Acabo de percorrer o Dictionnaire Critique de la Révolution Francaise, qu’elle a coordonné avec François Furet. A edição brasileira tem prefácio de José Guilherme Merquior.
Mona Ozouf : « Je n’aime que les choses qui durent »
Elle est élégante et subtile, discrète et lumineuse, incroyablement modeste malgré un parcours et une œuvre qui font d’elle l’une des plus grandes intellectuelles françaises. Historienne pétrie de littérature, philosophe passionnée par la Révolution française, féministe soucieuse de justice, elle revient, ici, sur une enfance singulière et cette « timidité bretonne » dont elle ne s’est jamais départie. A 90 ans, entourée des livres qu’elle aime tant, Mona Ozouf se raconte avec sincérité et observe la situation actuelle du monde avec un certain effroi.
Je ne serais pas arrivée là si…
Si la sœur Théodora n’avait pas dirigé, à l’automne 1910, la salle d’asile qui tenait lieu d’école maternelle à Lannilis, un petit bourg du nord du Finistère.
Nenhum comentário:
Postar um comentário