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Este blog trata basicamente de ideias, se possível inteligentes, para pessoas inteligentes. Ele também se ocupa de ideias aplicadas à política, em especial à política econômica. Ele constitui uma tentativa de manter um pensamento crítico e independente sobre livros, sobre questões culturais em geral, focando numa discussão bem informada sobre temas de relações internacionais e de política externa do Brasil. Para meus livros e ensaios ver o website: www.pralmeida.org. Para a maior parte de meus textos, ver minha página na plataforma Academia.edu, link: https://itamaraty.academia.edu/PauloRobertodeAlmeida;

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quarta-feira, 26 de agosto de 2020

Politique etrangère du Brésil - Paulo R. de Almeida

Uma entrevista que dei a um jornalista francês de um canal de negócios, e que me enviou por e-mail:



"Veuillez trouver ci-dessous un lien vers la vidéo de ma chronique diffusée (plusieurs fois) le 29 juillet.
Cordialement.
Benaouda Abdeddaïm

BFM Business (Paris)"

Benaouda Abdeddaïm : Le gouvernement brésilien, grand allié de Donald Trump, se déclare prêt à travailler avec Joe Biden - 29/07


Ce mercredi 29 juillet, dans sa chronique, Benaouda Abdeddaïm est revenu sur le lynchage diplomatique qui semble le plus retentissant de la campagne de Donald Trump. Cette chronique est à voir ou écouter du lundi au vendredi dans Good Morning Business présentée par Stéphane Pedrazzi sur BFM Business.

Du lundi au vendredi, de 6h à 9h sur le canal 23 de la TNT dans "Good morning business", Stéphane Pedrazzi, Faïza Garel-Younsi et les journalistes de BFM Business (Nicolas Doze, Hedwige Chevrillon, Jean-Marc Daniel, Anthony Morel...) décryptent et analysent l'actualité économique, financière et internationale. Entrepreneurs, grands patrons, économistes et autres acteurs du monde du business... Ne ratez pas les interviews de la seule matinale économique de France, en télé et en radio.
BFM Business est la 1ère chaîne française d'information économique et financière en continu, avec des interviews exclusives de patrons, d'entrepreneurs, de politiques, d'experts et d'économistes afin de couvrir l'ensemble de l'actualité française et internationale. BFM Business vous propose aussi des conseils pour vos finances par des personnalités de référence dans les domaines du patrimoine, de l'immobilier ou des marchés financiers. Retrouvez tous les jours : Christophe Jakubyszyn, Faïza Garel-Younsi, Nicolas Doze, Hedwige Chevrillon, Jean-Marc Daniel, Anthony Morel, Guillaume Sommerer, Cédric Decoeur, Karine Vergniol, Grégoire Favet, Sébastien Couasnon, Emmanuel Lechypre, Benaouda Abdeddaïm, Stéphanie Coleau... BFM Business est disponible sur votre box (SFR : canal 46 / Orange : canal 228 / Bouygues : canal 242 / Canal : canal 108) ainsi qu'en direct et replay sur l'application BFM Business et le site : www.bfmbusiness.fr.

Mise en ligne le 29/07/2020

sexta-feira, 22 de maio de 2020

Le Brésil de Bolsonaro - Editorial Le Monde (18/05/2020)


Brésil : la dangereuse fuite en avant de Bolsonaro

Editorial. Malgré un bilan de plus en plus lourd, le président brésilien continue d’affirmer sans barguigner que le coronavirus est une « grippette » ou une « hystérie » née de l’« imagination » des médias.

Editorial du « Monde ». 
Il y a, à n’en pas douter, quelque chose de pourri au royaume du Brésil, où le président, Jair Bolsonaro, peut affirmer sans barguigner que le coronavirus est une « grippette » ou une « hystérie » née de l’« imagination » des médias. Quelque chose de pourri, lorsqu’il prend des bains de foule, exhorte les autorités locales à abandonner les restrictions et prétend que l’épidémie « commence à s’en aller », alors que les cimetières du pays enregistrent un nombre record d’enterrements. Quand son ministre des affaires étrangères, Ernesto Araujo, pourfend le « comunavirus »,affirmant que la pandémie est le résultat d’un complot communiste. Quand le ministre de la santé, Nelson Teich, démissionne le 15 mai, quatre semaines après sa nomination à ce portefeuille crucial, pour « divergences de vues », le jour où le pays atteint 240 000 cas confirmés et plus de 16 000 morts.
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Pour beaucoup, les heures sombres que traverse le Brésil, désormais cinquième nation la plus touchée par la pandémie, rappellent celles de la dictature militaire, quand le pays était soumis à la peur et à l’arbitraire. Avec une différence de taille : alors que les généraux revendiquaient la défense d’une démocratie attaquée, selon eux, par le communisme, le Brésil de Bolsonaro habite un monde parallèle, un théâtre de l’absurde où les faits et la réalité n’existent plus. Dans cet univers sous tension, nourri de calomnies, d’incohérences et de provocations mortifères, l’opinion se polarise sur une nuée d’idées simples mais fausses.
Le déni entretenu par le pouvoir dissuade la moitié de la population de se confiner, tandis que les appels à la distanciation physique lancés par les professionnels de santé, les gouverneurs et les maires ne sont que modérément suivis. L’activité économique doit continuer à tout prix, affirme Bolsonaro, qui peine surtout à prendre la mesure de la pandémie tout en faisant un calcul politique insensé : les effets dévastateurs de la crise seront attribués à ses opposants, espère-t-il.

Chaos sanitaire

Officier subalterne exclu de l’armée et obscur député d’extrême droite, raillé par ses pairs pendant trois décennies, Bolsonaro n’avait rien d’un homme d’Etat. Arrivé au pouvoir, rongé par la rancœur et la nostalgie brune, l’ex-capitaine de réserve n’a cessé de sonner la charge contre le « système » honni. Une posture qui, en période de pandémie aiguë, provoque le chaos sanitaire et sème la mort.
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A force de tricher avec les faits, les gouvernants populistes finissent par croire à leurs propres mensonges. On le voit ailleurs dans le monde. Mais ici, dans ce pays sorti voici à peine trente-cinq ans de la dictature, où la démocratie reste fragile, voire dysfonctionnelle, le fait de politiser ainsi une crise sanitaire à outrance est totalement irresponsable.
Avec un socle de 25 % d’électeurs, Bolsonaro sait que sa marge de manœuvre est étroite. Certains évoquent aujourd’hui le scénario d’un coup de force institutionnel. Devant la foule venue le soutenir à Brasilia, le président a d’ailleurs clairement laissé entendre, le 3 mai, que, en cas d’enquête de la Cour suprême contre lui ou ses proches, il ne respecterait pas la décision des juges. Après avoir pratiqué le négationnisme historique en vantant la dictature, nié l’existence des incendies en Amazonie et la gravité de la pandémie de Covid-19, Bolsonaro et sa tentation autoritaire risquent d’entraîner le pays dans une dangereuse fuite en avant.

Lire aussi  Au Brésil, Jair Bolsonaro s’enfonce dans le déni et la crise politique
Lire aussi  Coronavirus : le Brésil désarmé face à l’effondrement sanitaire

segunda-feira, 10 de fevereiro de 2020

J. G. Merquior: Brésil: cent ans de République: bilan historique (1990)

Mais um texto de José Guilherme Merquior, tal como disponível num arquivo francês:

Brésil: cent ans de République: bilan historique

Conferência feita por José Guilherme Merquior, quando era o chefe da missão brasileira junto à Unesco, em Paris, nas derradeiras semanas de sua vida, no dia 17 de dezembro de 1990, no quadro das comemorações dos cem anos da república brasileira, no âmbito do Centre de Recherches sur le Brésil Colonial et Contemporain, que tinha sido criado no seio da École des Hautes Études en Sciences Sociales por Ignacy Sachs, em março de 1985. A conferência, “Brésil: cent ans de République: bilan historique”, uma síntese magistral de um século de regime republicano, foi publicada num dos Cahiers du Brésil Contemporain (n. 16, pp. 5-22; cujo texto transcrito está neste link: http://www.revues.msh-paris.fr/vernumpub/1-Merquior%20-%20Souza.pdf).

Cahiers du Brésil Contemporain, vol. 16, 1991, pp. 5-22

Academia.edu: link:

https://www.academia.edu/41933966/J._G._Merquior_Br%C3%A9sil_cent_ans_de_R%C3%A9publique_bilan_historique_Cahiers_du_Br%C3%A9sil_Contemporain_1990_



terça-feira, 6 de fevereiro de 2018

Ideologie et Politique dans le Developpement Bresilien, 1945-1964 (Memoire de Licence, ULB, 1976) - Paulo Roberto de Almeida

Finalmente scannerizado meu trabalho de final de curso de graduação em Ciências Sociais que fiz na Universidade Livre de Bruxelas, 1972-75, entregue em 1976, quando já estava fazendo o mestrado. O trabalho está disponível, como sempre, na plataforma Academia.edu, o meio mais acessível a todos os acadêmicos, neste link:
https://www.academia.edu/5659655/032_Id%C3%A9ologie_et_Politique_dans_le_D%C3%A9veloppement_Br%C3%A9silien_1945-1964_1976_


IDEOLOGIE ET POLITIQUE DANS LE DEVELOPPEMENT BRESILIEN: 1945 – 1964


Paulo Roberto de Almeida  

TABLE DES MATIERES


INTRODUCTION

I. FORMATION DU SYSTEME POLITIQUE BRESILIEN
1. La République oligarchique
2. La Révolution de 1930

II. IDEOLOGIE ET POLITIQUE DANS L'APRES-GUERRE
3. La démocratie représentative et le libéralisme économique
4. Les partis politiques: base sociale et idéologie
5. Mouvement ouvrier et structure syndicale

III. NATIONALISME ET POPULISME DANS LE DEVELOPPEMENT
6. Le développement économique et le rôle de l'Etat
7. Le populisme: théorie et pratique
8. Les militaires: arbitres du système politique

IV. INDUSTRIALISATION ET PENETRATION IMPERIALISTE
9. L'industrialisation néo-dépendante
10. Le nationalisme: idéologie du développement ?
11. Bourgeoisie nationale et lutte de classes

V. CRISE DE LA DEMOCRATIE POPULISTE
12. Crise économique et “politique extérieure indépendante”
13. Agonie et mort de la démocratie populiste
14. Idéologie et politique du pouvoir militaire

CONCLUSIONS

ANNEXES:
1. Chronologie de l'histoire politique et sociale
2. Carte politique du Brésil


BIBLIOGRAPHIE

Eis a ficha do trabalho: 
032. Idéologie et Politique dans le Développement Brésilien, 1945-1964, Bruxelas-Antuérpia, dezembro 1975-janeiro 1976, 108 pp. “Mémoire” apresentado para obtenção do grau de Licenciado em Ciências Sociais; Diretor: Prof. Robert Devleeshouwer (Bruxelles, Université Libre de Bruxelles, Faculté des Sciences Sociales, Politiques et Economiques, 1976, 108 p.; Postado na plataforma Academia.edu, link: https://www.academia.edu/5659655/032_Id%C3%A9ologie_et_Politique_dans_le_D%C3%A9veloppement_Br%C3%A9silien_1945-1964_1976_). Relação de Publicados nº 005.

quinta-feira, 7 de julho de 2016

Os brasileiros sao loucos, ou apenas maluquinhos? Livro de Virginie Jacoberger-Lavoué (em frances)

Serait-il vrai? Nous sommes les nouveaux irréductibles gaulois de l'Amérique du Sud?
A voir...




Présentation de l'éditeur

" Un Brésil de folie ! ", on vous le promet à l'approche de chaque Carnaval de Rio de Janeiro. Nul doute que ce slogan sera porteur tout l'été 2016 chez les professionnels du tourisme, alors que l'ancienne capitale déchue au profit de Brasilia sera au cœur d'actualité avec l'organisation des Jeux Olympiques. Dans ce " pays continent " qui contiendrait un peu plus de quinze France, la folie se porte bien. Mieux, elle prospère au-delà des mythiques plages de Copacabana et Ipanema. Oubliez les clichés (la plage, le foot, le Carnaval...) pour découvrir un géant, première puissance d'Amérique latine, en mutation. Après un décollage économique spectaculaire qui ne doit pas tout au " miracle Lula ", c'est surtout le clientélisme qui progresse. Le Brésil, un " pays du futur " qui le restera longtemps " ? Il n'en est pas moins déjà le seul des " BRICS " –; Brésil Russie Inde Chine et Afrique du Sud –; ces nouvelles puissances, fruit de la globalisation - dont l'émergence s'est accompagnée de celle de la classe moyenne (+30 millions de personnes). Lorsque la " Baba " –; expression qui désigne tout à la fois la bonne et la baby-sitter –;s'émancipe, c'est toute la société brésilienne urbaine qui est ébranlée. Alors que le pays, toujours fortement inégalitaire, est gagné par la récession économique, les Brésiliens gardent le sourire et ne sont jamais aussi drôles que lorsqu'ils se moquent d'eux-mêmes. Découvrez ce Brésil insolite dont le pouvoir de séduction est à la hauteur de sa démesure.

Biographie de l'auteur

Virginie Jacoberger-Lavoué a commencé sa carrière par le reportage de guerre (en Afghanistan). Chef de service (Tendances) à Valeurs Actuelles, elle couvre l'actualité politique du Brésil depuis 2011.
  • Broché: 252 pages
  • Editeur : Editions du Moment (7 juillet 2016)
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2354175159
  • ISBN-13: 978-2354175153
  • Dimensions du produit: 14 x 2,2 x 21 cm

quarta-feira, 22 de janeiro de 2014

Geoeconomie du Bresil: um geant empetre? - article Paulo Roberto de Almeida

Acabo de receber a separata de meu artigo publicado na revista Géoéconomie, de Paris, conforme a ficha de publicação abaixo transcrita.
O link leva à separata do artigo publicado:


Géoéconomie 
(n. 68, Février 2014, p. 102-115; ISSN : 1284-9340). 
Disponível no site Academia.edu (link : https://www.academia.edu/attachments/32816791/download_file). 
Relação de Originais n. 2546.
Relação de Publicados n. 1123.

sexta-feira, 17 de fevereiro de 2012

Os amigos latino-americanos de Assad - Paulo Paranagua (Le Monde)


Les amis latino-américains de la Syrie d’Al-Assad

L’Assemblée générale des Nations unies a adopté, jeudi 16 février, unerésolution sur la Syrie, non contraignante, à l’initiative de la Ligue arabe.
C’était une occasion de vérifier qui sont les derniers amis de Bachar Al-Assad, le despote syrien, dont la répression sanglante a fait 6 000 morts depuis un an.
En Amérique latine, le boucher de Damas compte toujours avec l’appui indéfectible de Cuba, du Venezuela, du Nicaragua, de l’Equateur et de la Bolivie. Bref, les pays de l’Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA), financée par les pétrodollars vénézuéliens.
Le Brésil, qui avait fait de l’obstruction contre une résolution sur la Syrie au Conseil de sécurité de l’ONU en 2011, a voté pour en Assemblée générale. Brasilia préfère désormais suivre la Ligue arabe sur ce dossier, plutôt que de continuer à s’aligner sur la Russie et la Chine.
Outre ces deux puissances au stalinisme mal dégrossi et la Syrie elle-même, le dernier quarteron de soutiens de Bachar Al-Assad comprend encore l’Iran, la Biélorussie, la Corée du Nord et le Zimbabwe.
La résolution de l’Assemblée générale de l’ONU a été approuvée par 137 pays. Outre les 12 qui ont voté contre, 17 pays se sont abstenus.
Publié dans le blog Amérique Latine, du journaliste du Monde, Paulo Paranaguá