Carro popular da Renault: governo brasileiro deve aplicar antidumping...

Não fiquem muito entusiasmados com um carro custando apenas R$ 6.000,00 (SEIS MIL REAIS) para mercados emergentes como o brasileiro. 
Tarifas aduaneiras, impostos internos, taxa de lucro excessiva dos distribuidores brasileiros e antidumping do governo devem elevar o custo final para cerca de R$ 20.000,00, o que diminui, obviamente, o chamado "bem-estar" do consumidor.
Bem-estar? No Brasil?
Forget....
Paulo Roberto de Almeida 

Renault va lancer une voiture low-cost à 2 500 euros

Ce projet de voiture ultra-économique, trois fois meilleur marché qu'une Dacia Logan, est destiné aux pays émergents, mais pourrait avoir sa place à terme sur le marché européen.

Après un premier essai dans le domaine des voitures à bas coût, la Dacia Logancommercialisée à partir de 2004, le groupe Renault s'apprête à lancer un projet de voiture ultra économique à 2 500 euros, rapporte, mercredi 23 novembre, le quotidien La Tribune.

Une équipe Renault-Nissan sera constituée le 1^er janvier pour développerl'ensemble des modèles d'entrée de gamme et, notamment, une plate-forme et un moteur à très bas coût, précise le quotidien économique, qui cite des "sources internes".

Le constructeur a confirmé que "Gérard Detourbet [responsable de la gamme à bas prix : Logan, Sandero, Duster] rejoindrait l'alliance [Renault-Nissan] à partir du 1^erjanvier 2012" pour "s'occuper entre autres de la plate-forme A [petites voitures]développée en Inde". Mais Renault n'a pas "souhaité donner davantage d'informations sur un projet de véhicule à 2 500 euros", soit deux à trois fois moins cher que les voitures à bas coût qu'il produit déjà : la Dacia Logan est commercialisée en France à partir de 7 700 euros.

Selon La Tribune, la nouvelle gamme de petits véhicules ultra simplifiés pourraitavoir le gabarit de la Twingo et ne devrait guère avoir de rapport avec les projets un temps étudiés avec l'indien Bajaj, même si un certain nombre d'idées pourraientêtre reprises.

Destinés aux pays émergents les plus pauvres, ces modèles pourraient cependantavoir à terme leur place aussi sur le marché européen, poursuit le journal.