Temas de relações internacionais, de política externa e de diplomacia brasileira, com ênfase em políticas econômicas, em viagens, livros e cultura em geral. Um quilombo de resistência intelectual em defesa da racionalidade, da inteligência e das liberdades democráticas.
O que é este blog?
Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida.
sexta-feira, 8 de julho de 2011
Uma simples formalidade - Giuseppe Tornatore
Música do mestre Ennio Morricone, como aliás em vários outros grandes filmes europeus e americanos, como lembra o Allan em seu comentário. Algumas são dele, outras são "chansons françaises", encore magnifiques en dépit du pop anglo-saxon...
Ai vai a ficha do filme, que recomendo...
Paulo Roberto de Almeida
Une pure formalité
(titre original : Una Pura formalità) est un film italo-français réalisé par Giuseppe Tornatore, sorti en 1994.
Le film commence par un gros plan sur un coup de feu tiré de la bouche d'un revolver. S'ensuit, dans un sous bois frappé par un déluge, la fuite éperdue d'un homme aussitôt interpellé par une brigade de police. Comme il n'a pas ses papiers, il est emmené au poste, endroit d'une vétusté archaïque, où son attitude confuse et suspecte va amener le commissaire à le mettre en garde à vue. Cet homme se révèle être l'auteur de talent et de renom Onoff, dont le commissaire est fan et connait l'œuvre par cœur. Va s'engager entre les 2 hommes au cours d'un long et dur interrogatoire, une dialectique soutenue qui ira en s'accélérant vers la fin du film, livrant la clé de l'histoire; à ce moment on entendra un piège à souris claquer dans l'armoire. [Attention ce qui suit révèle la fin de l’histoire] L'écrivain se confessant peu à peu révéle son for intérieur. On apprend qu'il a inventé sa biographie officielle, qu'inspiré par un clochard génial qui fut son plus grand ami et son mentor, il ne pensera jamais atteindre le niveau de son maitre et que son écriture n'est qu'une douloureuse catharsis. A la fin du film, l'interrogatoire améne l'écrivain à se souvenir qu'il s'est suicidé. D'autres éléments "surnaturel" amènent peu à peu à comprendre que le commissariat et ses hôtes ne se trouvent pas dans le monde réel : le piège à souris entendu s'avère vide, l'écrivain ne peut se faire entendre au téléphone, et surtout, il ne porte pas la blessure du coup du feu qu'il s'est porté en se suicidant. L'écrivain enfin confessé est devenu un homme apaisé au moment où il est emmené hors du commissariat vers une destination inconnue.
Titre : Une pure formalité
Titre original : Una Pura formalità
Réalisation : Giuseppe Tornatore
Scénario : Giuseppe Tornatore et Pascal Quignard
Production : Bruno Altissimi, Mario Cecchi Gori, Vittorio Cecchi Gori, Claudio Saraceni
Musique : Ennio Morricone
Photographie : Blasco Giurato
Montage : Giuseppe Tornatore
Pays d'origine : Italie - France
Format : Couleurs - Stéréo
Genre : Thriller
Durée : 108 minutes
Date de sortie : 1994
Gérard Depardieu : Onoff
Roman Polanski : Inspecteur
Sergio Rubini : Andre, le jeune policier
Nicola Di Pinto : Capitaine
Sélection au Festival de Cannes 1994
2 comentários:
Bom dia,
Ennio Morricone também é o autor da belíssima trilha sonora do filme "Os Intocáveis".... Admiro aquele trabalho.
Um Tornatore bem diferente!
Para um comentário rápido, quero apenas lembrar os interessantes títulos dos livros de Onoff:
"O Palácio das Nove Fronteiras";
"As Escadas"
"O Ódio"
"Nero"
"O Tratado dos Prazeres"
"Geometria"
São títulos geniais... todos eles, obviamente, estritamente ligados à personagem e à história que vemos desenrolar..
Também, por alguma razão, lembraram-me títulos do Calvino!
Postar um comentário