration the report “Vision-2050. A New Political and Economic Map of the World”, prepared in accordance with findings of the exploration.


Participants in the survey included economists and financial analysts, owners and top managers of leading companies, journalists who cover economics and politics, academics, politicians and officials from CIS countries, Western and Eastern Europe, Asia. Middle East, Africa, Latin America, USA, Canada, Australia –integrally more than 300 experts from 63 states of all inhabited continents.
* * *
"Liquid modernity” or “modernity free from illusions” as Zygmunt Bauman, a famous sociologist of Post-Modernism, characterized our times demonstrates not only high density of events within definite period of time. Quick changes take place in all spheres of human existence. The main trends and fundamental truths of yesterday are in question today.
As usually, thinking about our planet future, world intellectual elite are seeking corridors of opportunities. Post-Modernism epoch brings in these eternal searches its picturesque aspects, maximizing scale of choice ant trying to combine opposites.
In this situation we appealed to collective expertise of global thinking participants – to intellectual elite of different states and continents with questions of what main problems will humankind face in 2050, will these problems be overwhelmed, for the expense of what resources they will be overwhelmed, what states and regions will be successful in this and what states and regions will have less chances of success.
Within the process of the report drafting it was also undertaken a desk research of published sources: UN reports, documents of the World Bank, International Economic Forum other international research institutions, academic studies, feature materials and public speaking, ratings of international rating agencies and analytical centers.
We hope that results of our researches will be interesting and helpful for you. We would be glad to receive your comments, remarks and criticism.

With sincere hope for future cooperation
Tatiana Lekhanova
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Alguns trechos nos quais o relatório cita a minha opinião: 
(p. 10) Some in the expert community believe the current state of the world is best characterised as ‘global turmoil’, which began due to the transition to a new system of social relations and the absence of a clear trajectory for future development. 
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘Of course, the current “global turmoil” has no parallel with the Great Depression of the 1930s; some countries will decline slowly (France, probably Russia too), others more rapidly (Argentina, perhaps), and others, a small bunch, will be in ascendance (China, India, Brazil, etc).’

(p. 14, sobre problemas diversos, em especial sobre o envelhecimento gradual da população mundial):
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Center of Brasilia (UniCeub): 
‘All the listed problems will eventually be present to some degree, here, there or elsewhere, at certain moments. None of them are insurmountable or capable of presenting a crucial menace for strong societies and solid states. Failed states (mainly in Africa, some in Asia, one or two in Latin America) could be severely impacted by some of these problems. They could face social and political stability, uneven economic development and continuing poverty, terrorism, corruption and so on; but none of the current big states and strong economies will perish because of any of them. However, ONE THING is certain: humankind will be older, inevitably, and that will represent a difficult economic challenge for all of them.’

(p. 23, sobre os grandes problemas geopolíticos, sociais e econômicos do mundo): 
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University
Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘There will be no MAJOR changes in the world scenario, but a progressive transformation in the economy and technology, with slight or minor changes in the fields of society and culture. As there will be no major or global conflict, the world will be in a continuous flux of new influences and forces, which are constantly drawing new responses from societies and nations. They will be based more on technological improvements than political transformation. In this field, the world will not differ much from today. Perhaps China will be more democratic, but there will still be populist and semidemocratic regimes elsewhere, mainly in Africa, the Middle East and Islamic countries.’

(p. 34, sobre a evolução do mundo, se vai ser reformista ou revolucionária:)
It will prompt a more active resolution of existing structural problems and “internal democratization” in line
with the Chinese model.’
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub)
‘There will be no revolutionary development of any kind, but some minor revolutions in technology, health sciences, agronomic sciences, electronics, new materials, nanotechnology and so on… Revolutions are for backward societies.’

(p. 39-40: sobre planejamento governamental, ou tendências de mercado:)
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘[State planning is] not as easy as some people think. State bureaucrats are conservative, narrow-minded, too lazy and not very productive. Some good bureaucracies which are based on merit, a system of benchmarking and market-like inducements can perform well, as the cases of Korea and China illustrate. However, for this you need to have real statesmen in charge, not traditional (and sometimes corrupt) politicians. The best way is still to have high-quality human capital, plenty of inducements for innovation and technological advancement, starting with good science and strong competition among economic agents. In other words, a market-based system, perhaps guided by Illustrated Bureaucrats.’

(p. 52, sobre esgotamento de recursos naturais:)
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University
Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘The new world order will not be very different from the old, that is, our own. Both can cope with the problem of natural resources through technological advancements.’

(p. 58: sobre o papel das elites nas sociedades contemporâneas:)
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘An educated elite is crucial to guide resources for the construction of a national system of education (at all levels), characterized by excellence, performance, meritocracy and material rewards.’

(p. 87, sobre o papel das instituições e da liberdade:)
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘Despite shortcomings, they have some credibility in terms of assessing real problems. This is not exactly true of the UN, but it is certainly true of the USA and most NATO countries, which are effectively democratic and subject to scrutiny by scientists, citizens, a free press and diversity of opinions. Autocratic countries like China, Russia and some others do not have all this.’

(p. 96, sobre minha desconfiança em relação às atuais lideranças mundiais:)
Paulo Roberto de Almeida, Brazil, diplomat and professor, Ministry of Foreign Affairs and University Centre of Brasilia (UniCeub): 
‘I see no-one at the moment. The world is suffering from a complete absence of great leaders. Many of them are not really international leaders, only state leaders with some projection abroad. Most of them are really mediocre.’

Boa leitura: 

Os Trapalhoes, versao governamental (mas eles se pretendem espertos) - Editorial Estadao

O fim do plebiscito

11 de julho de 2013 | 2h 11
Editorial O Estado de S.Paulo
Com o maciço apoio dos "aliados" do governo, as lideranças partidárias na Câmara dos Deputados jogaram uma pá de cal na demagógica pretensão de Dilma e do PT de realizar no ano que vem um plebiscito sobre a reforma política. É mais uma amostra de que o inferno astral da pupila de Lula perdura. Mas é também mais uma evidência de que, em matéria de esperteza, os políticos - cujos partidos, na opinião de 81% dos brasileiros, são "corruptos ou muito corruptos", segundo pesquisa da Transparência Internacional - estão ganhando de lavada a queda de braço que o voluntarismo autoritário da chefe do governo e a soberba do PT tiveram a ideia infeliz de lhes impor.
Com a decisão de descartar o plebiscito para 2014, os partidos políticos pretendem devolver para o Palácio do Planalto o mico que a teimosia desastrada de Dilma lhes havia jogado no colo. Depois de ter sido obrigada a recuar rapidamente da ideia inconstitucional de propor uma Constituinte específica para tratar da reforma política, a presidente se agarrou à proposta do plebiscito, para o qual propôs cinco questões específicas que seriam submetidas ao eleitorado. Era a maneira como Dilma e o PT imaginavam que atenderiam ao difuso clamor por mudanças. Afinal, a presidente garante que está "ouvindo" o povo nas ruas.
Ora, se estão realmente convencidos de que a reforma política é imprescindível, por que só agora Dilma e o PT "ouviram" a necessidade de realizá-la? Tiveram 10 anos para isso e não moveram sequer uma palha. Estavam surdos? Ou acham que o País só avança na base do tranco?
A verdade é que até agora não tinham a menor intenção de mudar uma situação que julgavam favorável. Com índices de aprovação popular na estratosfera e os políticos muito satisfeitos com a liberalidade da cúpula do governo com o trato da coisa pública, a reforma política podia ficar para as calendas.
O que muda agora?
Um "grupo de trabalho" de deputados vai se encarregar de, em 90 dias, preparar um projeto de reforma política que, se e quando aprovado pelo Congresso, poderá ser submetido a um referendo. Ou seja, será oferecida aos brasileiros a generosa oportunidade de se manifestar sobre o assunto. A extensão e profundidade da reforma que daí resultar, se resultar, dependerá muito do que acontecer no País nos próximos três meses. Os parlamentares já demonstraram que sabem agir com rapidez e eficiência quando a pressão popular morde seus calcanhares. Mas, quando entendem que ninguém está prestando atenção, fazem apenas o que lhes interessa.
Por outro lado, Dilma, Lula e o PT encontram-se numa verdadeira sinuca. Tanto que Lula isolou-se. Mas é claro que não pretendem permanecer de braços cruzados. Declarações feitas nas últimas horas por membros importantes do governo e do partido fornecem alguns indícios do que poderá ser a estratégia petista para o curto prazo.
O líder do partido na Câmara, deputado José Guimarães (CE), foi enfático: "O plebiscito é uma questão de honra para o PT". Já o secretário-geral da Presidência, ministro Gilberto Carvalho, foi, como de hábito, mais ardiloso: "Não consigo imaginar um combate adequado à corrupção sem uma reforma política. O povo quer uma mudança política de profundidade. A presidenta acertou em cheio quando lançou essa proposta porque ela corresponde exatamente ao anseio mais profundo das ruas, que é o anseio por uma renovação na política. E renovação na política sem reforma política nós não vamos fazer". Quem diria!
Mas tanto Guimarães quanto Carvalho sabem que o plebiscito é carta fora do baralho. Por que, então, a insistência? Porque querem lavar as mãos e ainda sair bem na foto. Não será surpresa, portanto, se em breve Lula e Dilma aparecerem na televisão para proclamar nova palavra de ordem, desta vez sobre o tema "o povo exige plebiscito". E Rui Falcão tentar colocar seu bloco, literalmente, na rua para denunciar, com indignação e fúria, que "os políticos é que são contra". Será que cola?

Paulo Freire inspirando educacao basica? Nao vai dar certo...

O seminário pode ter sido uma boa ideia. Mas prestem atenção nesta frase:
"...o seminário foi inspirado nos pensamentos de Paulo Freire (Educação na cidade, p. 83) que escreveu "O que proponho é um trabalho pedagógico que, a partir do conhecimento que o aluno traz que é uma expressão de sua classe social. O que se propõe é que o conhecimento com o qual se trabalha na escola seja relevante e significativo para a formação do educando".

Se pretendem reformar a educação básica com base no pensamento classista, sumamente idiota, de Paulo Freire, não pode dar certo. Vamos continuar no brejo...
Paulo Roberto de Almeida

Seminário Internacional - Educação Básica: Conhecimento e Currículo
Jornal Ciência Hoje, 11/07/2013

Resultados das discussões servirão de base para modificações curriculares que deverão ser definidas pelo Conselho Nacional de Educação

Propostas debatidas em seminário servirão de base para as modificações curriculares que deverão ser definidas pelo Conselho Nacional de Educação (CNE). Esse foi o resultado das discussões realizadas nos dias 4 e 5 de julho, durante o Seminário Internacional - Educação Básica: Conhecimento e Currículo, promovido pelo CNE. Realizado em Brasília, o evento contou com a participação de cerca de 400 pessoas com a presença de um grande número de conselheiros do CNE, gestores e professores de diferentes estados da federação.

O professor Isaac Roitman, coordenador do Núcleo do Futuro (n-Futuros/CEAM/UnB) da Universidade de Brasília foi um dos representantes da Sociedade Brasileira para o Progresso da Ciência (SBPC) no evento. De acordo com ele, o seminário, que foi organizado pela Câmara de Educação Básica, procurou estimular os debates sobre as linguagens estéticas e as ciências na modernização dos currículos do ensino básico indispensáveis para a renovação e inovação na educação brasileira.

Para Roitman, que participou da mesa redonda "Um currículo para avançar no conhecimento", o destaque foi a apresentação do físico Moysés Nussensweig, da UFRJ. "Ele falou sobre a implantação do projeto "Aventuras da Ciência" que reabilita o vitorioso programa idealizado por Isaias Raw com a coleção Cientistas na década de 1960", relatou. Ainda de acordo com ele, o projeto apoiado pela CAPES e FINEP produz kits que estão sendo utilizados no ensino de biologia, química e física do ensino médio.

Outras três mesas redondas também foram realizadas: Um currículo motivador do conhecimento; um currículo para a democratização do conhecimento e Conhecimento e currículo. Entre outros participaram das mesas: Luiz Carlos Menezes (USP), Elvira Sousa Lima (CEPAOS), Miguel Arroyo (UFMG), Petronilha Beatriz Gonzalves (UFSCar), Anderson Gomes (UFPE), Roberto Franklin de Leão (CNTE), Anastácio Peralta (Aldeia Panambizinho), Maria Helena Guimarães Castro (SEADE) e Rui Trindade (Universidade do Porto).


De acordo com ele, o seminário foi inspirado nos pensamentos de Paulo Freire (Educação na cidade, p. 83) que escreveu "O que proponho é um trabalho pedagógico que, a partir do conhecimento que o aluno traz que é uma expressão de sua classe social. O que se propõe é que o conhecimento com o qual se trabalha na escola seja relevante e significativo para a formação do educando". Além do professor Roitman, também participou do evento, como conferencista, o professor Ennio Candotti, vice-presidente da SBPC.

A eterna luta entre o homem e a natureza...

Os ecologistas ingênuos, que são os novos malthusianos, acreditam que a natureza sempre está certa, e o homem errado. Não é bem assim.
A natureza é neutra, em relação a valores e sentimentos, sendo no mais das vezes "cruel", no sentido darwiniano da palavra.
Pois bem: este sabonete antimalária, criada por estudantes africanos é uma grande notícia.
Depois de seu lançamento comercial, em 2015, o homem vai vencer o mosquito por alguns anos mais.
Como previa Darwin, em algum momento, uma nova espécie de mosquito vai superar a barreira.
A luta continua, camaradas...
Paulo Roberto de Almeida

O Globo, 11/07/2013

Produto repele o mosquito pelo cheiro e já ganhou prêmio

Uma dupla de estudantes africanos criou um sabonete capaz de repelir o mosquito causador da malária. O produto, feito a base de ervas e ingredientes naturais, já rendeu a Moctar Dembele e Gerard Niyondiko um prêmio de U$ 25.000, em abril deste ano, pela "Global Social Venture Competition", uma competição mundial promovida pela Universidade de Berkeley, na Califórnia.

Os dois são alunos do Instituto Internacional de Água e Engenharia Ambiental, em Ouagadougou, capital do Burkina Faso, na África. Como informou Niyondiko ao site da CNN, o sabão, apelidado de "Fasoap", deixa um perfume na pele que repele os mosquitos.

Outro detalhe importante é que a água residual de quem toma banho com o sabonete contem substâncias que impedem o desenvolvimento das larvas de mosquitos. E esse aspecto pode trazer resultados significativos, já que o problema do saneamento na África é uma das causas da proliferação de vetores de malária.

De acordo com Niyondiko, o objetivo é que o produto possa atender a uma parcela significativa da população da África, que não tem acesso aos produtos convencionais industrializados, como cremes e spray, devido aos custos. "Pensamos em um sabonete repelente e larvicida que estará acessível para a maioria da população, uma vez que o sabão é um produto a base de ingredientes regionais", disse Niyondiko ao site.

Por ora, os estudantes ainda estão trabalhando na otimização do produto. A expectativa é que ele chegue ao mercado em 2015.


Governo restabelece trabalho servil no Brasil: a nova escravidão

Vejamos os paralelos históricos: a Rússia czarista aboliu o regime servil em 1861; no ano seguinte, os Estados Unidos emendaram a Constituição, emancipando os escravos (negros, mas preservaram e até aumentaram o racismo e o Apartheid, notavelmente expandidos ainda no século 20); o Brasil aboliu a escravidão em 1888, embora não tivesse feito aquilo que recomendava Joaquim Nabuco: reforma agrária e educação para todos.
O governo do PT pretende restabelecer o regime servil, para médicos (mas vai sobrar para outras categorias, também), em 2013.O governo ainda estimula o racismo oficial e o novo Apartheid, como é sabido.
É o que se chama de parábola histórica.
Desta vez em direção ao século 19.
Para um partido totalitário que vive no século 19, está perfeitamente coerente...
Paulo Roberto de Almeida

CNE vai elaborar novas diretrizes curriculares para cursos de medicina

Reportagem do Portal Uol publica declarações de Gilberto Garcia, presidente da Câmara de Educação Superior do Conselho Nacional de Educação
Jornal eletrônico Ciência Hoje, 11/07/2013

O presidente da Câmara de Educação Superior do CNE (Conselho Nacional de Educação), Gilberto Gonçalves Garcia, afirmou, nesta quarta-feira (10), que o órgão irá elaborar novas diretrizes curriculares para os cursos de medicina do país, como parte da regulamentação da MP (Medida Provisória) que instituiu o programa Mais Médicos e alterou a duração do curso de medicina de seis para oito anos.

"O texto [da MP] leva a crer que a diretriz será só sobre o segundo ciclo, o que não é verdade. O que muda não é o segundo ciclo, muda a formação toda. Vai ser preciso reescrever qual o perfil profissional que você deseja, que tipo de habilidades que o formando vai ter que apresentar diante do novo quadro que prevê a formação integrada com o serviço público", explicou.

A medida provisória estabelece que o segundo ciclo corresponde ao treinamento em serviço, exclusivamente na atenção básica à saúde no âmbito do SUS, com duração mínima de dois anos. O primeiro ciclo são os seis anos que o estudante já cursa atualmente.

Segundo Garcia, a diretriz curricular em vigência, que é de 2001, servirá como base para a elaboração da nova, mas pode sofrer muitas alterações durante o processo. "Vai mudar a estrutura como um todo, talvez os termos não mudem completamente, mas tudo isso já é uma nova visão da formação, focada na intensa relação do médico com a saúde do país", disse.

Garcia afirmou que o texto da MP foi recebido pelo CNE cerca de dez dias antes da publicação, que aconteceu na última segunda-feira (8). Assim que recebeu o documento, foi criada uma subcomissão interna para apreciar e avaliar os impactos do trabalho.

Com a publicação da MP será formada uma comissão interna da Câmara de Educação Superior, que será responsável pela redação das novas diretrizes. Esse grupo será assessorado por uma comissão de especialistas, formada por médicos acadêmicos dos setores público e privado, que atuam com a formação dos profissionais.

"Com a minuta na mão, vamos expor para a sociedade, por meio de consultas públicas. Também vamos manter o diálogo com as academias e representações estudantis. Depois desse diálogo a minuta é votada na Câmara do CNE e segue para homologação ministerial", contou Garcia. O CNE tem 180 dias, contados a partir da última segunda-feira, para apresentar a regulamentação finalizada.

Discussão antiga
"Já era uma discussão bem antiga, talvez a aceleração de alguns processos aconteceu em razão de fatos sociais recentes. A discussão de novos cursos para áreas carentes já estamos fazendo há mais de um ano. Os editais devem estar minutados há meio ano", disse o presidente da Câmara de Educação Superior do CNE sobre o Programa Mais Médicos.

Ele discorda das críticas de que as entidades foram pegas totalmente de surpresa com as mudanças, mas entende o estranhamento, por acreditar que a discussão ainda não estava finalizada. "Eram discussões isoladas de cada tema. O CNE conversava sobre novas vagas e formação. O que não se esperava era uma MP que entendesse que os assuntos estavam concluídos em seus diálogos. Quando surge surpreende todo mundo", analisa.

(Suellen Smosinski, Uol)

Mais sobre o assunto:

O Estado de S.Paulo
Médico espanhol diz que não é solução

Universidades indicarão tutores para o 'Mais Médicos'
(O Estado de S. Paulo)

O Globo
MEC pode estender período no SUS a mais faculdades da área de saúde

Diretor da UFF compara mudanças no curso de Medicina ao AI-5

Portal Terra
MEC define regras para a supervisão de médicos estrangeiros

Censo vai traçar diagnóstico das condições de trabalho dos médicos


Livros sendo lancados no 4 Congresso da ABRI (Assoc.Br. de Relacoes Internacionais)

4º Encontro Nacional da ABRI (Associação Brasileira de Relações Internacionais), que acontece na cidade de Belo Horizonte, de 23 a 26 de julho de 2013, procurará refletir sobre o multilateralismo, plurilateralismo e a construção de uma ordem mundial. O evento consistirá de mesas redondas, painéis, workshops e mostra de iniciação científica, que se estruturarão em torno de cinco áreas temáticas:

• Segurança Internacional;
• Instituições Internacionais;
• Economia Política Internacional;
• História das Relações Internacionais;
• Política Externa

Lançamentos de Livros

25/07/2013 | QUARTA-FEIRA | 16:00 ÀS 17:00
Vias de mão dupla
Andre Luis Nascimento dos Santos
O prenúncio de uma agenda internacional para os Estados Latino-americanos. Reformas do Estado na América Latina: Argentina, Brasil e México em perspectiva comparada. A Reforma do Judiciário na América Latina: Argentina, Brasil e México. Acesso à justiça e aos seus novo repertórios: um estudo ilustrativo de três experiências estatais. 

Teoria das Relações Internacionais
Daniel Jatobá
As teorias são conjuntos articulados de conceitos, cujos significados apresentam conteúdos relacionados ao mundo em que vivemos. Elas são criadas pelos estudiosos para conferir sentido à realidade, mas não resultam apenas de esforços isolados ou daquele indivíduo, são elaboradas em meio aos debates entre os membros da comunidade acadêmica especializada e sob a influência das diversas áreas do conhecimento social. Considerando esses debates, a obra apresenta, com detalhes, as principais perspectivas teóricas (tradicionais e contemporâneas) das Relações Internacionais (RI) em linguagem clara e objetiva. Inicia com a formação da disciplina, no início do século passado, passa pelas teorias mais tradicionais desenvolvidas durante o período da Guerra Fria para, enfim, alcançar as perspectivas mais críticas e inovadoras, as quais se consolidam, principalmente, com o fim da bipolaridade, marco histórico que contribui para o processo de expansão teórica do campo.

DIREITO E SAÚDE GLOBAL - O caso da pandemia de gripe A(H1N1)
Deisy Ventura
Direito e Saúde Global é um estudo pioneiro e competente sobre um tema que a intensificação dos fluxos mundiais de recursos, produtos, serviços, pessoas e ideias – numa palavra, a globalização – terminou por inscrever na agenda de Problemas internacionais. 
Além de atestar domínio técnico das questões do direito internacional, o trabalho mostra, também, grande sensibilidade para a política e os interesses que se mobilizam em torno das pandemias.
Deste ângulo, tem parentesco com o eletrizante documentário de Charles Ferguson, Inside Job (mal traduzido para o Português como Trabalho Interno), que jogou luz sobre os bastidores da crise financeira de 2008, ao revelar como especialistas, supostamente neutros, podem defender interesses que conflitam com os do público. Uma leitura muito útil e prazerosa.

Sistema Internacional de Hegemonia Conservadora Governança Global e Democracia na era da Crise Climática
Eduardo Viola, Matías Franchini e Thais Lemos Ribeiro
Partimos da premissa de que a problemática da mudança climática se torna um vetor civilizatório central de nossa época, um elemento principal na definição do presente e do futuro das sociedades humanas, uma fronteira planetária fundamental para demarcar um espaço de operação segura da humanidade. O argumento não é novo nem incomum na literatura sobre clima em suas diversas vertentes, porém encontra maiores resistências para penetrar o campo das ciências sociais e em especial o âmbito acadêmico brasileiro, e quando inserido, é feito de forma marginal, superficial e inconvicta, isto é, incoerente. A pretensão de originalidade de nossa obra descansa no esforço – esperemos que bem sucedido – de, evitando aqueles vícios da incongruência, levar até as últimas consequências a consideração do clima como vetor civilizatório principal.
Para cumprir com os objetivos enunciados, dividimos o nosso livro em duas partes e oito capítulos. A primeira parte é a mais substancial e discute ao longo de seis segmentos as consequências empíricas e conceituais da transformação do clima em vetor civilizatório principal. No capítulo 1 apresentamos as três forças que, na nossa visão, moldam com maior intensidade os contornos das sociedades contemporâneas: globalização, democracia e clima. Aprofundamos no campo de interação entre esses três vetores e explicamos porque o vetor climático aparece hoje como o mais importante. No capítulo 2 abordamos o tratamento do sistema internacional contemporâneo, que inicia a transição para sua atual configuração com a consolidação da crise climática em 2007 e econômica em 2008. Enumeramos e discutimos essas transformações, fazemos uma revisão de como a literatura recente das Relações Internacionais as assimila e finalmente introduzimos a nossa própria imagem, que qualificamos de sistema internacional de hegemonia conservadora.
No capitulo 3, iniciamos o tratamento especifico da problemática do clima nas Relações Internacionais, abrindo justamente com a disciplina que trouxe o debate ao nosso campo de estudos: a economia do clima. Discutimos aqui as consequências econômicas (entendidas em sentido amplo, incluindo prosperidade, desenvolvimento, e sustentabilidade) do fenômeno, os mecanismos políticos de resposta e as alternativas do debate sobre a transição para uma economia de baixo carbono em um mundo extremamente interdependente. No capítulo 4 nos encontramos já em território exclusivo das Relações Internacionais – se é que esse domínio existe – na medida em que tratamos o clima como problemática abordada pela teoria da disciplina. Tratamos aqui a entrada do tópico no campo através da análise de regimes do liberal-institucionalismo, suas principais características conceituais, seu período de auge e finalmente, suas limitações epistemológicas.
A evidência dessas limitações explica e justifica a existência do Capítulo 5, onde apresentamos algumas visões alternativas sobre como cuidar da área de interação entre clima e Relações Internacionais e finalmente introduzimos a nossa própria arquitetura analítica, que vê o clima como uma área de governança global específica – com agentes e dinâmicas próprias – e onde o conceito de potência – como agente de particular importância para definir o produto social dessa área de governança – se torna fundamental para refletir sobre as perspectiva da transição para uma economia de baixo carbono. Finalmente, no Capítulo 6, testamos esse arcabouço conceitual construído ao falarmos do papel das potências na construção de uma estrutura de governança global sobre clima. Identificando cada um desses atores segundo o nível de agência – superpotências, grandes potências e potências médias – e discutimos seu comportamento em termos de compromisso climático.
Na segunda parte do livro apresentamos dois estudos de caso, o Brasil e a Argentina na transição para uma economia de baixo carbono, nos capítulos 7 e 8, respectivamente. O marcado contraste entre os dois países contribui para ilustrar as discussões contidas na primeira parte, dado que enquanto a sociedade e lideranças políticas brasileiras assimilam de forma progressiva a relevância civilizatória do vetor climático, a Argentina simplesmente ignora o processo e se consolida como potência conservadora. Em algum sentido, essas duas sociedades reproduzem o dilema civilizatório central de nossa época, quando e como as forças reformistas do clima se impõem sobre as conservadoras.

Energia e Relações Internacionais
Igor Fuser
O livro aborda a influencia o acesso aas fontes de energia e a disputa pelas receitas provenientes da sua exploração como um fator relevante nas relações internacionais. A energia eh enfocada em sua dimensão geopolítica, no contexto da globalização económica e das assimetrias de riqueza e poder no sistema internacional. Discutem-se o papel dos recursos energéticos na busca do desenvolvimento e os impasses ambientais relacionados com a sua exploração e consumo, assim como as perspectivas de substituição do petróleo por fontes alternativas de energia.


Hegemonia, revolução passiva e globalização - O sistema G7/8
Leonardo César Souza Ramos
O livro busca analisar, de uma perspectiva neogramsciana, o processo de surgimento e evolução do sistema G7/8, tendo como pano de fundo o contexto histórico-estrutural da economia política global desde os anos 1970. Destaque é dado aos processos de transnacionalização do Estado, dada a
relevância de tal conceito, juntamente com o de revolução passiva, para o entendimento do sistema G7/8. Feitas tais discussões de caráter teórico, parte-se para uma apresentação do sistema G7/8 e dos processos de institucionalização das relações entre os principais países capitalistas a ele
associados. Por fim, a partir de tais questões é apresentada uma leitura crítica do sistema G7/8 que é visto, assim, como um vetor do processo de transnacionalização do Estado e, por conseguinte, como um elemento fundamental para a constituição, difusão e consolidação do modelo de acumulação neoliberal e do bloco histórico liberal transnacional a ele associado. Mesmo com a emergência de crises a partir dos anos 1990 tal sistema G7/8 permanece relevante, agora vinculado também a uma estratégia de revolução passiva em escala global, da qual são expressões o G20 e o processo de
outreach do sistema G7/8, por exemplo.

Integração Regional uma introdução
Paulo Roberto de Almeida
Os acordos regionais há tempos já são realidade e tornam-se cada vez mais importantes nas negociações com a intensificação crescente do processo de globalização. A obra analisa esse processo histórico bem como a constituição de acordos e blocos econômicos e seus impactos para a economia mundial contemporânea. Destaca-se, também, por ter sido escrita não por um simples observador ou estudioso desses processos, mas por um protagonista de algumas das mais importantes negociações regionais de que participou o Brasil, a começar pelo Mercosul. Trata-se, portanto, do primeiro livro que tem por objetivo os processos de integração regional, ou seja, de formação dos blocos comerciais visando às disciplinas de Relações Internacionais. De forma sintética e objetiva, o livro consolida um itinerário bastante longo de estudos, pesquisas dirigidas, atividades práticas e escritos publicados sobre o assunto em suas múltiplas manifestações geográficas e políticas.

Relações Internacionais - Pesquisa, práticas e Perpectivas
Sérgio Luiz Cruz Aguilar e Hevellyn Menezes Albres (Organizadores)
Este livro apresenta ensaios e artigos de acadêmicos, diplomatas e pesquisadores que participaram da 9ª Semana de Relações Internacionais, seminário internacional realizado na Faculdade de Filosofia e Ciências da UNESP – Campus de Marília – SP, em agosto de 2011. Os textos, de autores com diferentes formações e trajetórias, e de diversos países, constitui um estimulante indicador da preocupação pelo aprofundamento dos estudos e da produção acadêmica na área das Relações Internacionais.

Introdução ao Estudo das Relações Internacionais
Thiago Gehre Galvão e Virgílio Arraes
Com o objetivo de apresentar aos alunos de graduação os alicerces teóricos, conceituais e metodológicos que sustentam a ciência das Relações Internacionais (RI), este primeiro volume da coleção traz, de forma clara e bastante didática, seus aspectos identitários, destacando as origens do pensamento teórico e as ideias fundamentais das principais instituições que caracterizam a vida internacional. A obra proporciona uma visão geral desse campo de estudo, mostrando a pluralidade científica das RI, explorando suas bases intelectuais, os principais debates teóricos, e apresenta os grandes pensadores da área, estimulando a curiosidade científica para que o leitor vá além, realizando pesquisas sobre temas, assuntos e personagens particulares.


Crimes economicos do governo contra o Brasil; existe essa categoria?

Deveria existir, assim como existem crimes de colarinho branco, designando crimes financeiros, no mercado acionário, fraudes contábeis, etc.
O que o governo vem fazendo é fraude contábil.
Deveria ser condenado por crime econômico...
Paulo Roberto de Almeida

A quem se destina essa 'contabilidade criativa'?

11 de julho de 2013 | 2h 06
Editorial O Estado de S.Paulo
Em junho, a Eletrobrás tomou emprestado R$ 2,5 bilhões do BNDES e pagou dividendos atrasados aos acionistas - o maior deles é a União -, mas entre eles está também o BNDES. É o exemplo mais recente da chamada "contabilidade criativa" - expressão que já mereceria inclusão nos dicionários de economia brasileira, num capítulo relativo às práticas fiscais, no mínimo, condenáveis.
Imagine-se que operação semelhante fosse realizada numa hipotética holding privada do grupo Y, que controlasse bancos e empresas abertas. A controladora, também aberta, precisa de caixa. E manda uma controlada tomar empréstimo num banco do grupo para lhe transferir os recursos que estão faltando. Sem contar gastos adicionais (tributos, pagamento de serviços, etc.), o resultado para o grupo Y é um arranjo contábil em que se tirou dinheiro de um caixa para pôr em outro caixa - mas todos os caixas são da holding. As operações são lícitas, mas o objetivo é maquiar as contas. Se você é acionista da holding, vai querer saber que vantagem levou. Se ficou desconfiado, vai procurar o auditor e o órgão regulador para que a operação seja esclarecida.
No caso, a holding envolvida é o Tesouro Nacional. Os contribuintes podem ser equiparados a acionistas minoritários. E a Eletrobrás tomou dinheiro do BNDES para transferir ao Tesouro, com a agravante de que teve de pagar juros "acima do esperado em operações com garantia da União", segundo o Tesouro. A operação (de capital de giro), descrita em reportagem de Eduardo Campos na edição de ontem do jornal Valor, foi autorizada pelo ministro da Fazenda.
A "contabilidade criativa" já atinge proporções que uma gestão fiscal minimamente responsável não admitiria. Mas essa operação Eletrobrás/BNDES não é só um artifício para iludir analistas de contas públicas. É um expediente contábil cujo propósito é permitir que o governo gaste além do que arrecada. Não fosse por essa "criatividade", o resultado primário de junho seria pior do que aquele que será apresentado pelo Tesouro no final deste mês.
Para gastar mais, o governo não pode ignorar o custo da grave deterioração das contas das empresas estatais, seja por conta do reajuste populista de preços de bens e serviços (derivados de petróleo, na Petrobrás, e energia elétrica, na Eletrobrás), seja pelo uso do BNDES como fonte de caixa, à semelhança do que se fazia, no passado, com a "conta movimento" do Banco do Brasil.