O irmão menor da União Europeia: reunião Celac-UE em Bruxelas - Paulo Roberto de Almeida

 Meu artigo mais recente publicado na revista Crusoé, parcialmente reduzido em relação ao original submetido: 

1516. “O irmão menor da União Europeia” [título original: “O Brasil, a América Latina e a União Europeia: alguma novidade?”; Artigo sobre a cúpula Celac-EU], revista Crusoé (21/07/2023, link: https://crusoe.uol.com.br/edicoes/273/o-brasil-a-america-latina-e-a-uniao-europeia-alguma-novidade/). Relação de Originais n. 4434.  

O Brasil, a América Latina e a União Europeia: 

alguma novidade? 

 

Paulo Roberto de Almeida, diplomata, professor.

Nota sobre o encontro de dirigentes da América Latina (Celac) com contrapartes da UE.

Publicado, com cortes, e sob o título “O irmão menor da União Europeia”, na revista Crusoé (21/07/2023, link: https://crusoe.uol.com.br/edicoes/273/o-brasil-a-america-latina-e-a-uniao-europeia-alguma-novidade/).

  

A União Europeia – em sua terceira ou quarta encarnação desde o início do processo de integração – é, sem dúvida alguma, o mais sofisticado experimento de construção de unificação política, econômica e institucional que se conhece no mundo, superior a quaisquer outros esquemas de derrubadas de barreiras em escala bilateral ou plurilateral. Partindo de uma mera comunidade de seis países em 1951 – produção comum de carvão e de aço entre Alemanha, França, Itália, Bélgica, Países Baixos e Luxemburgo –, o bloco partiu para o primeiro projeto de mercado comum da história, em 1957, com os mesmos países. Treze anos depois, recebeu a adesão da Dinamarca, da Irlanda e do Reino Unido, que havia liderado um experimento concorrente, mas apenas de livre comércio, a Área de Livre Comércio Europeia (Efta), liderada pelo próprio Reino Unido. 

(...)

Esse encontro de cúpula não deverá, assim, chamar muito a atenção da mídia global, assoberbada por problemas bem mais graves em outros cenários geopolíticos. Nas manobras atuais que podem reconfigurar os grandes equilíbrios geopolíticos mundiais, a América Latina permanece excêntrica e, aparentemente, condenada a continuar a ser uma exportadora de matérias primas pelo futuro previsível. Os espanhóis e portugueses podem continuar a se interessar pela região, mas os demais europeus estão com os olhos postos em outros cenários. Quanto ao acordo Mercosul-UE, enquanto argentinos e brasileiros continuarem insistindo em seus instintos protecionistas, ele não parece ter grandes chances de ser ratificado, não importa quantas promessas de resultados concretos sejam formuladas nesta cúpula de 2023.

 

Paulo Roberto de Almeida

Brasília, 4434, 13 julho 2023, 3 p.

 

 Publicarei o artigo na íntegra em mais duas semanas...

Zelensky à Bruxelles: si la Russie gagne, votre mode de vie est ménacée - Le Monde

 

Guerre en Ukraine, en direct : « Nous nous défendons contre la force la plus antieuropéenne du monde », déclare Volodymyr Zelensky devant les eurodéputés

Le président ukrainien, en visite à Bruxelles, s’est exprimé devant le Parlement européen, jeudi matin. Il doit ensuite rejoindre le sommet des dirigeants des Vingt-Sept. M. Zelensky était, mercredi, en visite à Londres et à Paris.

• CONTEXTE

Dernière mise à jour le 6 février 2022

  NoireBIÉLORUSSIERUSSIEMOLDAVIEUKRAINE100 km

 Russie et alliés

 Crimée, annexée depuis 2014

 Territoire où se trouve l'armée russe

 Où l'armée russe mène des opérations

 Avancée maximale de l'armée russe 

Ville tenue par les Ukrainiens

Ville conquise par les Russes

Ville au statut disputé

→ Consulter la carte en grand

 Image de couverture :  Volodymyr Zelensky s’exprime devant le Parlement européen, le 9 février.  OLIVIER MATTHYS / AP

• Volodymyr Zelensky se rend jeudi à Bruxelles en invité d’honneur d’un sommet des Vingt-Sept, où il devrait plaider notamment pour que ses alliés lui livrent des avions de combat au « plus tôt ».
• A Londres, M. Zelensky s’est adressé mercredi au Parlement réuni au Westminster Hall, qui a accueilli de rares dirigeants étrangers comme le Français Charles de Gaulle en 1960. « Je vous demande, à vous et au monde, des mots simples mais très importants : des avions de combat pour l’Ukraine, des ailes pour la liberté », a-t-il lancé. Semblant ouvrir la porte à ce sujet quelque peu tabou, le premier ministre, Rishi Sunak, a promis de former des pilotes de chasse « aux normes de l’OTAN ». Il a demandé à l’armée britannique d’étudier de possibles livraisons d’avions, une solution envisageable seulement « à long terme ».
• Le président ukrainien a ensuite été accueilli dans la soirée de mercredi par Emmanuel Macron, qui avait aussi convié Olaf Scholz pour un dîner tardif à l’Elysée. Devant la presse, les deux dirigeants ont temporisé sur la question des avions, mais ont assuré à leur homologue ukrainien qu’ils soutiendraient l’Ukraine, notamment militairement, « aussi longtemps que nécessaire ».
• Quant à la question des chars, Londres a affirmé que ses Challenger seraient opérationnels « le mois prochain » et a promis d’envoyer immédiatement des capacités d’artillerie à plus longue portée. L’Allemagne compte, elle, fournir avec ses alliés à la fin d’avril un premier bataillon de ses tanks Leopard, très attendus.
• La Russie revendique la réussite de sa récente offensive dans l’est de l’Ukraine. « Actuellement, les combats évoluent avec succès dans les zones [de Bakhmout et de Vouhledar] », a déclaré le ministre de la défense russe, Sergueï Choïgou, qui a, en outre, mis en garde l’Occident contre l’accroissement de son aide à l’Ukraine, qui pourrait « conduire à un niveau imprévisible d’escalade » du conflit.

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