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segunda-feira, 9 de janeiro de 2012

Falando de soberania... - Belgica recebe advertencia da Comissao de Bruxelas...

Pois é, soberania é algo complicado, sobretudo para quem não tem...
Receber adevertências de um bando de tecnocratas deve ser duro.
Mas, pior que isso, é pretender viver do dinheiro alheio...
Paulo Roberto de Almeida 

Rappelée à l'ordre par l'UE, la Belgique gèle plus d'un milliard d'euros

LEMONDE.FR avec AFP | 07.01.12 | 17h48   •  Mis à jour le 07.01.12 | 17h48

La Belgique a décidé de geler plus d'un milliard d'euros de dépenses "pendant quelques mois" pour se conformer aux exigences de la Commission européenne, a expliqué le ministre du budget belge, Olivier Chastel, samedi 7 janvier sur RTL-TVI.

La Commission européenne a mis en garde le gouvernement belge à propos du budget fédéral 2012, jugeant que le chiffre du déficit prévu par le gouvernement d'Elio Di Rupo était trop optimiste, et a réclamé en conséquence dans une lettre des efforts supplémentaires de 1,2 à 2 milliards d'euros.
"La commission nous avait laissé le choix, soit de nouvelles mesures tout de suite en un week-end pour 1,2 milliard, ce que nous nous sommes refusés à faire, ou alors geler un certain nombre de dépenses, l'espace de quelques mois, et c'est cette option-là que nous avons choisie", a expliqué M. Chastel. Selon RTL, le principal poste de dépenses gelé concernera les chemins de fer, à hauteur de 400 millions d'euros. La défense devra reporter l'achat d'hélicoptères en raison d'un gel de crédits de 177 millions d'euros.
DES GAINS SURÉVALUÉS
La Commission, qui doit se prononcer sur le budget belge le 11 janvier, avait dit, dans sa lettre, attendre une réponse "lundi matin au plus tard". Elle avait en effet proposé une solution de rechange sous la forme d'une "réserve budgétaire (...) en gelant (au moins temporairement) certaines dépenses". Mais ce gel ne présage pas des décisions qui seront prises en février, lorsque le gouvernement belge réexaminera le budget, a expliqué M. Chastel.
La Commission estime que le gouvernement belge a surévalué le gain de certaines mesures budgétaires ainsi que la croissance économique escomptée, ce que celui-ci conteste.
Dans une interview parue samedi dans La Libre Belgique, le gouverneur de la Banque centrale de Belgique, Luc Coene, estime lui aussi que le gouvernement a été trop optimiste, en raison des effets que la politique de rigueur devrait engendrer."Il est clair que toutes ces mesures vont avoir un effet sur la conjoncture etentraîner un ralentissement plus prononcé que prévu. La Commission fait simplement état de cet élément-là et demande donc à l'Etat belge de faire des efforts supplémentaires", souligne-t-il.
E alguns dos comentários de leitores do Le Monde:
Eh bien, un ramassis d'inepties. Vous êtes belge, c'est normal, vous êtes juge et partie. La Wallonie est classée 47e région d'Europe en terme de richesse (eurostat 2008), la Flandre, elle, 11ème. Le fossé n'est pas mince, mais il est moins épais que celui qui sépare en France, l'ile de France de l'Auvergne, l'Alsace et le Languedoc réunis (et je prends pas les régions les plus pauvres!) ou encore la Rhénanie du Nord avec le reste de l'Allemagne. En Belgique, c'est un problème linguistique.
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La Belgique a la Wallonie comme maillon faible. Or cette région très pauvre veut vivre richement, dépensant inconsidérément un argent qu’elle doit quémander à la Flandre (don important pour la forêt équatorienne, etc.). La ville de Mons qui possède une gare parfaitement utilisable, va la remplacer par une construction contemporaine, analogue à la gare liégeoise des Guillemin, de véritables gares de parvenus. Le rattachement de la Wallonie à la France changerait tout mais séduit trop peu.
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(2/2) En Belgique, le véritable problème est linguistique et historique. Au carrefour d'une longue frustration flamande (tout à fait justifiée pendant des décennies) s'entremêle une revanche économique sous forme de résurgence des populistes nauséabonds. D'ailleurs le discours flamand s'articule autour des symboles : Waterloo, la tache d'huile francophone, Les éperons d'or, BHV... C'est un nationalisme qui d'émancipateur, par force de pouvoir, devient belliqueux.
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En tant que Français, je trouve plus choquantes les atteintes au droit des flamands envers les francophones (logement sociaux réservés aux flamands, non nomination de maires victorieux mais parlant français, interdiction de parler français dans les administrations flamandes, même si on est bilingue et qu'une vielle dame vient demander un papier). Et toute les fêtes flamandes qui sanctifient les victoires contre les Français (sans parler des maisons flamandes en France).

sexta-feira, 17 de junho de 2011

Seria possivel viver sem governo? A Belgica diz que sim...

Seria o sonho dos anarquistas?
Não, apenas a incapacidade de "belgicanos" de se entenderem: suas tribos de flamengos e valões não conseguem montar um governo.
Melhor assim: deve dar menos despesas...

BÉLGICA SEM GOVERNO E ECONOMIA INDO DE VENTO EM POPA!
Coluna de Cesar Maia, 17/06/2011

1. A Bélgica completou um ano de impasse político que levou o país a ficar sem governo – um governo provisório está no controle do país desde junho de 2010. O impasse ocorreu por causa de disputas de poder entre representantes das comunidades de língua francesa e flamenga, que já vinham causando divergências entre os dois lados há décadas. Os dois partidos vencedores da última eleição geral não conseguiram superar suas divergências a respeito de uma reforma constitucional. O primeiro-ministro interino, Yves Leterme, renunciou em abril de 2010, mas ainda está indo ao trabalho.

2. Enquanto isto, no dia-a-dia, o país continua funcionando bem. Sua economia está crescendo, as exportações estão em alta, o investimento estrangeiro continua, a presidência do país da União Europeia em 2010 foi considerada um sucesso e a Bélgica também contribuiu para a operação da Otan na Líbia. Isto ocorre em parte pelo fato de que os governantes provisórios e seus funcionários públicos são gerentes eficientes, mas também pelo fato de que muitos poderes já foram devolvidos para os governos regionais e comunidades linguísticas da Bélgica.

3. Uma página na internet fez a contagem regressiva para o dia em que o país bateu o recorde, deixando até o Iraque em segundo lugar - o país precisou de 289 dias para ter um governo, em 2009. O site agora traz a frase: "Sim, belgas, nós conseguimos!".

4. Tecnicamente, isto pode durar até a próxima eleição federal, em 2014. Uma nova eleição geral pode ser convocada ainda este ano, a partir de setembro ou até em 2012, coincidindo com as eleições locais. Outra possibilidade é que o Parlamento comece a exercer mais iniciativa e o governo provisório assuma novos poderes. Com isso, este governo provisório pode durar outro ano.

quinta-feira, 13 de janeiro de 2011

Conhecimento inutil: as tribos de belgicanos nao se entendem nem para concurso de Miss Belgica...

A Bélgica, criada em 1830 a partir das províncias meridionais flamengas e valãs dos Países Baixos, talvez não resista muito tempo como monarquia (que já não é mais unitária há muito tempo; deve ser a única monarquia "federalizada" do mundo).
Não tem governo, faz várias semanas, talvez meses.
Agora mesmo corre o risco de nem ter uma candidata a Miss Universo "legítima". Vejam a matéria do Le Monde.

Miss Belgique, flamande et contestée par des candidates wallones
Jean-Pierre Stroobants
Le Monde, 13.01.2011


BRUXELLES, CORRESPONDANT - Même le concours de Miss Belgique n'est plus à l'abri des polémiques au royaume d'Albert II : la victoire, dimanche 9 janvier, d'une Flamande de 18 ans, Justine De Jonckheere, est contestée par des candidates wallonnes.

Elles affirment que les jeux étaient faits bien avant la finale. Celle-ci devait, selon elles, simplement officialiser la victoire de la jeune habitante de Wevelgem, en Flandre occidentale. Sur le podium, trois des quatre dauphines de la gagnante étaient, elles aussi, néerlandophones.

L'organisatrice du concours, la Flamande Darline Devos, s'est défendue : selon elle, il n'y eu aucune tricherie et le podium de son concours reflète bien la diversité belge.

LA "CHOUCHOUTE" DU JURY
Une des candidates wallonnes avait affirmé, une heure avant la proclamation des résultats, que l'affaire était en fait entendue depuis quatre mois : Justine De Jonckheere était, selon elle, la "chouchoute" du jury. Miss Hainaut a soupiré : "Encore une Flamande…"

Et Miss Liège a déposé plainte contre le comité organisateur, auquel elle reproche de l'avoir écartée de la finale alors qu'elle avait remporté le concours du plus grand nombre de messages SMS envoyés par le public avant la finale…

La gagnante a évoqué "la jalousie et la déception" de ses rivales. Elle affirme que toute fraude était impossible et qu'elle ne connaissait aucun membre du jury. La polémique est toutefois loin d'être éteinte dans le pays alors que la tension entre Flamands et francophones est toujours très forte et que les représentants des deux communautés n'arrivent pas, après plus de 200 jours de crise, à s'entendre sur un programme de réformes institutionnelles et la mise en place d'un gouvernement.

La chaîne francophone privée RTL-TVi, qui diffuse traditionnellement le concours dit s'interroger sur le renouvellement de son contrat. En se demandant si, étant donné le contexte politique, l'idée d'élire une miss nationale a encore "une légitimité" en Belgique.

Jean-Pierre Stroobants